17/09/2012
Gabon: Le président Ali Bongo Ondimba sur les grands chantiers en exécution dans le Gabon profond.
Le président Ali Bongo Ondimba a effectué, lundi 10 septembre 2012, une brève visite sur les grands chantiers en cours d’exécution dans les provinces du Moyen-Ogooué (centre) et de la Ngounié (sud), afin de s’enquérir de l’état d’avancement des travaux.
Le chef de l’Etat a pu ainsi se rendre compte de la qualité des travaux effectués sur les tronçons routiers déjà terminés dans les deux provinces, visiter les structures médicales à Lambaréné, chef-lieu de la province du Moyen-Ogooué, ainsi que la pépinière de palmeraies de la société OLAM, à Mouila, dans la province la Ngounié.
Après avoir visité le tronçon routier en cours d’exécution sur l’axe Mouila et Ndendé, Ali Bongo Ondimba s’est rendu sur le site de l’académie militaire de Fougamou, une nouvelle école d’officiers d’active où les travaux sont déjà réalisés à 65%.
La plupart de ces chantiers, déjà très avancés, s’exécutent dans le cadre du plan directeur national d’infrastructures visant à doter le Gabon des infrastructures nécessaires à son développement socio-économiques.
Exécutés par une entreprise espagnole qui emploie 100 ouvriers dont plus de la moitié sont des Gabonais, les travaux en cours sur le tronçon routier Mouila-Ndendé (75 km) vont coûter 70 milliards de FCFA. La route devrait être livrée en avril 2015.
Le président Ali Bongo a également visité les travaux de voirie en cours d’exécution à Ndendé, chef-lieu du département de la Dola, dans la province de la Ngounié (sud), pour un coût estimé à cinq milliards de FCFA.
Depuis 2011, les pouvoirs publics ont lancé une vaste opération visant à renforcer le réseau routier dans la province de la Ngounié, afin de connecter cette région aux autres provinces du pays, notamment l’Ogooué-Lolo et la Nyanga.
Le projet vise aussi à établir une connexion routière avec le Congo, dans le cadre de la route transafricaine (Ndendé-Mouila, Ndendé-Doussala).
Au total, 601 km de routes sont actuellement en construction ou en rénovation au Gabon pour un budget de 985 millions de dollars alors que 803 km sont en voie d’être lancés pour un budget de 1,280 milliards de dollars.
D’ici à 2016, le Gabon disposera de 3663 km de routes bitumées pouvant assurer 80% du trafic national de biens et de personnes.
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16/09/2012
Gabon: Plus de 200.000 personnes au meeting de la majorité au pouvoir
Succès total pour le Parti Démocratique Gabonais et ses alliés , puisque plus de 200.000 personnes se sont mobilisées sur la place du jardin botanique à Libreville.
Devant une foule immense, de tous âges et de tous horizons de notre capitale , les partis politiques de la majorité républicaine pour l’émergence ont rejeté samedi, au cours du meeting , l’idée d’une conférence nationale ‘’souveraine’’ réclamée par l’opposition, soutenant ainsi le chef de file de cette coalition politique, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs chef de l’Etat.
‘’Promoteurs de l’ethnisme, du tribalisme et les incitateurs à la violence’’, a lancé le président du Rassemblement pour le Gabon (RPG), membre de cette famille politique, rejetant l’idée de la conférence nationale exigée par l’opposition.
Le prélat a affirmé que les leaders de l’opposition lors des émeutes du 15 août dernier à Cocotier (un quartier du 2ème arrondissement de Libreville) avaient brillé par une peur bleu.
‘’Pendant que les jeunes manifestaient les rues, les leaders de l’opposition se cachaient dans les herbes de Cocotier où dans les eaux de la rivière Arambo’’, a-t-il ironisé devant la foule venue assister à ce grand meeting.
Le secrétaire général du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) et locomotive de la coalition, Faustin Bokoubi a réaffirme le soutien du parti au discours désormais mémorable du président de son parti, Ali Bongo Ondimba devant les députés et les sénateurs réunis en congrès mercredi dernier.
‘’Vingt-deux ans après la tenue de la conférence Nationale, après tous les constats que nous avons pu faire et les échecs que nous avons essuyés, devons-nous organiser une Conférence Nationale dite souveraine, dont le but affirmé n’a d’autre objet que de perpétrer un véritable coup d’état constitutionnel, ouvrant ainsi la voie à la tenue de petits arrangements entre amis ?’’, s’était interrogé le président gabonais devant le Parlement ‘’Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques ! C’est pourquoi, à notre sens, la demande d’une telle rencontre masque mal l’indigence d’une opposition en manque de projet et qui a été battue à chaque échéance électorale. Elle cherche aujourd’hui à s’exonérer des lois de la République pour tenter d’exister et d’accéder au pouvoir par effraction’’, a soutenu Ali Bongo Ondimba.
Selon lui, ces mêmes personnes veulent une conférence nationale non pas dans l’intérêt du Gabon et des gabonais, mais dans le seul but d’assouvir leur appétit de pouvoir et de positions.
‘’ Mais je ne dialoguerai pas avec des personnes qui ne respectent ni les institutions de leur propre pays, ni ceux qui les incarnent, encore moins les Lois de la République ’’, a fustigé le chef de l’Etat. Ce meeting le premier tenu par l’ensemble des partis politiques de la majorité républicaine a réuni plusieurs centaines de milliers de militants et sympathisants acquis au refus de la conférence nationale souveraine.
L’ensemble des hiérarques du PDG, du Cercle des libéraux réformateurs (CLR), du RPG), du Parti gabonais du centre indépendant (PGCI), de l’Alliance démocratique et républicaine (ADERE) et des nombreuses associations ont pris par ce grand rendez-vous politique.
Les femmes du parti au pouvoir sous la houlette, de la diva de la musique gabonaise, Patience Dabany, par ailleurs membre de l’Union des femmes du parti démocratique gabonais (UFPDG) a salué : ‘’ l’œuvre sans cesse des femmes pour la bonne marche du PDG vers la vision émergente du président de la République’’.
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14/09/2012
Gabon: Le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba fait la promotion des valeurs fondamentales qui doivent mener le Gabon vers l’émergence.
Libreville, 14 Septembre 2012 - Dans un discours fondateur devant les députés et parlementaires, le Chef de l’Etat gabonais a fait la promotion des valeurs fondamentales qui doivent mener le Gabon vers l’émergence. Ali Bongo Ondimba a longuement insisté sur les valeurs du travail, de l’unité nationale, de l’intérêt général, de la responsabilité de chacun et du patriotisme.
« Aucun décret ne fera du Gabon un pays Emergent. Nous ne le deviendrons que si nous le désirons ardemment, et si nous nous mettons résolument au travail ». Pour la première fois dans l’histoire du Gabon, le Chef de l’Etat s’est exprimé ce mercredi 12 septembre 2012 devant les députés et parlementaires réunis en congrès.
Un discours d’une heure durant laquelle le chef de l’Etat n’a pas mâché ses mots. Il a appelé l’ensemble de la classe politique ainsi que l’ensemble des gabonais à se mettre au travail, à placer l’intérêt général devant les intérêts personnels et à rester unis dans un même objectif : développer le Gabon.
S’agissant de l’unité, le Chef de l’Etat a fustigé ceux qui tenteraient de créer la discorde au sein d’une nation unie. Il a rappelé l’histoire du Gabon, insisté sur le caractère pluriethnique de la nation gabonaise et la richesse de cette diversité. « Toutes ces énergies, toutes ces intelligences et ces talents, constituent des richesses qu’il faut savoir préserver, valoriser en autant d’acquis pour notre nation », a-t-il insisté.
Rompre avec les stratégies politiques qui visent l’intérêt individuel, remettre la politique au service de l’intérêt général .
« Nos compatriotes ne veulent plus de l’attentisme, des palabres politiciennes stériles, des grandes messes inutiles, bref tout ce qui a contribué à gangrener notre vie politique ces vingt dernières années », a lancé le Chef de l’Etat à l’assemblée.
« Nous avons passé beaucoup trop de temps à ne faire que de la politique, au détriment du développement économique et social de notre pays et du bien-être de ses populations », a-t-il déploré avant de rappeler à son auditoire une valeur fondamentale à ses yeux pour le développement d’un pays : la valeur du patriotisme. « Le patriotisme, c’est ce qui nous pousse à situer l’intérêt général au-dessus de nos intérêts particuliers et partisans », a-t-il indiqué. « Le patriotisme, c’est la volonté et la détermination de préserver le bien commun. Le patriotisme, c’est " Gabon d’abord " », a encore insisté le Chef de l’Etat.
Ali Bongo Ondimba est allé jusqu’à interroger la responsabilité de chacun : « Nous qui nous érigeons en donneurs de leçons, nous sommes-nous souvent demandé, si dans l’exercice quotidien de nos fonctions respectives, nous avons toujours placé l’intérêt général au-dessus de nos intérêts particuliers ? », a demandé le Président aux représentants du peuple.
Fin de l’attentisme : mise en valeur du travail, du mérite, des responsabilités .
Le Chef de l’Etat a insisté lourdement sur l’importance de se recentrer sur le travail : « Il faut en finir avec le laxisme, l’attentisme, l’immobilisme et la paresse. Il faut déserter le camp des partisans du moindre effort et passer à l’action. Aucun pays ne s’est développé sans mettre de l’ardeur au travail. Le travail à l’atelier, le travail à l’usine, le travail dans l’entreprise, le travail au ministère, le travail à la plantation, le travail en mer », a-t-il lancé.
Le message : chacun est responsable, à son niveau, de la réussite du projet de développement du pays et chacun, à son niveau, se doit de prendre ses responsabilités. Il a d’ailleurs rappelé quelques échecs notables qui auraient pu être évité si le travail avait été au centre des préoccupations de tous. « C’est nous Gabonais qui avons fait Air Gabon et c’est nous Gabonais qui avons détruit Air Gabon. C’est nous Gabonais qui avons fait le Transgabonais et c’est nous Gabonais qui l’avons détruit. C’est nous Gabonais qui avons fait Africa N°1 et c’est nous qui l’avons détruit », a-t-il rappelé. « Blâmer l’autre ne peut en aucune façon nous exonérer de notre propre responsabilité », a insisté le Président. Une prise de responsabilité qui a ses yeux est capitale pour avancer.
Travailler sans relâche pour un Gabon moderne .
« Les représentants du peuple que vous êtes doivent travailler sans relâche en vue de créer chaque jour les conditions de production d’un Gabon prospère à travers le vote de la loi, le consentement de l’impôt et le contrôle quotidien de l’action de l’exécutif dans les conditions prévues par loi » a demandé le Chef de l’Etat aux députés et parlementaires.
« Votre responsabilité sera entière si du fait d’une absence de loi certains pans du Plan Stratégique Gabon Emergent venaient à ne pas être exécutés. Votre responsabilité serait entière si par manque de contrôle de votre part, le gouvernement venait à ne pas respecter les délais et les normes d’exécution du plan », a-t-il insisté.
Le Chef de l’Etat a rappelé son ambition : « Mon rêve et mon ambition sont de construire un nouveau Gabon, un Gabon fort, un Gabon uni et rassemblé, un Gabon d’une prospérité toujours plus accrue, un Gabon où il fait bon vivre, un Gabon immortel et digne d’envie, un Gabon Emergent. »
C’est avec la promotion de ses valeurs fondamentales du travail, de l’unité et de l’intérêt général associé à la prise de responsabilité que le Chef de l’Etat souhaite voir le Gabon se développer. Des valeurs qui a ses yeux rendront le Gabon prospère, assureront l’égalité de tous face au progrès et feront du pays un pays moderne et ambitieux.
Fin
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/ ou contacter http://www.cocom.rggov.org/
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13/09/2012
Gabon: LE PRESIDENT ALI BONGO ONDIMBA APPELLE UN DIALOGUE AVEC LES FORCES VIVES
Dans son discours devant les deux chambres réunies en congrès, le 12 septembre 2012, le chef de l’Etat gabonais a exprimé clairement son souhait d’ouvrir le dialogue avec toutes les forces vives respectueuses des institutions et en mesure de donner des avis constructifs au profit de l’amélioration du quotidien des gabonais.
Ainsi de la question cruciale de l’intégration sous-régionale: « Je recevrai la classe politique et les forces vives de la Nation pour parler de la CEMAC, car notre pays assure la présidence de cette organisation sous régionale depuis le dernier sommet de Brazzaville ».
Sur des thèmes comme la libre circulation des biens et des personnes dans la région et le projet de création d’Air Cemac - sujets qui touchent directement la population gabonaise – il apparaît capital de recueillir les avis et les recommandations de tous.
Cette nouvelle approche du dialogue, constructive, large, ouverte aux esprits de progrès, est révélatrice d’une ambition : en créant une forme de rupture avec le « jeu » politique fossilisé par les intérêts des uns et des autres – ce carcan stérile -, elle ouvre des perspectives d’accès au débat public pour les générations émergentes. Chacun sait qu’il est impossible de traiter les problèmes d’aujourd’hui avec les solutions d’hier.
Dans un discours solennel qui restera celui de la « rupture » avec le passé, Ali Bongo Ondimba a audacieusement reformulé l’équation du dialogue démocratique des temps modernes africains. C’est une exigence de lucidité politique et d’intelligence sociale.
Demain, c’est-à-dire aujourd’hui, le peuple gabonais souhaite un meilleur accès à l’information sur l’action au service de la croissance et de l’amélioration de la vie quotidienne, et cela passe par la prise en compte effective de toutes les composantes sociales de la Nation, notamment les jeunes et les femmes.
Le président Bongo Ondimba demande à ce propos au gouvernement et au parlement de « légiférer dans les meilleurs délais afin qu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes sur les listes aux élections locales et au sein des exécutifs locaux ».
Une explication claire sur le sujet de la conférence nationale
« Je ne redoute pas le dialogue », a lancé le chef de l’Etat devant les chambres du parlement réunies en congrès. Ali Bongo Ondimba s’est dit ouvert au dialogue pourvu qu’il soit constructif, démocratique et que le cœur du débat soit la qualité de vie des gabonais.
Il a indiqué qu’il ne fermait en aucun cas la porte aux échanges pourvus que les interlocuteurs respectent les institutions et leurs représentants.
« (..) Depuis quelques temps, un certain nombre de compatriotes, relayés par quelques médias locaux et étrangers, veulent faire croire que le Président de la République serait fermé à toute idée de dialogue », a-t-il déploré. « J’ai été, je suis et je resterai un homme de dialogue et d’ouverture. Nul ne peut me le contester », a-t-il déclaré.
Au cœur du débat depuis quelque semaine, le président n’a pas hésité à s’exprimer sur la question de la conférence que certains opposants appellent de leurs vœux : « Vingt-deux ans après la tenue de la Conférence Nationale, après tous les constats que nous avons pu faire et les échecs que nous avons essuyés, devons-nous organiser une Conférence Nationale dite souveraine, dont le but affirmé n’a d’autre objet que de perpétrer un véritable coup d’état constitutionnel, ouvrant ainsi la voie à la tenue de petits arrangements entre amis ? », a-t-il interrogé. « Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques ! ».
Ali Bongo Ondimba veut que le débat soit recentré sur le quotidien des gabonais. Il a fustigé les années « d’hyper politisation » de la société qui ont été un « frein » au développement du pays. « Nos compatriotes ne veulent plus de l’attentisme, des palabres politiciennes stériles, des grandes messes inutiles, bref tout ce qui a contribué à gangrener notre vie politique ces vingt dernières années » a-t-il lancé. En résumé, l’action et la vie politique doivent centrer leurs paramètres sur les attentes citoyennes.
Le parlement, pas la rue !
Le chef de l’Etat a rappelé que « dans toute démocratie moderne, le lieu par excellence du débat contradictoire est précisément le parlement. (…) Je reste disposé à recevoir et à travailler avec tous ceux des compatriotes qui le désirent dans le strict respect des institutions et des lois de la république. (…) Mais je ne dialoguerai pas avec des personnes qui ne respectent ni les institutions de leur propre pays, ni ceux qui les incarnent, encore moins les Lois de la République ».
Un dialogue permanent
Dès le lendemain de son accession à la magistrature suprême, le président Ali Bongo Ondimba a souhaité entrer dans un processus d’échange avec les forces vives de la Nation.
Devant les sénateurs et les députés, il évoque « cette volonté d’ouverture et de dialogue qui a dicté la main tendue que j’ai offerte dès mon accession à la magistrature suprême. »
Un principe qui engage tous les acteurs à une attitude responsable et constructive. « Dans l’exercice de mes fonctions de Président de la République, j’ai déjà prouvé que je savais me mettre à l’écoute de mes compatriotes. Je l’ai fait s’agissant de l’épineuse question de l’île MBANIE, en recevant toute la classe politique et les forces vives de la nation ».
Souvenons-nous de la délégation présente en 2010 à New-York au côté du Président pour le sommet tripartite comprenant notamment des représentants des trois principaux partis politiques gabonais : Pierre Mamboundou (président de l’Union du peuple gabonais, opposition), Paul Mba Abessole (président du Rassemblement pour le Gabon, majorité) et Faustin Boukoubi (secrétaire général du Parti démocratique gabonais, majorité).
Dialogue encore et toujours: « Je l’ai fait s’agissant de l’introduction de la biométrie dans notre système électoral », rappelle le chef de l’Etat dans une allusion aux deux concertations sur les conditions et le périmètre de la mise en place de la biométrie dans le processus électoral et au-delà sur l’Etat civil.
Tel est le dialogue véritable, celui du pays avec le pays, dans sa diversité et ses richesses humaines, libéré des verrous posés par ceux qui, trop longtemps, transformèrent les populations « en spectatrices impuissantes de leur destin, alors que les hommes politiques allaient et venaient, de négociations en arrangements souvent guidés par des appétits personnels».
FIN
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La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
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Gabon: Le Président Ali Bongo Ondimba appel à la rupture dans un discours fondateur pour le Gabon moderne
« Je suis venu vous parler du Gabon (…), cette belle nation que nous devons réapprendre à aimer ». Dans un discours empreint de gravité et de volontarisme, ayant rappelé les « origines multiples (…), les alliances et les migrations récentes » qui constituent le fondement historique du pays, le chef de l’Etat gabonais appelle à rompre avec les pratiques politiciennes anciennes - celles des arrangements personnels et du tribalisme-, invite à un renouvellement générationnel qui s’accompagnera d’une reformulation du rapport entre le citoyen et son pays, au bénéfice d’une meilleure gouvernance intérieure. Des mots pour l’histoire, un dessein et un destin : la fondation du Gabon moderne. Pour autant, le président de la République ne fait pas mystère d’une inquiétude devant la menace de voir certains fondamentaux de l’unité nationale bousculés par ceux qui « veulent bafouer les symboles de la République », « envoient des casseurs », expriment leur « aigreur de ne plus être aux affaires ». « J’ai été, je suis et je resterai un homme de dialogue et d’ouverture » affirme-t-il, qui sait ce que veulent les hommes et les femmes du pays : « Que l’Etat construise des routes, des écoles, des hôpitaux ; que l’Etat les aident à accéder à l’emploi, à la propriété ou à un logement décent ». Qui sait également que ses compatriotes « ne veulent plus de l’attentisme, des palabres politiques stériles, des grandes messes inutiles ». « Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques ».
RUPTURE APRES VINGT ANNEES DE MARCHE A RECULONS
« Aujourd’hui, nous devons opérer une rupture ». Comment être plus clair ? Le chef de l’Etat précise sa pensée : « Rupture avec ce qui n’a pas été bien fait, rupture avec ces vingt dernières années de marche à reculons » : « L’hyper-politisation de notre société a été un frein à son développement ». En d’autres mots, il ne faut pas occulter le « douloureux héritage du consensus tous azimuts ». Ne pas oublier « les interminables joutes » de la Conférence nationale il y a 22 ans, « l’odyssée vers la création des partis politiques à caractère provincial, régional, ethnique et même familial », vue comme « un accès plus évident à la richesse ». Car, martèle-t-il, « être ministre n’est pas une profession » !
Alors que dire, aujourd’hui, du désir de certains d’organiser une conférence souveraine comme « des grandes messes où tout le monde trouve son compte personnel » ? « Ceux qui veulent la conférence aujourd’hui, (…) dans le seul but d’assouvir leur appétit de pouvoir et de positions (…), ce sont les mêmes qui, hier encore, la refusaient (…) parce qu’elle ne servait pas leurs intérêts ».
Souhaitant donner leur chance à de « nouvelles énergies, à une nouvelle génération », soucieux de faire émerger « d’autres talents » face à ceux qui « veulent rester scellés à leurs postes au risque de bloquer des générations entières », le président Ali Bongo Ondimba dénonce ces comportements passéistes et précise aussitôt : « je ne dialoguerai pas avec des personnes qui envoient des casseurs dans la rue le jour de l’Assomption », ceux-là même « qui veulent bafouer les symboles de la République en cherchant à occasionner des violences ».
APPEL AU DIALOGUE CONSTRUCTIF ET A LA RESPONSABILITE
Acceptation de l’autre dans sa différence, goût des défis relevés ensemble, politique de la main tendue : le chef de l’Etat est déterminé à rester l’homme du dialogue constructif à l’écoute de « toutes ces énergies, toutes ces intelligences et ces talents (…) à valoriser en autant d’acquis pour notre Nation ». « Je ne laisserai personne remettre en cause notre ‘vivre ensemble’ ». « Je reste disposé à recevoir et à travailler avec tous ceux des compatriotes qui le désirent dans le strict respect des institutions et des lois ». « Je ne redoute pas le dialogue ! » A preuve, cette annonce : « Dans les prochaines semaines je recevrai à nouveau la classe politique et les forces vives de la nation pour parler de la CEMAC, (…) car notre pays assure la présidence de cette organisation sous-régionale ». Associée à la liberté d’opinion, à l’expression des différences pour le bien commun, la responsabilité est une valeur essentielle, individuelle quand elle engage la moralité du citoyen dans son rapport avec la chose publique, politique quand elle détermine le respect des institutions, économique lorsqu’elle fixe les termes moraux de l’échange. « Combien de fois avons-nous fermé les yeux sur un contrat, une convention, un marché, dont nous savions qu’il ne servait pas les intérêts du pays ? »
CONDAMNATION SANS APPEL DU TRIBALISME
Au cœur de son discours devant les deux chambres, le numéro 1 gabonais affirme : « Je consacrerai toute mon énergie pour l’amour de notre pays, à la lutte contre la division, la stigmatisation, la balkanisation, la xénophobie. » Le tribalisme ? « Une forme de racisme (…), un cancer social (…), une bête immonde (…), un poison que certains sont en train d’inoculer dans notre corps social ». « Je demande au parlement d’étudier le cadre législatif nécessaire pour pénaliser le tribalisme (…) ; toute entité, privée ou étatique, politique ou religieuse qui prône et développe des thèses tribalistes, devrait être poursuivie et condamnée par la justice ».
Désormais le temps est venu de tourner la page : celle de « la contestation honteuse, fondée sur le tribalisme ; (…) celle des promotions non pas sur la base du mérite mais sur la seule appartenance ethnique ou tribale ». Tourner aussi la page de la géopolitique, des « baronnies, de la gestion féodales des élites (…), de la volonté de tel ou tel roitelet. »
PLACE AUX JEUNES, PLACE AUX FEMMES
La refondation du rapport entre le citoyen et le pays appelle des actes décisifs, au tournant de l’histoire sociale du Gabon. « La nation gabonaise c’est la prise en compte effective de toutes ses composantes sociales : ce sont ses hommes, mais aussi ses jeunes et ses femmes qu’il nous faut intégrer dans la gestion des affaires publiques ». Prenant la mesure des attentes des nouvelles générations, conscient encore de la nécessité d’avancer vers une plus juste représentation des femmes dans la vie publique, le président de la République demande au gouvernement et au parlement de « légiférer dans les meilleurs délais afin qu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes sur les listes de candidatures aux élections locales et au sein des exécutifs locaux ». Une fois encore, le cap est fixé : « Cela implique une répartition équitable que j’envisage à 30% pour les femmes et 30% pour les jeunes âgés de 18 à 35 ans ».
AU TRAVAIL ! LE GABON NOUS REGARDE !
Dans un registre particulièrement volontariste, à la mesure des défis et de sa responsabilité devant l’histoire, le président gabonais lance devant les deux chambres réunies en congrès : « Il faut en finir avec le laxisme, l’attentisme, l’immobilisme et la paresse. Il faut déserter le camp des partisans du moindre effort et passer à l’action. (…) Aucun décret ne fera du Gabon un pays émergent. » « Ayons l’amour de notre pays, (…) car la patrie nous est consubstantielle. ». « Nous ne pouvons pas aimer notre pays à reculons ». « Certains semblent avoir mis un tel acharnement à détruire notre pays, comme s’ils possédaient un pays de rechange ! ». « Le Gabon nous regarde, la jeunesse gabonaise nous regarde ». Cette situation implique des devoirs ; elle engage le corps social et la classe politique à une exigence de vérité : « Combien de fois avons-nous bradé notre patrimoine commun (…), spolié notre pays ? ». Des questions essentielles dont « nul ne veut parler » , mais qu’il faut avoir le courage de soulever, par lucidité. « Nous avons fait Air Gabon et nous l’avons détruit ; nous avons fait le Transgabonais et nous l’avons détruit ; nous avons fait Africa N°1 et nous l’avons détruit ».
UN DEVELOPPEMENT DURABLE
L’action publique se poursuivra avec ténacité afin d’inscrire le Gabon dans un développement durable, en pleine harmonie avec l’environnement, « non pas parce qu’il s’agit d’un sujet à la mode, mais parce que notre pays peut devenir le modèle du continent, voire nous l’espérons un leader mondial dans ce domaine ». Un enjeu moderne de société, un pilier stratégique, le Gabon Vert : « Le développement durable que nous envisageons sera l’exemple de ce qui doit être fait pour que nos compatriotes retrouvent et reprennent possession de leur développement, grâce à la multitude de richesses dont nous disposons et que notre terre nous offre. »
UNE LOI D’ORIENTATION POUR LE GABON DE L’AMBITION
Devenir un pays émergent ne se décrète pas : « Nous ne le deviendrons que si nous le désirons ardemment, et si nous nous mettons résolument au travail ». Tourné vers l’avenir, le chef de l’Etat fonde son action sur la promotion des valeurs fondamentales (intérêt général, travail et patriotisme), sur lesquelles s’édifiera le Gabon moderne, celui de l’émergence et de la mutation d’une économie à faible valeur ajoutée et peu créatrice d’emploi vers une économie diversifiée. Il fixe les axes, indique le cap à suivre et donne le rythme pour les fondements de l’émergence jusqu’en 2016.
· « L’agenda 2012 du Plan Stratégique Gabon Emergent marque une innovation majeure », avec un souci de synergie maximale : ainsi de ces « huit Plans Nationaux Intégrés (…) déclinés en projets qui permettent de réorienter le fonctionnement de l’administration ». Le président de la République souligne que ce PSGE « n’atteindra sa pleine mesure que si les PME-PMI gabonaises prennent une place plus affirmée dans l’économie ».
· Le Gabon moderne, c’est encore la réforme budgétaire en cours impliquant des plans de passation de marché, des plans d’engagement et des plans d’ordonnancement ‘service fait’. Ambition avouée : faire migrer les pratiques des administrations vers les principes et bonnes pratiques observées à l’international.
· C’est aujourd’hui le nouveau Schéma Directeur National d’Infrastructures, « pilier central » incluant la planification ordonnée des projets prioritaires d’infrastructures, en lien avec le secteur privé. Il donnera « une impulsion décisive à la diversification de l’économie, stimulera l’investissement local et étranger direct ».
Les parlementaires sont, à ce stade décisif, placés devant leurs responsabilités : « Je vous demande de vous approprier pleinement le Plan Stratégique Gabon Emergent duquel découle le Schéma Directeur National ; (…) un projet de loi d’orientation vous sera soumis dans les prochaines semaines ; votre responsabilité sera entière si du fait d’une absence de loi certains pans du PSGE venaient à ne pas être exécutés ».
Tel est « le Gabon moderne que je défends » - Ali Bongo Ondimba
FIN
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La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org
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12/09/2012
Gabon: DISCOURS DU PRÉSIDENT ALI BONGO ONDIMBA DEVANT LES CHAMBRES DU PARLEMENT RÉUNIES EN CONGRES
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames et Messieurs,
Notre constitution et les dispositions de son article 24 nous offrent l’opportunité de convoquer le parlement en congrès afin d’y délivrer une communication, un message.
Ma présence devant vous peut être la source d’interrogations de la part des observateurs de notre vie politique nationale tant l’instant est exceptionnel dans l’histoire des relations entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif.
A propos de ces interrogations, je vais vous répondre sans détour : le sujet important qui me conduit à m’exprimer devant vous est notre pays, le Gabon.
Je suis donc venu vous parler du GABON.
Je suis venu vous parler de notre pays.
Je suis venu vous parler de cette belle nation que nous devons réapprendre à aimer de toutes nos forces.
Je suis venu vous dire que nous avons envers notre mère-patrie une dette incommensurable et que de ce fait, nous avons envers elle des devoirs infinis.
Oui, Mesdames et Messieurs, parlons du Gabon !
Une observation attentive de l’histoire de notre pays nous enseigne que nous sommes le fruit d’un peuplement issu des quatre coins du Continent, par des hommes et des femmes qui fuyaient la guerre, la famine, les maladies, afin de trouver paix et sécurité en cette terre hospitalière.
Ils ont vu leurs longues marches stoppées par diverses contingences, les obligeant à se fixer sur les bords de l’Ogooué, de la M’passa, de la Ngounié, de la Nyanga, de l’Ivindo, de la Lolo, de l’Azingo, du Woleu, de la Mondah et du Komo.
Le caractère pluriethnique de nos provinces, de nos départements et de nos cantons résulte de ces différents mouvements.
L’histoire du Gabon c’est aussi l’histoire de ces quarante-six esclaves originaires du Congo, du Cameroun et d’ailleurs, libérés et débarqués sur les côtes de l’Estuaire en 1849 après l’abolition de l’esclavage et qui, plus tard, contribueront à la création de Libreville, « la ville des esclaves libérés ».
Ces origines multiples sont, avec les alliances et les migrations récentes, le fondement même de la richesse de notre nation et de l’évolution de nos coutumes.
L’histoire du peuple gabonais c’est encore celle des contacts parfois rudes, noués entre les différents villages-royaumes de la côte gabonaise et les colons établis au Fort d'Aumale, point de relâche pour les navires de guerre de la marine française qui vont conclure des traités avec les rois locaux.
Le métissage s’en verra accentué et plusieurs familles gabonaises adopteront des patronymes à consonance étrangère. Nul ne peut aujourd’hui contester que ces familles sont gabonaises et qu’elles sont partie intégrante de notre histoire commune.
Libreville servira de point de départ à la colonisation française du Gabon avec l'installation au fort d'Aumale des missionnaires catholiques sous la conduite du père Jean-Rémi Bessieux.
Le christianisme, religion la plus importante au Gabon par le nombre de ses adeptes, s’installera avec l’établissement en 1842 de la Mission protestante américaine de Baraka et donnera naissance à un syncrétisme religieux, mélange de christianisme et de croyances locales.
Le Gabon, c’est aussi une communauté musulmane. Le Gabon, c’est la terre qui a accueilli, quoique dans des conditions particulièrement difficiles, Cheick Amidou Bamba, Samory Touré, Mohamed Allal El Fassi, et bien d’autres.
Le Gabon d’aujourd’hui c’est aussi cela : un pays aux croyances multiples qui symbolisent magnifiquement l’esprit d’ouverture aux autres.
Le Gabon, c’est l’histoire du Dr Albert Schweitzer, Prix Nobel de la paix en 1952, Médecin et évangéliste alsacien, qui a choisi la terre de Lambaréné pour sauver des vies.
Le Gabon, ce sont ces hommes et ces femmes nés avant l’indépendance, de l’autre côté de nos frontières, et qui ont choisi de s’établir ici, d’y fonder leur famille afin d’y prospérer.
Le Gabon, ce sont les échanges entre des peuples qui ont en partage, de part et d’autre de nos frontières, des épopées comme le Mvett et l’Olendé.
Le Gabon, c’est aussi ses sportifs, ses peintres, ses sculpteurs, ses musiciens. C’est également ses conteurs, ses écrivains, ses rites, ses rythmes et ses danses.
Libreville est devenue une cité cosmopolite où se côtoient toutes les ethnies du Gabon, des immigrés d'Afrique Centrale et de l'Ouest, des Européens, des Magrébins, et qui s’enrichit progressivement d’une population nouvelle, originaire d’Asie.
Toutes ces énergies, toutes ces intelligences et ces talents, constituent des richesses qu’il faut savoir préserver, valoriser en autant d’acquis pour notre nation.
Tous ces éléments sont des atouts et ne doivent pas être perçus comme des différences susceptibles de créer une quelconque menace car, comme le disait Antoine de Saint Exupéry : « quand tu diffères de moi, loin de me léser, tu m’enrichis ».
Notre acceptation de l’autre dans sa différence, caractérisée par notre hospitalité légendaire, ajoutée à notre volonté de relever ensemble les défis qui se posent à nous, sont les fondements de notre « vivre ensemble ».
Ces fondements sont aujourd’hui menacés. Et j’entends aux portes de notre maison Gabon, les coups de boutoirs de ceux qui, visibles ou tapis dans l’ombre, caressent le sombre espoir de voir voler en éclat ce qui fait notre spécificité, notre authenticité et donc notre force.
En effet, depuis quelques temps, un certain nombre de compatriotes, relayés par quelques médias locaux et étrangers, veulent faire croire que le Président de la République serait fermé à toute idée de dialogue.
J’ai été, je suis et je resterai un homme de dialogue et d’ouverture. Nul ne peut me le contester.
Alors qu’à un moment de notre histoire, beaucoup parmi nous étaient opposés à toute idée d’ouverture politique, à force de dialogue, j’ai contribué, avec d’autres, contre vents et marées, à l’instauration du multipartisme.
D’ailleurs, certains parmi vous, avec qui j’ai siégé au sein de cet hémicycle, savent que j’ai toujours encouragé le dialogue avec nos adversaires politiques. C’est cette même volonté d’ouverture et de dialogue qui a dicté la main tendue que j’ai offerte dès mon accession à la magistrature suprême.
En tant que Président de la République, j’ai séjourné dans toutes les provinces du Gabon.
J’y ai rencontré des hommes et des femmes dignes, fiers de ce qu’ils sont, et qui attendent de nous, parlement et gouvernement, que nous apportions des réponses concrètes et immédiates à leurs attentes.
Que veulent les hommes et les femmes de ce pays ?
- Ils veulent que l’Etat construise des routes, des écoles, des hôpitaux ;
- Que l’Etat les aide à accéder à l’emploi, à la propriété ou à un logement décent ;
- Ils veulent accéder à la satisfaction de leurs besoins essentiels.
Nos compatriotes ne veulent plus de l’attentisme, des palabres politiciennes stériles, des grandes messes inutiles, bref tout ce qui a contribué à gangrener notre vie politique ces vingt dernières années.
Partout où je me suis rendu récemment, d’Oyem à Bitam, de Lambaréné à Lébamba, en passant par Fougamou, Mouila et Ndendé, nul ne m’a posé la problématique du dialogue politique comme étant une préoccupation primordiale, pas même dans les quartiers de Libreville. Bien au contraire, nos compatriotes n’ont eu de cesse de me dire : « Ali, fais ce que tu as à faire, la politique on est fatigué ! » ou encore « Vas-y Ali, courage, n’abandonne pas, on est avec toi ! »
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames et Messieurs,
Aujourd’hui, nous devons opérer une rupture.Rupture avec ce qui n’a pas bien fonctionné, rupture avec ces vingt dernières années de marche à reculons.
Nous ne pouvons pas renier notre héritage. Nous devons entièrement l’assumer, chacun pour sa part, mais nous savons aussi que dans tout héritage, il y a un actif et un passif.
Nous devons nous défaire des pesanteurs du passé et nous orienter résolument vers notre destin commun qui nous impose de réussir.
C’est le lieu de saluer les efforts de nos prédécesseurs qui ont contribué à la naissance de notre première Administration et à la création de nos premières grandes infrastructures, jetant ainsi les bases d’un Etat moderne.
Ces progrès ne doivent cependant pas occulter le douloureux héritage du consensus tous azimuts.
En effet, de l’avis de nombreux observateurs tant au Gabon qu’à l’étranger, l’hyper-politisation de notre société et nos multiples incohérences ont été un frein à son développement pourtant bien engagé.
La Conférence Nationale, évènement initialement accueilli par les filles et fils de ce pays comme le rendez-vous du nouveau départ, a permis un certain nombre d’acquis très importants avec l’adoption du multipartisme, la liberté d’association, d’opinion et d’expression ; la mise en place des institutions démocratiques et républicaines, la séparation des pouvoirs ; avant d’être détourné de son objet pour se transformer en d’interminables joutes, en des règlements de comptes politiques.
Dans ce sens, la vérité des faits impose de reconnaître que l’adoption du multipartisme a donné lieu à une odyssée vers la création de partis politiques à caractère provincial, régional, ethnique et même familial. Tout se passait comme si la création d’un parti politique permettait un accès plus rapide, plus facile et plus évident à la richesse, plutôt que le travail à l’usine ou à la plantation.
En d’autres termes, créer un parti politique était le moyen le plus sûr de s’enrichir rapidement et indûment, grâce aux subventions que l’Etat versait et que personne n’a jamais pris le soin de contrôler.
Ce fut aussi cela le résultat des « Accords de Paris » dont la tenue, rendue nécessaire par les violences de janvier et février 1994, a produit des résolutions qui seront vite contestées par ceux-là même qui ont contribué à leur mise en place.
Nous nous sommes dotés d’un code électoral strict, plus rigoureux que les modèles français, allemand et américain, et cependant, celui-ci a été systématiquement contesté et remis en cause par les perdants.
Nous avons passé beaucoup trop de temps à ne faire que de la politique, au détriment du développement économique et social de notre pays et du bien être de ses populations. Ces mêmes populations ont été transformées en spectatrices impuissantes de leur destin, alors que les hommes politiques allaient et venaient, de négociations en arrangements, souvent guidés par des appétits personnels.
Il y a eu ensuite « les Accords d’Arambo », où la réflexion sur la question des élections a conduit à la création de la Commission Electorale Nationale Autonome et Permanente (CENAP) qui, à peine créée, a également essuyé des contestations et même des accusations.
Vingt-deux ans après la tenue de la Conférence Nationale, après tous les constats que nous avons pu faire et les échecs que nous avons essuyés, devons-nous organiser une Conférence Nationale dite souveraine, dont le but affirmé n’a d’autre objet que de perpétrer un véritable coup d’état constitutionnel, ouvrant ainsi la voie à la tenue de petits arrangements entre amis ?
La politique devrait-elle se résumer en Afrique à des grandes messes où tout le monde trouve son compte ?
Je refuse cette conception tropicale de la gestion des affaires publiques !
C’est pourquoi, à notre sens, la demande d’une telle rencontre masque mal l’indigence d’une opposition en manque de projet et qui a été battue à chaque échéance électorale. Elle cherche aujourd’hui à s’exonérer des lois de la République pour tenter d’exister et d’accéder au pouvoir par effraction.
Ceux qui demandent cette conférence manifestent en fait leur aigreur de ne plus être aux affaires. C’est cette manière de faire qui justifie, entre autres, le rejet que nos compatriotes expriment de plus en plus envers la classe politique.
De nombreuses personnalités à l’étranger comme chez nous, s’étonnent de cette nouvelle tendance qui veut qu’au Gabon, on se proclame opposant dès lors qu’on n’est plus aux responsabilités, comme si la seule vie politique qui vaille est celle que l’on mène au gouvernement. Etre ministre n’est pas une profession.
N’est-il pas normal, pour un pays qui veut se développer, de faire appel à des nouvelles énergies, de donner sa chance à une nouvelle génération ? Nous devons apprendre à passer le témoin, à faire en sorte que d’autres talents émergent.
Certains veulent rester scellés à leurs postes au risque de bloquer des générations entières de nos compatriotes.
Ceux qui veulent la conférence nationale aujourd’hui, ce sont les mêmes qui, hier encore, la refusaient. Ils la refusaient parce qu’elle ne servait pas leurs intérêts.
Ils la refusaient parce qu’elle risquait d’ouvrir la voie à de nouvelles forces politiques auxquelles ils ne voulaient ni ne pouvaient faire face.
Ceux qui réclament à cor et à cris la conférence nationale aujourd’hui, ce sont les mêmes qui hier ont été jusqu’à introduire dans la Constitution de la République, un âge limite pour accéder à la fonction ministérielle, pensant ainsi me punir de m’être montré favorable au dialogue politique.
Deux décennies après, ces mêmes personnes veulent une conférence nationale non pas dans l’intérêt du Gabon et des gabonais, mais dans le seul but d’assouvir leur appétit de pouvoir et de positions.
Dans toute démocratie moderne, le lieu par excellence du débat contradictoire est précisément le parlement. C’est ici au milieu des représentants du peuple et de la nation que se mène le véritable dialogue, puisqu’en votre sein toutes les parties du territoire et donc toutes nos communautés sont représentées.
Dans l’exercice de mes fonctions de Président de la République, j’ai déjà prouvé que je savais me mettre à l’écoute de mes compatriotes. Je l’ai fait s’agissant de l’épineuse question de l’île Mbanié, en recevant toute la classe politique et les forces vives de la nation. Rien ne m’y obligeait, mais je l’ai fait.
Je l’ai fait s’agissant de l’introduction de la biométrie dans notre système électoral. J’aurai pu la refuser, cette biométrie, comme certains de ceux qui s’attaquent à moi aujourd’hui l’ont fait dans un passé encore récent. Mais j’ai considéré dans l’un et l’autre cas qu’il y allait de l’intérêt supérieur de la nation, alors je l’ai fait.
Je vous annonce que dans les prochaines semaines je recevrai à nouveau la classe politique et les forces vives de la nation pour parler de la CEMAC, car comme vous le savez, notre pays assure la présidence de cette organisation sous-régionale depuis le dernier sommet de Brazzaville.
Je ne redoute pas le dialogue.
Mais je ne dialoguerai pas avec des personnes qui ne respectent ni les institutions de leur propre pays, ni ceux qui les incarnent, encore moins les Lois de la République.
Je ne dialoguerai pas avec ce genre de personnes.
Je ne dialoguerai pas avec des personnes qui, se prétendant chrétiennes, envoient des casseurs dans la rue le jour de l’Assomption, jour consacré à la célébration de la Vierge Marie.
Je ne dialoguerai pas avec des personnes qui, ayant occupé des hautes fonctions dans l’Etat, veulent bafouer les symboles de la République en cherchant à occasionner des violences le 17 août, jour de la célébration de notre Indépendance.
Je le dis très clairement, tant que ces personnes-là poseront des actes antipatriotiques et de défiance à l’Autorité de l’Etat, je ne les recevrai pas.
Tant que par leurs actes, ces gens-là mettront en péril la vie des citoyens qu’ils prétendent protéger, je ne les recevrai pas.
Nous avons le devoir de préserver notre unité et notre cohésion nationales.
En tant que Président de la République, j’ai le devoir d’assurer cette cohésion. Par conséquent, je reste disposé à recevoir et à travailler avec tous ceux des compatriotes qui le désirent dans le strict respect des institutions et des lois de la république.
L’objectif que nous devons nous fixer dès aujourd’hui, est de situer le gabonais avec lui-même et avec l’autre.
En chacun de nous, il y a nous et l’autre parce que dans tout homme, il y a deux êtres, un être individuel qui se perd dans les méandres de la solitude, et un être social qui se construit exclusivement par l’acceptation de l’autre.
La différence des représentations et des comportements entre l’autre et moi n’est donc pas le fait d’une différence naturelle mais plutôt l’effet d’un formatage culturel de la pensée.
J’ai prêté le serment d’œuvrer en tout temps, et de toutes mes forces, pour le bien-être du peuple gabonais. Je lui dois la vérité.
La vérité c’est que je ne laisserai personne remettre en cause notre vivre ensemble, quels qu’en soient les prétextes, les motivations ou la qualité des auteurs.
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames, Messieurs,
Nous nous devons de tourner le dos à la violence parce que la violence fait accéder à la folie. La folie elle, est meurtrière pour soi-même et pour ceux qui nous entourent.
Nous n’avons encore jamais vu de par le monde un pays qui se soit développé en détruisant ses fondements essentiels.
La Nation Gabonaise est forte lorsqu’elle élève la contradiction au-dessus des particularismes. Elle est faible et fragile lorsqu’elle se laisse aller à la stigmatisation, à l’exclusion, au repli identitaire.
En tant que Chef de l’Etat, en tant que garant du bon fonctionnement des institutions et de la cohésion nationale, en tant qu’homme ouvert au monde, je me battrai de toutes mes forces pour le bien des gabonais.
Je consacrerai toute mon énergie pour l’amour de notre pays, à la lutte contre la division, la stigmatisation, la balkanisation, la xénophobie.
Nous devons lutter contre les promoteurs de ces maux qui ont produit tant de désastres et de désolations sur le continent, et que certains comportements irresponsables risquent d’attirer aux portes de notre pays.
Notre nation n’a besoin ni de régionalisme, ni de tribalisme. Notre nation a besoin de cohésion et de sérénité. Notre nation a besoin de paix et de développement.
Le tribalisme est une forme de racisme. C’est une bête immonde qu’il convient de combattre avec la dernière énergie.
Je demande au parlement d’étudier le cadre législatif nécessaire pour pénaliser le tribalisme au même titre que le racisme. Par conséquent, toute entité, privée ou étatique, politique ou religieuse qui prône et développe des thèses tribalistes, devrait être poursuivie et condamnée par la justice.
Le tribalisme est un poison que certains sont en train d’inoculer dans notre corps social, en prônant la supériorité de soi et le rejet de l’autre.
L’autre c’est le Punu. L’autre c’est le Fang. L’autre c’est le Kota, le Myéné, le Téké, le pygmée. Mais l’autre c’est aussi le Fang de Bitam lorsqu’on est Fang d’Oyem. L’autre c’est le Punu de Mouila lorsqu’on est Punu de Tchibanga. L’autre c’est le Téké lorsqu’on est Obamba. L’autre c’est l’Orungu lorsqu’on est Nkomi.
L’autre c’est le Mpongwe de Glass lorsqu’on est Mpongwe de Louis. L’autre c’est le Camerounais, le Congolais, l’Ivoirien, le Béninois, le Sénégalais, le Malien.
L’autre c’est le Blanc, le Rouge, le Jaune. L’autre c’est l’Arabe. L’autre c’est le chrétien. L’autre c’est le musulman, le bouddhiste, le bwitiste. L’autre c’est l’étranger.
On peut donc en définitive se demander : qui est l’autre ?
Certains d’entre nous pensent que le Président de la République ne devrait pas évoquer ce genre de questions. Ceux qui pensent ainsi s’imaginent qu’on fait disparaître la poussière en la mettant sous le tapis. Agir de cette manière, c’est refuser de regarder la réalité en face.
D’autres pensent qu’il serait préférable de rester indifférents et que le problème finira bien par disparaître.
A ces compatriotes qui réfléchissent ainsi, j’aimerais poser une question : comment le Président de la République peut-il garantir la cohésion nationale s’il reste indifférent face à un mal qui menace notre nation ?
Non, Mesdames et Messieurs, nous ne pouvons pas rester indifférents. Nous ne pouvons pas laisser l’indifférence nous dévorer.
Il me revient à l’esprit à l’heure où je m’exprime devant vous, ce poème de Martin Niemöller, Pasteur Allemand, décédé le 06 mars 1984, et qui pendant la deuxième guerre mondiale a écrit, je cite :
« Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas juif.
Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas catholique.
Puis ils sont venus me chercher,
Et il ne restait personne pour protester. » Fin de citation.
Ce texte traduit les dangers de l’indifférence. Le mal que nous refusons de combattre finit toujours par nous atteindre.
Le temps est venu pour nous de tourner la page. La page de la contestation honteuse, fondée sur le tribalisme. Le temps de la recherche d’une promotion non pas sur la base du mérite, mais sur la seule appartenance ethnique ou tribale. Ces temps-là sont révolus.
La géopolitique a surement été nécessaire pour que la nation se reconnaisse dans ses dirigeants.
Elle a surement été nécessaire pour bâtir et consolider notre lien social. Mais aujourd’hui, nous devons tourner la page.
La géopolitique, sortie de son contexte, a favorisé la constitution de baronnies. Elle a permis la mise en place d’une gestion féodale des élites qui a eu pour conséquence de fragiliser l’Etat et de paralyser, par endroit, l’action publique. Celle-ci se confondant avec la volonté de tel ou tel roitelet.
Je parlais tantôt de la nécessité d’accepter l’autre. Je me dois de préciser que cette acceptation de l’autre est une attitude d’écoute, d’observation et d’objectivation permanentes. C’est pour cela que nous devons lire notre relation avec l’autre dans un paradigme d’ethnosociabilité.
Ce paradigme se traduit par le souci pour chacun de nous de manifester son besoin profond d’entretenir avec autrui, des relations humaines, des relations saines, des relations construites sur le respect, la considération de l’autre, l’envie et le besoin de se connaître pour repousser « le cancer social » qu’est le tribalisme.
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames, Messieurs,
Nous sommes une nation parce que nous avons en partage notre passé. Nous sommes une nation parce que nous avons des ressentis communs, une vision commune du monde qui nous entoure. Nous sommes une nation parce que nous avons décidé d’avoir en partage notre avenir.
La nation gabonaise c’est la prise en compte effective de toutes ses composantes sociales : ce sont ses hommes, mais aussi ses jeunes et ses femmes qu’il nous faut intégrer dans la gestion des affaires publiques.
Je demande au gouvernement et au parlement de légiférer dans les meilleurs délais afin qu’une place plus importante soit réservée aux femmes et aux jeunes sur les listes de candidatures aux élections locales et au sein des exécutifs locaux. Cela implique une répartition équitable que j’envisage à 30% pour les femmes et 30% pour les jeunes âgés de 18 ans à 35 ans.
Nous sommes également une patrie.
Nous le sommes parce que tout au long de notre histoire commune, nous avons su établir une continuité non seulement de notre territoire, mais aussi de nos réalisations, de nos réussites, de nos rêves, de nos efforts…
Nous sommes une patrie parce que nous avons conscience d’avoir hérité du labeur de nos ancêtres. Nous le sommes aussi par notre éducation, nos croyances, notre attitude face à la mort, notre manière d’invoquer l’au-delà.
La patrie nous est consubstantielle, en ce sens que nous venons au monde, en recevant mille fois plus de notre pays que nous ne pouvons lui apporter. C’est pourquoi on parle souvent du culte de la patrie.
Oui, ayons l’amour de notre pays et le culte de la patrie comme dénominateurs communs.
Nous ne pouvons pas aimer notre pays à reculons.
Nous qui sommes aux responsabilités aujourd’hui, nous devons prendre conscience que le Gabon nous regarde, la jeunesse gabonaise nous regarde.
De quel pays avons-nous hérité ? Quel pays allons-nous léguer à nos enfants ? Dans quel état sera-t-il ?
C’est ici que je voudrais faire appel à une autre notion, quelque peu surannée pour certains, mais tellement essentielle : le patriotisme.
Le patriotisme relève de l’attachement profond que nous devons à notre pays. Le patriotisme, c’est ce qui nous pousse à situer l’intérêt général au-dessus de nos intérêts particuliers et partisans.
Le patriotisme, c’est la volonté et la détermination de préserver le bien commun. Le patriotisme, c’est « Gabon d’abord » !
Le patriotisme ce n’est pas indiquer que la victoire de l’Equipe Nationale reviendrait à une ethnie au motif que celui qui a marqué le but appartient à cette ethnie-là.
Le patriotisme c’est célébrer le vert-jaune-bleu au-delà de toute autre considération.
Le patriotisme c’est célébrer notre médaillé olympique pour l’honneur qu’il a fait à notre pays.
Le patriotisme c’est l’extraordinaire communion qui a enflammé le peuple gabonais tout entier lors de la CAN 2012.
Ensemble nous avons célébré nos victoires, ensemble nous avons pleuré quand fut venue l’heure de la défaite. Nous avons été unis dans la victoire et soudés dans la déception.
Nous qui nous érigeons en donneurs de leçons, nous sommes-nous souvent demandé, si dans l’exercice quotidien de nos fonctions respectives, nous avons toujours placé l’intérêt général au-dessus de nos intérêts particuliers ?
Combien de fois avons-nous signé un acte administratif, avec la pleine conscience que cela ne servait pas l’intérêt général ? Mais nous l’avons quand même fait, pour notre propre intérêt.
Combien de fois avons-nous fermé les yeux sur un contrat, une convention, un marché, dont nous savions qu’il ne servait pas les intérêts du pays ?
Combien de fois avons-nous bradé notre patrimoine commun, notre sous-sol, dans des conventions léonines, en ne pensant qu’à nous-mêmes, sans penser au pays, encore moins aux générations futures ?
Combien de fois ?
Combien de fois avons-nous, par cupidité, contribué à spolier notre pays, au seul profit des grands groupes étrangers ?
De ces questions essentielles, nul ne veut parler.
Lorsqu’en 2007 déjà Omar BONGO ONDIMBA, mon prédécesseur, dans un discours désormais passé à la postérité posait la même problématique, il ne s’adressait pas aux gens venus de nulle part, c’est à nous qu’il parlait, classe politique, classe dirigeante et population gabonaise, chacun à sa place et chacun en ce qui le concerne.
C’est nous gabonais qui avons fait Air Gabon et c’est nous gabonais qui avons détruit Air Gabon.
C’est nous gabonais qui avons fait le Transgabonais et c’est nous gabonais qui l’avons détruit.
C’est nous gabonais qui avons fait Africa N°1 et c’est nous qui l’avons détruit.
C’est nous gabonais qui avons fait la Fondation Jeanne Ebori et l’Hôpital Pédiatrique d’Owendo et c’est nous qui les avons détruits.
Blâmer l’autre ne peut en aucune façon nous exonérer de notre propre responsabilité.
Certains semblent avoir mis un tel acharnement à détruire notre pays, qu’on en viendrait à croire qu’ils posséderaient quelque part un pays de rechange !
Mais nous, nous n’avons pas de pays de rechange. C’est pourquoi nous devons tout mettre en œuvre pour construire notre pays. Nous devons bâtir une nation prospère. C’est notre génération qui doit y arriver. Faute de quoi le retard accumulé serait irrattrapable par nos enfants.
Honorables Députés,
Vénérables Sénateurs,
Distingués invités,
Mesdames et Messieurs,
Il faut en finir avec le laxisme, l’attentisme, l’immobilisme et la paresse. Il faut déserter le camp des partisans du moindre effort et passer à l’action. Aucun pays ne s’est développé sans mettre de l’ardeur au travail. Le travail à l’atelier, le travail à l’usine, le travail dans l’entreprise, le travail au ministère, le travail à la plantation, le travail en mer.
Mon rêve et mon ambition sont de construire un nouveau Gabon, un Gabon fort, un Gabon uni et rassemblé, un Gabon d’une prospérité toujours plus accrue, un Gabon où il fait bon vivre, un Gabon immortel et digne d’envie, un Gabon Emergent. Cela est possible. D’autres l’ont fait, nous le pouvons aussi.
Aucun décret ne fera du Gabon un pays Emergent. Nous ne le deviendrons que si nous le désirons ardemment, et si nous nous mettons résolument au travail.
Dans un environnement international marqué par la concurrence, nous devons prendre conscience qu’il nous revient de dessiner la place du Gabon en Afrique et dans le reste du monde.
Nous avons le devoir, nous qui avons succédé aux pères fondateurs, d’aller plus loin, afin de léguer à nos enfants un pays dont ils puissent être fiers.
L’amélioration du quotidien des gabonais est le fondement du contrat que j’ai passé avec mes compatriotes qui m’ont porté à la tête de notre pays.
C’est fort de cela que j’ai proposé un projet de société avec des données maîtrisées et réalistes. Ce projet, auquel le peuple gabonais a adhéré, je l’ai décliné en un Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE).
Depuis trois ans, nous avons mis en œuvre une politique de réforme économique et sociale ambitieuse qui guide désormais notre développement.
Ces réformes sont aujourd’hui saluées par les gouvernements et par les organismes les plus compétents.
Ainsi, la réforme budgétaire en cours nécessaire à la consolidation de nos finances publiques recommande que les pratiques courantes dans nos administrations migrent progressivement vers les principes et les bonnes pratiques observés au plan international et véhiculés par les partenaires techniques et financiers, dont le FMI, la Banque Mondiale, l’Union Européenne, la Banque Africaine de Développement etc.
Ces principes et bonnes pratiques prescrivent qu’avant d’être exécutées, toute dépense, notamment la dépense d’investissement doit faire l’objet :
- de plan de passation de marchés ;
- de plan d’engagement ;
- de plan d’ordonnancement répondant au principe selon lequel « L’Etat ne paie qu’après service fait ». Cela permet de s’assurer que le règlement correspond bien au niveau de réalisation des travaux sur le terrain.
Les résultats que nous avons atteints à ce jour ne sont pas encore satisfaisants à nos yeux, mais ils nous encouragent à persévérer dans la poursuite de notre rythme de réformes.
Parmi les travaux que nous avons engagés, il y a aussi notre projet de code en matière de développement durable qui sera la synthèse de toutes les réflexions évoquées au niveau mondial dans ce domaine.
Il s’agit pour nous d’initier et d’être les premiers à mettre en œuvre une vrai politique dans le domaine du développement durable, non pas parce qu’il s’agit d’un sujet à la mode, mais parce que notre pays peut devenir le modèle du continent, voire nous l’espérons un leader mondial dans ce domaine.
La loi que nous voulons mettre en place reposera sur les principes et les objectifs fondamentaux de l’action des pouvoirs publics, des opérateurs économiques et de la société civile pour assurer un développement durable.
L’objectif étant de promouvoir un processus de développement qui intègre de manière équilibrée et synergique les dimensions économiques, sociales et environnementales pour satisfaire les besoins des générations présentes sans compromettre les capacités de générations futures à satisfaire leurs besoins tout en préservant notre patrimoine naturel, économique, physique, humain, social et culturel.
Le développement durable que nous envisageons sera l’exemple de ce qui doit être fait pour que nos compatriotes retrouvent et reprennent possession de leur développement, grâce à la multitude de richesses dont nous disposons et que notre terre nous offre.
Aujourd’hui, dans un esprit de responsabilité, tous nos efforts sont consacrés à la mise en œuvre de notre programme de développement, dans la durée et sur l’ensemble du territoire national.
Le pilier central de ce programme est le nouveau Schéma Directeur National d’Infrastructures. Celui-ci permettra au Gabon de veiller à ce que les meilleures infrastructures se développent à travers la mise en place de projets prioritaires planifiés et ordonnés dans tous les secteurs économiques.
La seule manière de lutter contre les erreurs du passé reste le renforcement de notre dispositif institutionnel.
Nous avons réuni des experts du monde entier pour travailler sur la compilation de ce projet et pour en faire un plan solide et réalisable, prêt à être mis en œuvre.
C’est ce plan que l’Exécutif met progressivement en œuvre.
Nous croyons fermement qu’il s’agit d’un plan sur lequel nous, dirigeants Gabonais, pouvons nous appuyer pour un développement global et harmonieux de notre pays.
Le résultat attendu sera de doter notre pays d’infrastructures structurées et plus compétitives assurant une croissance durable de notre économie. Les premiers fruits sont à présent visibles. Nous enregistrons en effet depuis 2010, une croissance économique qui oscille entre 5,6% et 6,7% dans un environnement international secoué par la pire crise économique survenue depuis des décennies.
Il est à noter que pour la première fois depuis des décennies, la part hors pétrole de notre PIB contribue pour plus de 12% à notre taux de croissance actuelle.
Pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés, j’ai demandé dès 2010, au gouvernement de développer et de faciliter la réalisation de ce plan.
Lequel a été conçu en prenant en compte les infrastructures existantes, notre potentiel de croissance et notre vision d’un Gabon émergent. Cela induit la mise en synergie du Gabon industriel, du Gabon vert et du Gabon des services.
Mon espoir à travers les réformes engagées est de démontrer à nos concitoyens, aux investisseurs potentiels et au monde entier, que le Gabon est désormais une terre d’opportunités.
Le schéma directeur que je vous présente aujourd’hui est le premier du genre initié et adopté par notre pays. Son articulation simplifiée conduit à :
- La présentation d’un cadre comportant l’analyse économique des secteurs porteurs, leur potentiel d’évolution ainsi que la méthodologie utilisée ;
- Une stratégie fixant les orientations générales de l’Etat en matière de modernisation, de construction et de développement d’infrastructures respectueuses de l’environnement et participant du développement durable ;
- La présentation d’un planning de lancement des projets et le rôle moteur que le secteur privé doit y jouer ;
- La mise en place d’outils de programmation et de prise de décision conformes aux normes internationales.
L’exécution du schéma directeur donnera une impulsion décisive à la diversification de l’économie gabonaise, stimulera l’investissement local et étranger direct afin d’améliorer les conditions de vie des populations. C’est ici qu’il convient de souligner la nécessité du partage des fruits de la croissance.
Ce partage que nous avons présenté à travers le triptyque « PAIX – DEVELOPPEMENT – PARTAGE » ne peut se faire qu’à travers la mise à disposition des populations des infrastructures de base que sont la route, l’hôpital, l’école, l’habitat etc.
Ce partage c’est aussi la sécurité sociale, l’augmentation des allocations d’études, l’emploi et l’augmentation du pouvoir d’achat.
Nous avons besoin pour parvenir aux résultats escomptés de marquer notre pleine et entière unité autour du projet Gabon Emergent, afin que ressorte notre véritable unité pour bâtir notre pays.
En résumé, le Plan Stratégique Gabon Emergent vise à faire du Gabon un pays émergent à l’horizon 2025.
Ainsi, la période 2009-2025 devrait voir la mutation d’une économie à faible valeur ajoutée et peu créatrice d’emplois vers une économie diversifiée, s’appuyant sur trois piliers essentiels : le Gabon Vert, le Gabon Industriel et le Gabon des Services, portés par un secteur privé dynamique et un tissu de PME créateurs d’emplois.
La stratégie prévoit, durant la période 2009-2016, de bâtir les fondements de l’émergence, à travers :
- Le développement d’un réseau national d’infrastructures économiques et sociales compétitif ;
- Le renforcement du capital humain et des compétences nationales dans les nouveaux piliers de croissance ;
- Des réformes conduisant vers la mise en place d’un environnement des affaires de rang international afin d’attirer un flux massif d’investissements privés nationaux et étrangers, et enfin ;
- La consolidation de la gouvernance, notamment à travers une réforme en profondeur et un renforcement des capacités de l’administration gabonaise.
L’agenda 2012 du Plan Stratégique Gabon Emergent marque une innovation majeure dans la stratégie de mise en œuvre, avec un souci de synergie maximale dans l’action gouvernementale.
Ainsi, huit Plans Nationaux Intégrés ont été élaborés, fédérant dans une démarche cohérente les actions prévues dans ce domaine par chaque ministère, dans lesquels une méthodologie commune, un travail d’équipe entre plusieurs ministères et un pilotage coordonné s’avèrent nécessaires pour une mise en œuvre efficace de l’action gouvernementale.
De même, ces plans ont été déclinés en projets qui permettent de réorienter le fonctionnement de l’administration.
Depuis trois ans déjà, le Gouvernement de la République met en œuvre le PSGE, secteur par secteur. Des réalisations sont plus visibles dans certains secteurs.
Les retards que l’on semble observer ici et là, seront rattrapés conformément au nouveau programme de travail gouvernemental.
Le PSGE n’atteindra sa pleine mesure que si les PME-PMI gabonaises prennent une place plus affirmée dans notre économie.
Je ne crois pas à un développement économique uniquement fondé sur les grandes entreprises.
Nous avons besoin d’un réseau de PME-PMI dynamique, efficace et qui donne la pleine mesure du génie et savoir-faire gabonais.
Honorables députés,
Vénérables sénateurs,
Vous l’aurez compris il ne peut y avoir aucun développement dans la haine et la division.
Les représentants du peuple que vous êtes doivent travailler sans relâche en vue de créer chaque jour les conditions de production d’un Gabon prospère à travers le vote de la loi, le consentement de l’impôt et le contrôle quotidien de l’action de l’exécutif dans les conditions prévues par loi.
Je vous demande à vous le parlement qui exercez une grande partie du pouvoir législatif et de contrôle de l’action gouvernementale, de vous approprier pleinement le Plan Stratégique Gabon Emergent duquel découle le Schéma Directeur National d’Infrastructures afin que vous l’utilisiez comme un outil devant vous aider à mieux comprendre les orientations générales prises par le gouvernement.
C’est aussi un outil visant à faciliter le vote de la loi et le contrôle des activités du gouvernement en rapport avec l’exécution de la loi des finances et des lois générales.
Le gouvernement vous soumettra dans les prochaines semaines un projet de loi d’orientation sur le Plan Stratégique Gabon Emergent.
Votre responsabilité serait entière si du fait d’une absence de Loi certains pans du Plan Stratégique Gabon Emergent venaient à ne pas être exécutés. Votre responsabilité serait entière si par manque de contrôle de votre part, le gouvernement venait à ne pas respecter les délais et les normes d’exécution du plan.
C’est pour ces missions nobles que les gabonais vous ont donné mandat d’agir en leur lieu et place pour la construction d’un nouveau Gabon, un Gabon de l’ambition.
L’ambition comme fondement de l’action.
L’ambition comme moteur principal du développement.
Si ceci est un rêve, nous l’assumons et nous vous invitons à le partager.
Tel est le Gabon moderne que je défends.
Tel est le Gabon que nous devons bâtir.
Tel est le Gabon dont je suis venu vous parler.
Vive la République !
Que Dieu bénisse le Gabon.
Je vous remercie.
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11/09/2012
Réponse du raciste Vincent Hugeux à Raphaël Ntoutoume Nkoghe . La réplique cinglante de Raphaël ne s'est pas fait attendre.
Cher Monsieur,
Votre courrier, que je viens de lire avec toute l’attention qu’il mérite, appelle les commentaires suivants.
Je n’ai donc pas « pris la peine de venir vous rencontrer ». Vous êtes-vous donné celle de m’inviter à le faire ? Non. Or, je n’ai pas pour habitude -chacun son style- de débouler là où je n’ai pas été convié.
Si, appliquant le précepte que vous m’assenez, vous vous étiez un tant soit peu renseigné, vous sauriez que je n’ai pas précisément la réputation d’écrire « sous la dictée » de qui que ce soit. En l’occurrence, et pour m’en tenir aux faits, j’ai consulté pour le seul papier incriminé sept sources indépendantes, dont cinq gabonaises, familières de la présidence pour deux d’entre elles.
Le « scandale du siècle » - c’est vous qui le dites- aurait à coup sûr fait l’objet d’une cover de L’Express, pas d’une chronique sur son site Web, rédigé comme le veut la loi du genre sur un mode un chouïa incisif. Scandale du siècle ? Non. Plus simplement, une aventure médiocre et cocasse, symptomatique de mœurs politiques préjudiciables à l’image du Gabon.
La référence au défunt André Christ Nguimbi -ou Nguembi, selon les sources-, que vous vous abstenez de nommer, est a minima d’une inélégance confondante. En clair, vous imputez la genèse de cette pantalonnade à ce député et ancien ministre qui, paix à son âme, n’est plus là pour s’en défendre. Plutôt que de vous interroger sur la responsabilité de ceux qui se sont prêtés à cette équipée. Si quelqu’un a craché sur sa sépulture, ce n’est certes pas moi.
J’ai écorché votre patronyme ? Le mien l’étant plus souvent qu’à son tour, y compris par vos amis, vous m’en voyez navré. Notez au passage que j’ai repris l’orthographe figurant sur la fameuse « invitation », dont vous connaissez les auteurs infiniment mieux que moi. C’est dont à eux que le grief devrait être adressé en priorité.
Pour connaître un peu son histoire, et la trajectoire de quelques-uns de ces piliers, je soutiens que le pouvoir gabonais n’a pas grand-chose à craindre de La Griffe.
Vous m’invitez au Gabon ? Vous devriez savoir que j’ai pour principe de n’accepter aucune invitation et de ne jamais participer aux « voyages de presse ». Tous mes reportages, en Afrique ou ailleurs, se font aux frais exclusifs de L’Express. Par ailleurs, la délicieuse Laure Olga Gondjout a pris soin de m’interdire de couvrir la campagne présidentielle de 2009, puis a biffé mon nom de la liste des journalistes bienvenus aux cérémonies du Cinquantenaire de l’indépendance. Plus récemment, il m’a été impossible d’animer in situ, comme le souhaitait Richard Attias, l’un des panels du NYFA. Ce que je ne regrette nullement au demeurant, compte tenu de la tournure prise par ce forum et du climat dans lequel il s’est déroulé.
Deux remarques en guise de conclusion. D’abord, il y a, dans votre long courrier, beaucoup d’indignation mais pas la moindre récusation factuelle. Merci de confirmer ainsi l’exactitude de mon récit. Ensuite, parmi les destinataires en copie de votre courriel figure au premier chef un certain Michel Ogandaga. Celui-là même qui, vendredi, a mis en ligne une diatribe me concernant qui serait ignoble et infamante si elle n’enfonçait pas les frontières du grotesque, au point d’en devenir risible. Je passe sur les imputations injurieuses et diffamatoires qui ne souillent que leur auteur. Des tonnes de haine, et pas un atome de vérité. Voilà une performance qui devrait valoir à l’intéressé de figurer en bonne place dans le Guiness Book : les anecdotes rapportées n’ont jamais existé que dans l’imagination fertile de leur auteur. Franchement, comme modèle de rigueur et d’intégrité, on doit pouvoir trouver mieux.
Bien à vous.
Vincent Hugeux.
Replique immédiate et cinglante de Raphaël Ntoutoume Nkoghe :
Bonjour Monsieur Hugeux
Je constate que ma réponse vous a enfin donné l’occasion de vider votre sac. Et vous l’avez très bien vidé. Mais le fait de juxtaposer des mensonges comme vous le faites avec une habileté que je salue au passage, ne saurait cependant abuser de la vérité. Celle que tout le monde connaît. Un énorme plaisir pour moi de vous en faire la démonstration.
« Je n’ai donc pas « pris la peine de venir vous rencontrer ». Vous êtes-vous donné celle de m’inviter à le faire ? Non. Or, je n’ai pas pour habitude-chacun son style- de débouler là où je n’ai pas été convié ».
Mais je ne vous convie à rien du tout. C’est vous le journaliste. C’est vous qui avez décidé d’écrire sur moi. Et je crois savoir que la règle dans votre métier impose que ce soit le journaliste qui se rapproche du sujet de son information. Mais vous avez quand même le culot de me dire que c’est à moi qu’il revenait de vous « inviter » comme si je vivais dans votre plume pour deviner que vous étiez en train de pondre votre scoop.
En fait, vous ne pouviez me rencontrer pour la simple et bonne raison que vous n’étiez pas à La Rochelle, encore moins en France. Je persiste et je signe : vous écrivez sous la dictée. En voici d’ailleurs la preuve.
« Pour connaître un peu son histoire, et la trajectoire de quelques-uns de ces piliers, je soutiens que le pouvoir gabonais n’a pas grand-chose à craindre de La Griffe. »
Quel lien avec La Rochelle ? Aucun. Sauf qu’on vous a dit que j’anime « La Griffe » et vous l’avez écrit sans le vérifier et sans pouvoir le démontrer. Cela s’appelle incontestablement écrire sous la dictée.
« Si, appliquant le précepte que vous m’assenez, vous vous étiez un tant soit peu renseigné, vous sauriez que je n’ai pas précisément la réputation d’écrire « sous la dictée » de qui que ce soit. En l’occurrence, et pour m’en tenir aux faits, j’ai consulté pour le seul papier incriminé sept sources indépendantes, dont cinq gabonaises, familières de la présidence pour deux d’entre elles ».
Dans le mensonge, on ne saurait faire mieux. Votre papier n’a été qu’une synthèse beaucoup potable de tout ce que l’opposition et la société civile avait déjà entonné sur Facebook. Et je me pose la question de savoir si vous êtes vraiment conscient de ce que vous dites lorsque vous orientez, avec une telle précision, la situation de vos fameuses « sources indépendantes (…) familières de la Présidence pour deux d’entre elles ».
« Plus simplement, une aventure médiocre et cocasse, symptomatique de mœurs politiques préjudiciables à l’image du Gabon. »
Tout en vous laissant la paternité du propos, mais je n’ai personnellement rien trouvé de « médiocre et cocasse » que d’avoir été reçu par le Maire de La Rochelle, M. Maxime Bono ; d’avoir échangé à Paris avec Madame Yamina Benguigui et à La Rochelle avec M. Victorin Lurel, Madame Edith Cresson, M. Jérôme Cahuzac, M. Claude Bartolone, M. Harlem Désir, M. Pierre Cohen et même avec votre ami « Camba » qui a d’ailleurs promis nous revoir.
« La référence au défunt André Christ Nguimbi-ou Nguembi, selon les sources-, que vous vous abstenez de nommer, est a minima d’une inélégance confondante. En clair, vous imputez la genèse de cette pantalonnade à ce député et ancien ministre qui, paix à son âme, n’est plus là pour s’en défendre. Plutôt que de vous interroger sur la responsabilité de ceux qui se sont prêtés à cette équipée. Si quelqu’un a craché sur sa sépulture, ce n’est certes pas moi ».
Et nous voilà à l’extrémité même de l’ignominie. Il vous suffisait pourtant d’aller simplement sur Google pour avoir le nom exact de feu André-Christ Nguembi. Mais je vous comprends puisque vous êtes immortel. Pour le reste, je vous trouve professionnellement malhonnête car je n’ai pas à imputer quoi que ce soit à qui que ce soit du moment où je ne me suis jamais plaint. C’est par contre vous qui déversez de torrents de larmes sur « cette équipée » au point d’écorcher le nom d’un mort.
« J’ai écorché votre patronyme ? Le mien l’étant plus souvent qu’à son tour, y compris par vos amis, vous m’en voyez navré. Notez au passage que j’ai repris l’orthographe figurant sur la fameuse « invitation », dont vous connaissez les auteurs infiniment mieux que moi. C’est dont à eux que le grief devrait être adressé en priorité. »
Bref, comme mes amis auraient écorché votre nom, cela vous a donné le droit d’en faire autant avec le mien. Monsieur Hugeux, dans mon éducation, s’il y a une chose que je ne peux jamais oublier, c’est de m’excuser quand je suis en tort. Et là encore vous faites montre d’une paresse intellectuelle « préjudiciable » à la pratique de votre métier. Parce que, jusqu’à ce jour, je ne savais pas, en ce qui concerne le nom d’une personne, qu’un journaliste se limitait à « reprendre » mécaniquement « l’orthographe figurant » sur un document.
« Deux remarques en guise de conclusion. D’abord, il y a, dans votre long courrier, beaucoup d’indignation mais pas la moindre récusation factuelle. Merci de confirmer ainsi l’exactitude de mon récit ».
Pure mensonge ! Comme vous l’avez remarqué plus haut, en quittant Libreville, notre délégation avait un calendrier bien précis. A part votre « Camba », nous avons rencontré toutes les personnes précitées car elles nous attendaient. C’est vous dire que personne n’a « déboulé là où » il n’était pas « convié ». A part votre imagination et la dictée de vos amis qui ont « déboulé » dans cette affaire qui ne finira apparemment pas de les torturer autant.
Quant à vos colères contre Madame Laure Olga Gondjout et Monsieur Michel Ogandaga, je ne comprends pas que vous ayez attendu ma réponse pour leur répondre. Mais peu importe. Toutefois, votre lamento à leur endroit n’a aucune valeur. Cela, pour cette seule raison : au Gabon, il y a un dicton populaire qui enseigne qu’ « un vrai garçon ne parle pas derrière les autres, mais vis-à-vis ».
En bon entendeur…
Raphaël Ntoutoume Nkoghe
Conseiller du Président de la République
https://www.facebook.com/MichelOGANDAGA
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10/09/2012
Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Jeudi 06 Septembre 2012(3ème Partie)
SUITE NOMINATIONS DU CM DU 06-09-2012
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
ENSEIGNEMENT PRIVE CATHOLIQUE
PROVISEURS LYCEE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Proviseur : M. FANG EKORE Patrice, PESDG, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION/ LIBREVILLE
- Proviseur : Mme ANGUILE Nadine Patricia, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Proviseur : M. PAMBOU MIHINDOU Max, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Proviseur : Mme NYAMA Gisèle, Conseiller Pédagogique du 2nd degré, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ / LIBREVILLE
- Proviseur : M. Luis Martin NIETO, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Proviseur : M. MEYE M’OBIANG François, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR RAPONDA / WALKER PORT-GENTIL
- Proviseur : M. BOUSSOUGOU BOUASSA Gaston, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Proviseur : M. MBOMA Martin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR JEAN BAPTISTE ADIWA / LAMBARENE
- Proviseur : Mme Brigitte NTSAME MVE, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE JEAN JEROME ADAM / FRANCEVILLE
- Proviseur : M. BIVIGOU Bruno, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Proviseur : M. MASSALA Joseph, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL / MOUILA
- Proviseur : M. PONDZI BAYA Célestin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS / TCHIBANGA
- Proviseur : M. GOUMBA Dieudonné, PESDG, confirmé
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Proviseur : M. ENGONGA OBAME Jean Philippe, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA / SALETTE KOULA-MOUTOU
- Proviseur : M. LENDAMBA Laurent, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES / MAKOKOU
- Proviseur : M. ONDO MINKO Marcus, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO
- Proviseur : M. MAPAGA Adrien, PESDG, confirmé
COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY ALENAKIRI / LIBREVILLE
- Principal : M. OKOUE ASSOUMOU Thomas, PESDG, confirmé.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Principal : M. BOULINGUI Bienvenu, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT JOSEPH / MITZIC
- Principal : M. OBYANG MBA Jean Félix, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT JEAN / MINVOUL
- Principal : M. MEFE ME NNANG Paul, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT FELICIEN DE DIBWANGUI / LEBAMBA
- Principal : M. MBATCHI LOEMBE Rufin, PESDG, confirmé.
CENSEURS PEDAGOGIQUES DU 2nd CYCLE
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Censeur du 2nd Cycle : M. NGUEMA EDZANG Sylvain, PESDG, confirmé.
LYCEE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Censeur : M. EYA MINKO Fidèle, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ / LIBREVILLE
- Censeur du 2nd Cycle : M. MADOUNGOU Michel, PESDG, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Censeur du Second Cycle : M. NGUEMA OYAME Célestin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Censeur du second cycle : M. MBORY Célestin, PESDG, en remplacement de M. MBOUMBA Paul, muté.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO
- Censeur du second cycle : Mme SINDZI NGONANDIMBOU Gertrude, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Censeur du Second cycle : M. OTOUNGA Gérard Constant, PESDG, en remplacement de M. NDOUNGA TSIENDI, muté.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Censeur du Second cycle : Mme ANGUE ELLA Flavienne, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.B. ADIWA / LAMBARENE
- Censeur du second cycle: M. OVONO EDZANG Joseph Aimé, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR ANDRE RAPONDA WALKER / PORT-GENTIL
- Censeur du second cycle : M. MISSOUMA Christian, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Censeur du second cycle : M. MBOUMBA Paul, PESDG, précédemment censeur du second cycle au Collège et Lycée Saint Dominique / Moanda, en remplacement de M. MBORY Célestin, muté.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE / KOULA-MOUTOU
- Censeur du Second cycle : M. ALLOGO OBAME Jean Paulin, PESDG, confirmé
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL / MOUILA
- Censeur du second cycle : M. NDOUGA TSIENDI Jean Pascal, PESDG, précédemment censeur du second cycle au collège et lycée Saint Dominique / Moanda, en remplacement de M. OTOUNGA Gérard C, muté.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA
- Censeur du second cycle : M. FOULA Jean Aimé, PESDG, précédemment censeur du premier cycle à l’Institution Immaculée Conception, en remplacement de M. OBIANG ELLA Iréné, muté.
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Censeur du second cycle : M. OBOU’OU EYENGA Paulin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Censeur du second cycle : M. MBA MOTO Jean Baptiste, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES / MAKOKOU
- Censeur du second cycle : Mme BOBANGA Bernadette, PESDG, confirmé.
CENSEURS PEDAGOGIQUE DU 1ER CYCLE
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Censeur du Premier cycle : M. OVONO NGAME Jean Paulin, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO / LASTOURVILLE
- Censeur du Premier cycle : M. MATSEGUE Anselme Charles, PESDG, précédemment censeur du premier cycle au collège et lycée horizons Tchibanga, en remplacement de M. OBIANG NGUEMA, muté.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Censeur du premier cycle : M. MEZUI M’ONDO, PESDG, précédemment censeur du premier cycle au collège et lycée Val Marie Mouila, en remplacement de M. MBADINGA MIHINDOU, muté.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ
- Censeur du premier cycle : Mme MEDZA ME MVE Monique, PESDG, confirmée.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Censeur du premier cycle : Mme ANCHANDIE ISSAMBI Irène Olga, PESDG, précédemment Professeur à l’Institution Immaculée Conception, en remplacement de M. FOULA Jean Aimé
COLLEGE ET LYCEE MGR RAPONDA WALKER
- Censeur du premier cycle: M. METOUGHE Jean François, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES MAKOKOU
- Censeur du premier cycle : M. NDOMANA Jean Jacques, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Censeur du 1er Cycle : M. BISSIELOU BISSIELOU Samuel, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Censeur du 1er Cycle : Mme ESSONGUE Odette, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Censeur du 1er Cycle : M. NZE Louis Marie, précédemment Censeur du 1er cycle au collège et lycée Mgr J. B. ADIWA Lambaréné, en remplacement de M. MINTSA Jacques, appelé à d’autres fonctions.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Censeur du Cycle : M. MOUKALA Bertrand, PESDG, précédemment Censeur du 1er cycle au Collège et Lycée Saint Gabriel Mouila, en remplacement de M. MOULENGUE Dieudonné.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL / MOUILA
- Censeur du 1er Cycle : M. MOULENGUE Dieudonné, PESDG, précédemment Censeur du 1er Cycle au Collège et Lycée Saint Dominique Moanda, en remplacement de M. MOUKALA Bertrand.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA
- Censeur du 1er Cycle : M. MBADINGA MIHINDOU Jean de Dieu, PESDG, précédemment Censeur du 1er cycle au collège et lycée Mgr J.J. ADAM / Franceville, en remplacement de M. MATSEGUE Anselme Charles.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.B. ADIWA / LAMBARENE
- Censeur du 1er Cycle : M. OBIANG ELLA Iréné, PESDG, précédemment Censeur du 2nd Cycle au Collège et Lycée Horizons Tchibanga, en remplacement de M. NZE Louis Marie.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER BAMBORO / LASTOURVILLE
- Censeur du 1er Cycle : M. MATSEGUE Anselme Charles, PESDG, précédemment Censeur du 1er cycle au collège et Lycée Horizons Tchibanga, en remplacement de M. OBIANG NGUEMA.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Censeur du 1er Cycle : M. OBIANG NGUEMA, PESDG, précédemment Censeur du 1er Cycle au collège et lycée Saint Pierre Claver Bamboro Lastourville, en remplacement de M. MEZUI M’ONDO.
CENSEURS DE VIE SCOLAIRE
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. NKOULOU NDONG Pierre, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE FRANCOIS XAVIER NDONG OYEM
- Censeur de Vie Scolaire : M. OBIANG MINKO Denis, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.B. ADIWA LAMBARENE
- Censeur de Vie Scolaire: M. NDONGO Erasme, APOSE, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR ANDRE RAPONDA WALKER PORT-GENTIL
- Censeur de Vie Scolaire : M. EDZANG MVE Jean Marcel, PAESDG, confirmé.
LYCEE BESSIEUX LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme MEZUI ME NGUEMA Marie Scolastique, PESDG, précédemment Professeur d’Espagnol au lycée Bessieux Libreville, en remplacement de M. NKOULOU NDONG.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL MOUILA
- Censeur de Vie Scolaire : M. BOULINGUI Jean Bernard, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. BIBANG NDOUTOUME Florentin, PESDG, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme ADA MEZUI Marie Claire, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA
- Censeur de Vie Scolaire : M. MBOKO MOUKAGNI Toussaint, PAESDG, confirmé.
COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY ALENAKIRI LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. BOUSSOUGOU NZIENGUI Moïse, PESDG, précédemment Censeur de Vie Scolaire au Collège et Lycée Jésus-Marie Bitam.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES MAKOKOU
- Censeur de Vie Scolaire : M. ESSOUMA ESSOUMA Dieudonné, PESDG, confirmé.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. NDONG ONDO Cyprien, APOSE, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER BAMBORO LASTOURVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : M. NZENGUE Raphaël, PAESDG, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme MENDES SECA Maria Léonor TCHIBINDA, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme NDZIAGNA Marie Flore, PAESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme NTSAME NTEME Anne Marie, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Censeur de Vie Scolaire : Mme NTSAME NDONG Emmanuelle, PESDG, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Censeur de Vie Scolaire : M. MBOUMBA KOUMBA Junior, PESDG, en remplacement de M. BOUSSOUGOU NZIENGUI.
DIRECTEURS DES ETUDES
COLLEGE SAINT JEAN / MINVOUL
- Directeur des Etudes : M. NDONG NGUEMA Apollinaire, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT FELICIEN DIBWANGUI / LEBAMBA
- Directeur des Etudes : M. BAKALA BOUSSOUHOU Mathias, PAESDG, précédemment Professeur de Mathématiques au Collège Saint Félicien de Dibwangui Lébamba, en remplacement de M. KOUMBA Admire, décédé.
COLLEGE JEAN VIANNEY ALENAKIRI / LIBREVILLE
- Directeur des Etudes : M. EKOME NDONG Cyprien, PESDG, confirmé.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Directeur des Etudes : Mme KLOMEGAN AMEYO épouse HELLEY ONDO, PESDG, confirmé.
COLLEGE SAINT JOSEPH / MITZIC
- Directeur des Etudes : M. ZAMBO MVE Emmanuel, PAESDG, confirmé.
SURVEILLANT GENERAUX
LYCEE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. ASSOUMOU ONDO Ignace, Instituteur Principal, précédemment Surveillant Général au Lycée Bessieux Libreville, en remplacement de M. MOUKOUANGUI Ferdinand.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Surveillant Général : Mme ETOMO Valentine, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. MEBALE M’ONDO Joseph, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. MOUKOUANGUI Ferdinand, Instituteur Principal, en remplacement de M. ASSOUMOU ONDO Ignace
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. ANGO NTOUGOU Emmanuel, Instituteur Principal, en remplacement de Mme NYOMBA Scholastique.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ / LIBREVILLE
- Surveillant Général au Collège et Lycée Calasanz Libreville : Mme MAKOSSO Méline Félicité, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE SAINT JEAN MARIE VIANNEY ALENAKIRI / LIBREVILLE
- Surveillant Général : M. NDJEMBI KASSA Aurélien, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE J.B. ADIWA / LAMBARENE
- Surveillant Général : M. PONGUI Timothée, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR ANDRE RAPONDA WALKER / PORT-GENTIL
- Surveillant Général : M. MOUANDA NDONG Michel, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Surveillant Général, chargé du 2nd Cycle : M. MADJATAGA Faustin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
- Surveillant Général, chargé du 1er Cycle : M. NGOUELE Antoine, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Surveillante Générale : Mme NGOMBI Léontine, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER / LASTOURVILLE
- Surveillant Général : Mme BAKOUSSOU Angélique, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE / KOULA-MOUTOU
- Surveillant Général : M. NYAMA MOUMOSSI Jean Bernard, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Surveillant Général : M. MOUKAGNI MOUSSIROU Sébastien, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL / MOUILA
- Surveillant Général : M. NZOUBA NGOUNGA Jean Paul, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE SAINT FELICIEN DIBWANGUI / LEBAMBA
- Surveillant Général: M. DOUVIOGOU Davy Serge, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS TCHIBANGA
- Surveillant Général : M. IBOUANGA Jean Claude, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE HGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Surveillant Général : M. EYI ONDO Jean de la Croix, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Surveillant Général, chargé du 1er Cycle : M. ONDO ENGOUANG Jean de Dieu, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Surveillant Général, Chargé du 2nd Cycle : M. OVONO NDONG Charles Marie, Instituteur, confirmé.
COLLEGE SAINT JEAN MINVOUL
- Surveillant Général : M. ABE N’NANG Sylvain, Instituteur Principal, en remplacement de M. NNA NDONG, décédé.
COLLEGE SAINT JOSEPH / MITZIC
- Surveillant Général : Mme MINKOUE ALLOGHE Madeleine, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES / MAKOKOU
- Surveillant Général : M. LANDOUMOU Jean Grégoire, Instituteur Principal, confirmé.
SURVEILLANT GENERAUX ADJOINTS
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : Mmes
· MBENGA Maria Pia, Instituteur Principal, confirmée ;
· MENGUE ELLA Georgette, Instituteur Principal, confirmée ;
· NFONO OBAME Georgette, Instituteur Principal, confirmée ;
· ASSENGONE MENDENE Blanche, Instituteur Principal, en remplacement de Mme NSA ELLA Sylvaine ;
· NYOMBA Scholastique, Instituteur Principal, en complément d’effectif ;
· M. MUNDUNG MUNGUNG Etienne, Instituteur Principal, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION / LIBREVILLE
- Surveillantes Générales Adjointes : Mme
· NSA ELLA Sylviane, Instituteur Principal, en remplacement de Mme ASSENGONE MENDENE Blanche ;
· BENGA EYEGHE Françoise, Instituteur Principal, confirmée ;
· ELLO ENGOUANG Philomène, Instituteur Principal, confirmée ;
· MOUSSAVOU Marie Jeanne, Instituteur Principal, confirmée ;
· NZANG ASSOUMOU Amélie, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· ASSOUMOU ONDO Blaise, Instituteur Principal, confirmé ;
· HANGOUA YAZANGOYE Jérôme, Instituteur, confirmé ;
· NGOUA EDZANG ONDO Jean François, Instituteur Principal, confirmé ;
· OVONO ESSONO Barthélemy, Instituteur Principal, confirmé ;
Mmes
· MAROUNDOU MIHINDOU Angélique, Instituteur Principal, confirmée ;
· ONDO Jeanne Marie, Instituteur Principal, confirmée.
LYCEE BESSIEUX / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : Mmes
· KEDJUE NNO Jeanne, Instituteur Principal, confirmée.
· MINKEMOU Albertine, Instituteur Principal, confirmée ;
· ETOUME NDONG Odette, Instituteur Principal, en remplacement de Mme AVOMO BIYOGHE Marie Christine, remise à la disposition du 1er degré ;
MM.
· NSOME NDONG Daniel, Instituteur Principal, en remplacement de Mme KOMBA MAYOMBO Patricia, remise à la disposition du 1er degré ;
· IDOMBA Augustin, Instituteur Principal, en remplacement de M. ALO’O ELLA Sylvain, remis à la disposition du 1er degré.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· EKORE OWONO Guénolé, Instituteur Principal, confirmé ;
· ELLA ASSOUMOU Jean Pierre, Instituteur Principal, confirmé ;
· MBIRA NZE Mathurin, Instituteur Principal, confirmé ;
· MEGNE ME NDONG Rostand, Instituteur Principal, en remplacement de M. MIHINDOU MOMBO Faustin ;
· ESSONO ASSEKO Christian, Instituteur Principal, en remplacement de M. PIOGA ILAGOU.
COLLEGE ET LYCEE CALASANZ / LIBREVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· MIHINDOU MOMBO Faustin, Instituteur Principal, en remplacement de M. MEGNE ME NDONG Rostand ;
· PIOGA ILAGOU, Instituteur Principal, en remplacement de M. ESSONO ASSEKO Christian.
· Mme MINKOUE ME ZANG Justine, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE JEAN MARIE VIANNEY / ALENAKIRI
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NNEGHE OKOUE Bernadette, Instituteur Principal, en complément d’effectif.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.B. ADIWA / LAMBARENE
- Surveillants Généraux Adjoints :
· Mme AKARE Gloria, Instituteur Principal, confirmée ;
MM.
· MGUIMBI BOULINGUI David, Instituteur Principal, confirmé ;
· YOUMINI Prosper, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR ANDRE RAPONDA WALKER PORT-GENTIL
- Surveillants Généraux Adjoints :
· M. KOKO Arsène, Instituteur Principal, en remplacement de M. EBAMBA MAGAYA Jean Jacques, appelé à d’autres fonctions ;
· Mme MAKAYA DAYIYI Marie, Instituteur Principal, confirmée ;
· M. NFOUBOU Apollinaire, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. MOUIRY MOUNDOUNGA, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. ONDO MBA Jean Mathurin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM / FRANCEVILLE
· Surveillants Généraux Adjoints : MM
· BEYOUMA Yves Bertrand, Instituteur Principal, confirmé ;
· DIENGA Jean Pierre, Instituteur Principal, confirmé ;
· OMFIA Marc, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE / MOANDA
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· KOBA Jean Théophile, Instituteur Principal, confirmé ;
· LENPANDJI Jacques, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO LASTOURVILLE
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· BOUGOUANDJI François, Instituteur Principal, confirmé ;
· LIKOKA AWAYA Marc, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE / KOULA-MOUTOU
- Surveillants Généraux Adjoint :
· Mme BOUKINDI MOUGHOLA Yvonne, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. KAYI Eugène, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme NDOHO ABAGA Octavie Berthe, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE / MOUILA
- Surveillants Généraux Adjoints :
· Mme BIGNOUMBA Marie Stéphanie, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme ITSHOPOTS Stéphanie, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. MOUNDOUNGA BOUROBOU Carles, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme MAROGA BOUASSA Léontine, Instituteur Principal, confirmé.
COLLE ET LYCEE SAINT GABRIEL MOUILA
- Surveillants Généraux Adjoints :
· M. DISSELE Charles, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme MOUTSIENGUI Antoinette, Instituteur Principal, confirmé ;
· M. MOUNDOUNGA Laurent, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS / TCHIBANGA
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· MOMBO Jean Rémi, confirmé ;
· NDINGA MOUSSAVOU Jean Claude, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG / OYEM
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
- BE ONDO Mermoz, Instituteur Principal, confirmé ;
- MINKO M’OBAME Eloi, Instituteur Principal, confirmé ;
- NDONG NGUEMA Jean René, Instituteur Principal, confirmé ;
- NDONG ONDO Jean Clair, Instituteur Principal, confirmé ;
- MEYE ME NDONG Suzanne, Instituteur Principal, en complément d’effectif.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE / BITAM
- Surveillant Général Adjoint : M. MBELE MVE Célestin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE SAINT JEAN / MINVOUL
- Surveillants Généraux Adjoints :
· M. NDOUME AFOUGHE François, Instituteur Principal, confirmé ;
· Mme NTSAME NGOMO Brigitte, Instituteur Principal, confirmée.
COLLEGE SAINT JOSEPH / MITZIC
- Surveillant Général Adjoint : M. EBARE ONDO Sylvestre, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES / MAKOKOU
- Surveillants Généraux Adjoints : MM.
· MANGOMAZAMBE Arnold, Instituteur Principal, confirmé ;
· MOASSOUWA Faustin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE NOTRE DAME DES VICTOIRES (MAKOKOU)
- Surveillant Général Adjoint : M. ONDO MBA Paulin, Instituteur Principal, confirmé.
COLLEGE SAINT FELICIEN DIBWANGUI (LEBAMBA)
- Surveillant Général Adjoint : M. BOUGOUENDZI Dieudonné, Instituteur Principal, en complément d’effectif.
INTENDANTS
COLLEGE BESSIEUX (LIBREVILLE)
- Intendante : Mme MAGAMBA Séraphine, confirmée.
LYCEE BESSIEUX (LIBREVILLE)
- Intendante : Mme MIDOKO LEBANI Gisèle, confirmée
INSTITUT IMMACULEE CONCEPTION (LIBREVILLE)
- Intendante : Mme MAKAKOU BOUANGA Viviane épouse KASSA, en remplacement de Mme NYENGUE Adolphine, mutée.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE / LIBREVILLE
- Intendante : Sœur NFONO Rose Marie, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN (LIBREVILLE)
- Intendante : Sœur OBONE Claire Liliane, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE CALANSANZ (LIBREVILLE)
- Intendant : Père Martin NIETO Luis, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. J.B. ADIWA (LAMBARENE)
- Intendant : M. ESSELE EFFAGHE Simon, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. RAPONDA WALKER (PORT-GENTIL)
- Intendant : M. AFATOUGHE Donatien, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DES VICTOIRES (MAKOKOU)
- Intendante : Mme BALA AMVAME Jacqueline, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE VAL MARIE (MOUILA)
- Intendant : M. NDONG ENGA Noël, confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL (MOUILA)
- Intendante : Mme EDZIMA EKOUME Yolande, en remplacement de Mme INYANGA Brigitte, mutée
COLLEGE ET LYCEE HORIZONS (TCHIBANGA)
- Intendant : M. MOUNDOUNGA Augustin, en remplacement de Mme EDZIMA EKOUME Yolande, mutée.
COLLEGE SAINT FELICIEN (DIBWANGUI)
- Intendante : Mme TOUMBA Carine Gaëlle, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. François Xavier NDONG (OYEM)
- Intendante : Mme MESSASSA Eulalie, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE JESUS-MARIE (BITAM)
- Intendante : Mme MINJKOUE ALLOGO Nathalie épouse BIYOGO MBA, confirmée.
COLLEGE SAINT (MINVOUL)
- Intendant : M. NGUEMA EKOME Michel, confirmé.
COLLEGE SAINT JOSEPH (MITZIC)
- Intendante : Mme ETOME OBIANG Constance, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. J.J. ADAM (FRANCEVILLE)
- Intendant : M. MIMBE OLLAME Samuel B., confirmé.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE (MOANDA)
- Intendante : Mme MANDOUMOU Agnès, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO (LASTOURVILLE)
- Intendant : Mme BIKISSA Marie Félicité, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE LA SALETTE (KOULA-MOUTOU)
- Intendant : Mme KOUMBA Jeanine épouse NDJANDJA, confirmée.
GESTIONNAIRES DES COLLEGES ET LYCEES
COLLEGE BESSIEUX (LIBREVILLE)
- Gestionnaire : M. ABELOKO Raoul, confirmé
LYCEE BESSIEUX
- Gestionnaire : Mme IGNINGA Solange, confirmée
COLLEGE ET LYCEE NOTRE DAME DE QUABEN (LIBREVILLE)
- Gestionnaires : MM.
· NGOYE François, confirmé
· MBA EDZEANG Frédéric, en remplacement de M. MOUDOUNGA Augustin, appelé à d’autres fonctions.
COLLEGE ET LYCEE SAINTE MARIE (LIBREVILLE)
- Gestionnaires : Mmes :
· NGOUMOU Alphonsine épouse ONDO NGUEMA, confirmée
· SEKI MOUELE Victorine épouse ABAMBOLE, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE Mgr. J.B. ADIWA (LAMBARENE)
- Gestionnaire : Mme NDEMBI Marie Fabienne, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINT GABRIEL (MOUILA)
- Gestionnaire : Mme ENGUESSI Jeannette, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE SAINT DOMINIQUE (MOANDA)
- Gestionnaire : M. ONTSIA Faustin
COLLEGE ET LYCEE SAINT PIERRE CLAVER DE BAMBORO (LASTOURVILLE)
- Gestionnaire : Mme MBINGA KOULE Liliane
COLLEGE ET LYCEE MGR J.J. ADAM (FRANCEVILLE)
- Gestionnaire : Mme MBESSET Rose, confirmée
COLLEGE ET LYCEE JESUS MARIE (BITAM)
- Gestionnaire : Mme DINONGA Anastasie, confirmée.
COLLEGE ET LYCEE MGR FRANCOIS XAVIER NDONG (OYEM)
- Gestionnaire :
· Mme OKOME NKOGHE Franckline, confirmée
· M. ELLA EBANG Florentin, confirmé.
INSTITUTION IMMACULEE CONCEPTION (LIBREVILLE)
- Gestionnaire : Mme INYANGA Brigitte, en remplacement de Mme MAKAKO Viviane, appelée à d’autres fonctions.
GESTIONNAIRES DES SECTEURS SCOLAIRES
WOLEU NTEM CENTRE-NORD (OYEM)
- Gestionnaire au Secteur Scolaire Catholique : Mme NSE EKOUAGHE Géneviève, en remplacement de Mme ESSONO Delphine, retraitée.
COMMUNE DE LIBREVILLE NORD
- Gestionnaire au Secteur Scolaire Catholique : Mme NGOUSSOU Antoinette en remplacement de Mme MBESSET Rose, mutée.
Le reste sans changement.
CHEFS DES SECTEURS SCOLAIRES
COMMUNE DE LIBREVILLE-NORD
- Chef de Secteur Scolaire : M. MOULOUNGUI Guy Edgar A., Inspecteur Pédagogique, confirmé.
COMMUNE DE LIBREVILLE-SUD
- Chef de Secteur Scolaire : Mme MECKA Félicité, Inspecteur Pédagogique, confirmée.
ESTUAIRE
- Chef de Secteur Scolaire : M. EFFA ENDAME NDONG Jean de Dieu, Inspecteur Pédagogique, confirmé.
HAUT-OGOOUE SUD (MOANDA)
- Chef de Secteur Scolaire : M. BESSAMA Dieudonné, Conseiller Pédagogique, confirmé.
HAUT-OGOOUE NORD (FRANCEVILLE)
- Chef de Secteur Scolaire : M. MOUSSIROU Simplice, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. KOUGA Jean Bruce, appelé à d’autres fonctions.
MOYEN OGOOUE (LAMBARENE)
- Chef de Secteur Scolaire : Mme EFFAGHE NDONG Béatrice, Conseiller Pédagogique, confirmée.
NGOUNIE NORD (MOUILA)
- Chef de Secteur : Mme PEMBA Angélique épouse BIGOUAGOU, Conseiller Pédagogique, confirmée.
NGOUNIE CENTRE (NDENDE)
- Chef de Secteur : M. MBA NANG Eric, Inspecteur Pédagogique, confirmé.
NGOUNIE SUD (MBIGOU)
- Chef de Secteur : M. MAMONO Joseph, Conseiller Pédagogique, confirmé.
OGOOUE IVINDO
- Chef de Secteur : Mme ZOUGA MINTSA Laurence épouse ENGOUANG, Conseiller Pédagogique, confirmée.
OGOOUE LOLO NORD (LASTOURVILLE)
- Chef de Secteur : M. OSSARIGOYIGA Jean-Bernard, Conseiller Pédagogique, confirmé.
OGOOUE LOLO SUD (KOULA-MOUTOU)
- Chef de Secteur : M. ESSONO MINTSA Jean-Louis, Conseiller Pédagogique, confirmé.
OGOOUE-MARITIME (PORT-GENTIL)
- Chef de Secteur : Mme MPOLO Christine, Inspecteur Pédagogique, confirmée.
WOLEU-NTEM (BITAM)
- Chef de Secteur Scolaire : Mme MENGUE M’OYONO Christine, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. ALLOGO ABESSOLO Clément, appelé à d’autres fonctions.
WOLEU-NTEM (MINVOUL)
- Chef de Secteur Scolaire : M. NGUEMA ENGOZOGO Paul Max, Conseiller Pédagogique, en remplacement de Mme MENGUE M’OYONO, mutée.
WOLEU-NTEM CENTRE-NORD (OYEM)
- Chef de Secteur Scolaire : M. NDONG ONDO Alexis, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. MOUSSIROU Simplice, muté.
WOLEU-NTEM CENTRE-SUD (OYEM)
- Chef de Secteur Scolaire : M. NZENG MENGUE Serge, Inspecteur Pédagogique, confirmé.
WOLEU-NTEM SUD (MITZIG)
- Chef de Secteur Scolaire : M. KALAGNAGA Félicien, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. MOUKAGA Gustave, muté.
NYANGA
- Chef de Secteur Scolaire : M. MOUKAMBI Jean Bernard, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. NGUEMA ENGOZOGO, muté.
CHEFS D’ANTENNES PEDAGOGIQUES
MEDOUNEU (WOLEU-NTEM SUD
- Chef d’Antenne Pédagogique Catholique : M. EDZANG OBAME Gaspard, PAEN, en remplacement de M. ALLOGO Sylvestre, appelé à d’autres fonctions.
MEKAMBO (OGOOUE IVINDO)
- Chef d’Antenne Pédagogique Catholique : M. EMANE MENDOME Jean Roger, PAEN, Confirmé.
FOUGAMOU (NGOUNIE NORD)
- Chef d’Antenne Pédagogique Catholique : M. MEDJOE Gervais Claude, PAEN, confirmé.
MOABI (NYANGA)
- Chef d’Antenne Pédagogique Catholique : M. MOULOUNGUI ALARHA Jean Bernard, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. NZIENGUI Marcellin, appelé à d’autres fonctions.
NDJOLE (MOYEN OGOOUE)
- Chef d’Antenne Pédagogique : M. NZE NTETOME Jean Robert, Conseiller Pédagogique, confirmé.
DIRECTION NATIONALE
INSPECTION CHARGEE DES RESSOURCES HAUMAINES, DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES
- Chef d’Inspection, chargé des Ressources Humaines, des Affaires Administratives et Financières : M. BOUSSOUGOU Georges, Inspecteur Pédagogique.
SECRETARIAT ADMINISTRATIF DE L’INSPECTION CENTRALE
- Secrétaire Administratif de l’Inspecteur Central : M. TSAMBA PONGUI Marcel, AAG, confirmé.
DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES
- Directrice des Ressources Humaines : Mme SAULNEROND Sophie, PESDG, en remplacement de M. MBOUMBA KOUMBA Junior, appelée à d’autres fonctions.
SECRETARIAT ADMINISTRATIF DU DIRECTEUR NATIONAL
- Secrétaire Administratif du Directeur National : M. MOUKAGA Gustave Jean Luc, Conseiller Pédagogique, en remplacement de M. IDOMBA Augustin, appelé à d’autres fonctions.
SECRETARIAT ADMINISTRATIF ADJOINT DU DIRECTEUR NATIONAL
- Secrétaire Administratif Adjoint du Directeur National : M. NSEME BENGONE Arnaud Duplexe, I.P.
INSPECTION DE L’ENSEIGNEMENT PRE PRIMAIRE ET PRIMAIRE
- Chef d’Inspection de l’Enseignement Pré-Primaire et Primaire : M. MAYILA MATOUMBA Norbert, Inspecteur Pédagogique, confirmé.
INSPECTION DU 2nd DEGRE
- Chef d’Inspection du 2nd Degré : M. BESENGOYE Jean Luis, PESDG, confirmé.
INSPECTION CHARGE DU CONTRÔLE DE L’EVALUATION DE LA FORMATION ET DU PERFECTIONNEMENT
- Chef d’Inspection chargé du contrôle de l’Evaluation de la Formation et du Perfectionnement : M. NZENGUE Joseph, Inspecteur Pédagogique.
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Gabon: Le Gabon 9ème économie la plus compétitive d'Afrique
Libreville, le 10 septembre 2012 - Pour son premier classement par le célèbre Forum économique mondial, le Gabon occupe une place notable dans le premier tiers des pays africains (9e/38) et figure, en compagnie des Philippines, du Qatar, de l’Algérie, de l’Egypte et du Botswana, dans le groupe des 17 économies en transition entre la rente et l’efficience. Le Gabon est le seul pays d’Afrique noire dans ce groupe.
1 / La confiance des investisseurs internationaux
Depuis 2010, le Gabon bénéficie de la confiance des investisseurs dont la perception du risque gabonais s’est significativement améliorée. Plusieurs contrats, portant sur des projets structurants, d’un montant de plus de 4 milliards de dollars, ont été signés depuis 2010 dans les secteurs du bois, de l’agriculture et des infrastructures.
Les agences de notations reconnaissent la volonté de réforme du pays et la stratégie économique mise en place. En avril 2012, l’agence Fitch a ainsi revu la perspective du Gabon à « positive » et confirmé sa notation BB.
« Le gouvernement accélère la diversification de l'économie pour se tourner vers le secteur manufacturier, avec des investissements massifs dans les infrastructures et la création de zones économiques spéciales. La mise en place de nouveaux dirigeants dans l’administration et les mesures visant à améliorer la gouvernance publique et attirer des investissements étrangers démontrent la volonté de réforme du pays, » a indiqué Reuters à la publication des nouvelles notations de Fitch.
Cette confiance à l’international trouve sa justification dans le classement GCI, au travers de nombreux indicateurs : Faible impact des tracasseries administratives (19e place mondiale), crime organisé (31e), éthique des affaires (49e), téléphonie mobile (48e), épargne nationale brute/Pib (12e), dette publique/Pib (25e).
2 / La croissance retrouvée
Depuis 2010 et après 2 années de fort ralentissement, l’économie gabonaise renoue avec une forte croissance, à 7,4% en 2012 (-2,7 en 2009). Preuve du succès de la politique du Gabon Emergent, le PIB non-pétrolier contribue désormais pleinement à ces bonnes performances.
Il connaît en effet une croissance à 2 chiffres qui dépasse, depuis 2 ans, celle du PIB pétrolier 2012 : 10,4% de croissance hors-pétrole vs 1.5% de croissance pour la production de pétrole.
Cette croissance est portée par :
- Le secteur des mines
- La relance du secteur bois
- Les BTP, en particulier la construction des barrages hydro-électriques
- Les services qui soutiennent les secteurs cités précédemment
3 / La structuration du territoire
Entre 2012 et 2016, quelque 175 projets « lourds » sont fléchés, pour un total de 20 milliards USD, dont 6 milliards sur le développement des routes (1700km) et 5,5 sur celui du réseau ferré (800 km).
Dans le classement GCI, le Gabon se place au 67e rang mondial pour l’importance des infrastructures ferroviaires. Le Gabon disposera à l’horizon de 2016 de 3663 km de routes bitumées de qualité (soit 30% de son réseau routier) qui supportera 80% du trafic national de biens et de personnes.
Le plan directeur national d’infrastructures regroupe 21 grands projets, pour un investissement total estimé à plus de 12,236 milliards USD sur 6 ans.
4 / Un bon climat d’affaires.
Le plan-cadre des affaires et appui au secteur privé se trouve au centre de l’action gouvernementale, dans l’objectif de mettre ce secteur au centre du fonctionnement de la Chambre de commerce.
Un audit général de la fonction publique a permis la suppression de milliers de postes fantômes, développant l’efficiente de la relation public-privé.
Dans le classement GCI, le Gabon enregistre de bons indices, se situant parmi les 60 meilleurs mondiaux dans l’éthique des affaires, la sécurité, la transparence des actions gouvernementales, le process des conseils d’administration.
5 / De grands projets
Création de la zone économique spéciale de Nkok en partenariat public-privé avec la firme singapourienne Olam constituée de zones industrielles à 75% (scierie, ferraille, ciment, etc.) et de 25% de zones résidentielles et commerciales (€675m d’investissement par an attendus sur les trois prochaines années).
Construction du barrage de Poubara (160MW) près de Franceville pour alimenter la future usine de ferromanganèse de Moanda (investissement de €300m financé à 75% par la Chine et 25% par le Gabon) et d’une centrale thermique (105MW) à Port Gentil par une société israélienne ( €115m).
INFO
Définissant la compétitivité en tant qu'ensemble des institutions, des politiques et des facteurs qui déterminent le niveau de productivité d'un pays, le classement du GCI est basé sur plus de 100 indicateurs organisés en 12 catégories, les piliers de compétitivité, qui permettent de dresser un portrait de la compétitivité d'un pays (institutions, infrastructures, données macro-économiques, santé et éducation primaire, enseignement supérieur et formation, marché des biens, modernité du système d’emploi, marché financier, infrastructures technologiques, taille du marché, climat des affaires, innovation).
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.
La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/ ou contacter http://www.cocom.rggov.org/
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Gabon: Raphaël Ntoutoume Nkoghe répond a Vincent Hugueux
Libreville, le 8 septembre 2012
Bonjour M. Hugeux,
Je m'appelle Raphaël Ntoutoume Nkoghe, fils de Justin Ntoutoume Nkoghe. Je ne perdrai pas mon temps à vous dire ce que je fais dans la vie puisque vous le savez mieux que moi-même. Je vais juste user de votre précieux temps pour attirer votre irréprochable attention sur deux points:
- Ce que j'apprécie chez les journalistes Français, c'est leur aptitude à toujours recouper les informations jusqu'auprès du principal sujet de l'information. De retour à La Rochelle, votre confrère Thomas Hofnung de « Libération », qui n'a jamais été tendre avec le régime en place au Gabon, a quand même pris la peine de venir nous rencontrer. Lorsque son papier sortira, même s'il est dur envers nous, j'aurai du mal à le contester car je sais qu'il a agi en professionnel et non en militant.
Sa démarche a procédé de l'honnêteté et de la bonne foi. En professionnel, il n'a pas trié ses sources. J'ai du respect pour ce Monsieur qui ne s’abreuve pas des seuls mensonges et incantations de certains activistes xénophobes et racistes de l’opposition ; qui ne prend pas pour livre de chevet les pages Facebook d’activistes de certains mouvements citoyens hautement tribalisés.
Il faut parfois souffrir d’avoir le recul. J’ai été à La Rochelle, vous non. D’ailleurs, vous n’étiez même pas en France durant toute cette période puisque vous étiez à l’étranger. Vous avez donc écrit sous la dictée de votre source gabonaise. Source dont tout le monde, au Gabon, connait l’exceptionnelle habilité à falsifier les faits et à manipuler la vérité.
A cet effet, le jour où il vous viendra l'envi de parler de La Rochelle, vous pourriez me contacter et on parlera de La Rochelle. Car, je constate que c'est votre nouvelle passion: la « simili-délégation du PDG, qui, munie d’une pseudo-invitation grossièrement bricolée et envoyée depuis le fax de Roland Dumas ».
Apparemment, avec tout ce que la France compte comme journalistes, vous êtes le seul à faire de cette visite le scandale du siècle au point de la placer à l'affiche de l’actualité mondiale. Et comme vous êtes habité par une immortalité certaine, vous ne pouvez donc pas, par la manière vous continuez d’édulcorer les faits, vous empêcher de cracher sur le cercueil du compatriote qui a initié cette affaire et qui est décédé le jour même de l’ouverture des universités d’été du PS. Vous comprendrez alors pourquoi, les mortels que nous sommes, avions opté de ne pas faire grande caisse sur cette affaire qui, en France ne concerne et passionne que vous et votre source de Libreville.
- L'autre aspect que je voulais aborder avec vous est votre promptitude à parler des gens que vous ne connaissez pas. Vous affirmez que « Raphaël Ntoutoume Nkogue, conseiller à la présidence, anime un journal "satirique" fort bienveillant envers le pouvoir ». Déjà, je trouve discourtois et irrespectueux que vous ne prenez pas la peine de bien écrire mon nom.
Ensuite, vous dites que j’anime un journal, ce que vous ne pouvez absolument pas démontrer. Mais je trouve cela tout simplement triste car à chaque fois qu’il m’est arrivé d’écrire sur un pays, c’est que je le connais. Je ne parle que de ce que je connais.
Je ne sais pas si vos sources à Libreville vous l’ont dit, mais il y a une sagesse Fang qui dit ceci : « On n’écoute pas le Mvet de la bouche de celui qui a écouté le récit du conteur. On écoute le Mvet de la bouche même du conteur ». Or, à vous lire, c’est quasiment du Tintin au Gabon.
Toutefois, je reconnais en vous quelqu’un qui a de réels talents. Des talents, certainement de journaliste, mais aussi, et beaucoup plus, de militant.
Vous voulez écrire sur le Gabon ? Je vous invite au Gabon.
Raphaël Ntoutoume Nkoghe
Conseiller du Président de la République
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08/09/2012
Gabon:Le Chef de l’Etat lance les travaux de la route de Glass et visite les nouveaux aménagements du CHU de Libreville
Libreville, 7 Septembre 2012 – Le Chef de l’Etat a lancé ce vendredi 7 septembre les travaux de réaménagement de la route de Glass. Un vaste chantier qui s’inscrit dans la stratégie de réaménagement urbain qui vise l’amélioration de la qualité de vie pour tous.
Il s’est ensuite rendu au Centre Hospitalier Universitaire de Libreville où il a visité les services d’urgence rénovés, les nouveaux blocs opératoires et le service de pédiatrie.
Accompagné du Ministre de la Promotion des Investissement, des travaux publics, des transports, de l’habitat et du tourisme, chargé de l’aménagement du territoire, Magloire Ngambia et du Directeur Général de l’Agence Nationale des Grands Travaux (ANGT), Henri Ohayon, Le Chef de l’Etat s’est vu présenter le plan du projet de la route de Glass.
Un chantier important puisqu’il s’agit de réaménager entièrement l’axe : bord de mer – Lalala.
Les plans prévoient la mise en place d’une 2x2 voies incluant des couloirs de bus, des trottoirs agrandis, la présence d’espaces verts, des aires de stationnement ainsi que l’installation souterraine des réseaux d’électricité et de communication.
La première phase des travaux démarrera le 15 septembre 2012 et concernera l’aménagement de l’axe échangeur de Lalala –marché d’Oloumi. La fin des travaux est prévue courant du 2e semestre 2013.
« Je vous remercie de votre patience et comme vous le voyez, elle est récompensée », a lancé le Chef de l’Etat aux habitants du quartier de Lalala. « Je vous demande de bien vouloir être encore un petit peu patient car ces travaux vont engendrer des désagréments, tous sera fait pour que ceux-ci soient limités », a-t-il ajouté.
Le Chef de l’Etat a assuré que ces travaux vont dans le sens du progrès : l’amélioration de la fluidité du trafic, une plus grande sécurité sur la route pour tous les usagers, piétons et chauffeurs mais aussi une amélioration du cadre de vie.
La mairie du 5e arrondissement de Libreville, les habitants du quartier et les commerçants sont parties prenantes dans ce projet.
Un programme global d’amélioration de la qualité de vie Le chantier de la route de Glass s’inscrit dans un vaste et ambitieux programme d’aménagement urbain.
En effet, la politique de développement de villes nouvelles mise en place par le Chef de l’Etat vise l’amélioration concrète des conditions de vie de l’ensemble des gabonais. Elle propose un nouveau plan d’urbanisme, le SMART CODE, qui vise dans les moindres détails les meilleurs standards internationaux.
Ce Code vise notamment à :
• la systématisation de l’assainissement dans nos villes ;
• la protection de l'environnement ;
• la préservation des espaces verts avec les bénéfices sanitaires d'un environnement piétonnier;
• la réduction des encombrements liés à la circulation des véhicules ;
• la préservation de l'histoire, de la santé, de l'éducation et des loisirs ;
• la réduction de l'étalement urbain et l'amélioration de l'environnement bâti.
Conçu pour être adapté aux conditions locales, idéalement avec la participation des élus et des citoyens locaux, le SMART CODE établie la politique de rénovation et de croissance urbaine du Gabon. Il concerne aussi bien les régions, que les communautés, les îlots et les bâtiments.
Il définit des normes précises, selon les meilleurs standards internationaux, pour les voies de circulation pour piétons comme pour automobiles, les logements, la densité de population souhaitable par zone, les espaces publics, industriels et de stationnement, les normes pour les paysages en zone urbaine et les normes de signalisation.
C’est sur cette base que se développe actuellement le nouveau quartier d’Angondjé.
D’ici fin 2012, entre 1000 et 1500 logements adaptés aux différentes catégories sociales de la population gabonaise seront disponibles dans cette zone. De nombreux espaces verts, des établissements de santé, des zones commerciales, des écoles, des services administratifs et publics et un réseau de routes hiérarchisé y seront construits.
8000 logements suivront en 2013, puis 8500 en 2014. L’objectif est de construire 35000 logements en 7 ans dans ce quartier.
Les infrastructures de santé font pleinement partie de cette politique d’amélioration de la qualité de la vie et d’aménagement urbain souhaitée par le président. C’est ainsi que le Chef de l’Etat s’est rendu au CHU de Libreville dès la fin de sa visite à Lalala.
Modernisation du CHU de Libreville
Les nouveaux services d’urgence et de chirurgiedu CHU de Libreville ont été livrée en juillet dernier. Le Chef de l’Etat a souhaité voir de lui-même le résultat de ces travaux.
Accompagné du Ministre de la Santé, Léon Nzouba, Ali Bongo Ondimba a visité le service d’urgence, avant de passer par le service de soins intensifs et de se rendre dans les différents blocs opératoires aux équipements modernes.
Il a terminé sa visite par le service pédiatrique où il a pu constater de la bonne prise en charge des enfants. « La santé conditionne un développement harmonieux », a déclaré le Président dans les couloirs du CHU. « Il faut maintenir ses équipements et en prendre soin », a-t-il ajouté, « ceci est mis au service des populations », a-t-il conclu.
L’accès aux soins pour tous
L’amélioration de l’accès à la santé pour tous est l’un des axes prioritaires du projet de société d’Ali Bongo Ondimba.
L’objectif est que tous les gabonais à travers le pays puissent bénéficier de soins de qualité et d’une meilleure prise en charge, dans un environnement approprié.
Pour cela, le Chef de l’Etat a lancé un vaste programme de réaménagement, réhabilitation et construction de nouveaux hôpitaux plus modernes et mieux équipés tout en développant l’assurance maladie pour tous via la CNAMGS.
Les principaux hôpitaux du pays ont été rénovés ou sont en cours de rénovation; des centres hospitaliers spécialisés ont été construits.
Le CHU de Libreville dispose désormais d’un nouveau Bloc Chirurgical et d’un nouveau service d’urgence, le nouveau CHU d’Angondjé ouvert depuis janvier 2012 peut désormais accueillir une centaine de patients et les Centres hospitaliers régionaux ont été rééquipés.
A Libreville, la Fondation Jeanne Ebori va être entièrement reconstruite et sera dédiée aux soins de la mère et de l’enfant, un nouveau CHU international spécialisé dans la recherche et le traitement des maladies tropicales est en construction à Lambaréné, enfin en 2013 démarreront les constructions des nouveaux centres hospitaliers d’Oyem et Mouila.
Cet investissement dans les structures et équipements de santé publique s’accompagne d’un effort soutenu pour l’amélioration de l’approvisionnement en médicaments, la dotation en équipements et la formation du personnel, principalement la formation aux équipements modernes.
Des visites régulières sur le terrain
Les visites effectuées aujourd’hui montrent l’importance donnée par le chef de l’Etat aux chantiers prioritaires pour les gabonais : l’amélioration de l’espace de vie et les progrès dans les services de santé.
A travers ces visites de terrain, le Chef de l’Etat démontre une nouvelle fois son engagement à veiller personnellement à la bonne conduite des chantiers en cours dans le pays.
Il l’avait déjà montré lors de ses visites sur les chantiers de la CAN, le lancement des travaux de l’aéroport de Port gentil ou la tournée dans les 9 provinces du pays.
Pour le Président, ces visites de terrain sont le moyen le plus sûr de connaitre les préoccupations de ses concitoyens et de répondre le mieux possible à leurs besoins.
C’est la réalisation de ces chantiers qui conditionne la réussite du projet de société mis en place par le Chef de l’Etat.
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com/
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie.
La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement. Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent.
Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter http://www.legabon.org/ ou contacter http://www.cocom.rggov.org/
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07/09/2012
Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Jeudi 06 Septembre 2012 ( 2ème Partie )
SUITE DU COMMUNIQUE FINAL DU CONSEIL DES MINISTRES EN SA SEANCE DU JEUDI 06-09-2012
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMET SUPERIEUR, DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
EQUIPES DIRIGEANTES DES ETABLISSEMENTS SECONDAIRES PUBLICS
PROVINCE DE L’ESTUAIRE
LYCEE NATIONAL Léon MBA
- Proviseur : M. OBORI Jean Baptiste, confirmé.
- Censeur Pédagogique : M. MBANDJI NGUIMIONY Thierry, confirmé.
- Censeur Vie Scolaire : M. MBA NTOUNG Franck, confirmé.
- Intendant : M. Augustin BOUROBOU BOUROBO, confirmé.
- Surveillant Général : M. BIBANG Alfred, confirmé.
- Surveillant Général : M. ESSONO NDONG Urbain, confirmé.
- Surveillant Général : M. MANFOUMBI DYOUMBI Jean Lucien, confirmé.
- Surveillant Général : M. MBACKY Marius, confirmé.
- Surveillant Général : Mme MBANG MFOLO Marie Paulette, confirmée.
- Surveillant Général : Mme MVORO MENGUE ép. ALLOGO Esther, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : Mme ADONGO Marie Louise, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : Mme DOUBONDOU Scholastique, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : Mme EDOU ESSONO Hortense, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : Mme IBOUMBI MABIKA Agnès, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MENGUE Paulette, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MEZUI ME MBENG Suzie Rose, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : Mme OVONO Angeline, confirmée.
LYCEE GEORGES MABIGNATH (Akébé Ville)
- Proviseur : Mme TSOGOU BIRINDA Clara ép. MOUGUIAMA, précédemment au lycée M. ARISSANI, en remplacement de NDOUTOUME-MINKO Thomas remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
- Censeur II Pédagogique : M. OPENDAS Guy Ghislain, professeur du secondaire, en remplacement de NKOGHE SIMA Jean Marc remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
- Censeur II Vie Scolaire : Mme MOBIYA Viviane Annick, confirmée.
- Intendante : Mme MAGANGA Jeanne d’Arc, confirmée.
- Surveillant Général : Mme AKELE OVONO Clémence, confirmée.
- Surveillant Général : Mme ANDAGUI OMPAMA Augustine ép. NKANGA, confirmée.
- Surveillant Général : M. NDONG NNANG Mathurin, confirmé.
- Surveillant Général : M. NGNINGONE OBIANG, confirmé.
- Surveillant Général : M. NZUE Jean Christian, confirmé.
LYCEE de l’EXCELLENCE (Owendo)
- Proviseur : M. MEBRIME MBA Payos, confirmé.
- Censeur Pédagogique : M. MBA NGUEMA Paulin, confirmé.
- Censeur Vie Scolaire : M. NZIKOU NZAYABI Rosalie, confirmé.
- Intendante : Mme KAYILA Jacqueline Perrine, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme NDONE POSSO née MEDJO Marie Christine, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NGOUA-BE-NDONG Jhosy, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NGOLET Marie Françoise, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme ANDEME NGUEMA Alice, confirmée.
LYCEE JEAN HILAIRE AUBAME EYEGHE (Nzeng Ayong)
- Proviseur : M. GNASSANGOYE Guillaume, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. ETOUGHE ASSAME Aloïse, Enseignant du secondaire. En remplacement de MOMBOULOU Nicole.
- Censeur II Vie Scolaire : Mme BAKANGA Judith ép. ANGOUGNE, confirmée.
- Intendante : Mme GNENGUE Roseline, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme KASSA née MASSOUNGA Marie Claire, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme MILANDOU IDYATHA ép. BOUDZANGA, confirmée.
- Surveillant Général : M. MBOUMBA Timothée, confirmé.
- Surveillante Générale : Mme MEDZA M’OBAME Olga, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme NTHO NZUE Céline, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOUNGUENGUI Georges Joyce, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NGOULOU Victor Elie, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme BETEGUE NGWA Raphaël, confirmé.
LYCEE Jean Baptiste OBIANG ETOUGHE (Sibang)
- Proviseur : M. KOMBI Jean Bernard, précédemment en poste au Lycée Léon MBOUMA, en remplacement de NGUEMA NDONG Nestor, remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
- Censeur II Pédagogique : M. NGUEMA OWONO Fortuné, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. TSIELO Yvon Blaise, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : Mme NYANGONE MVE Brigitte ép. LOUSSOU, confirmée.
- Censeur I Vie Scolaire : Mme BIDEL EMBILEWA Danielle, enseignante de secondaire.
- Intendante : Mme MENGUE ALLOGHO Sidonie, confirmé.
- Surveillant Général : M. OBENDI Cyrille, en remplacement de NGADI Alphonsine.
- Surveillant Général Adjoint : Mme BIKE MVE Angélique, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. ELLA NZUE Laurent, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. ESSONO NKIZOGO, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MEZUI M’ELLA Jean Bosco, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOMBOU Marcel, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MIHINDOU Bernadette ép. MBADINGA, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. NKIZO’O OBIANG Lucopey, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme OBONE NZE Adeline, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. ONDO MBENG Michel, confirmé.
LYCEE DIBA DIBA (Charbonnages)
- Proviseur : M. MBOUMBA MOUNGUENGUI Jeannot, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. YAPPA-VAVA Ladislas.
- Censeur I Pédagogique : Mme MIMBIE OYOUNE Nadine ép. MVE ELLAH.
- Censeur II Vie Scolaire : M. BONGOZA Anicet.
- Censeur I Vie Scolaire : M. NFONO ASSEKO Annie.
- Intendante : Mme NTSAME ONDO Antoinette.
- Surveillant Général : Mme MAGANGA MOULOUNGUI Jean Marie.
- Surveillant Général : M. MOUSSAVOU MOUNDOUNGA Max.
- Surveillant Général Adjointe: Mme IBOGNY Jeanne.
- Surveillant Général Adjointe : Mme MBINA Pauline.
- Surveillant Général Adjoint : M. NZIME ELLA Calixte.
- Surveillant : M. ELLO NDO NDONG Patrice.
LYCEE MONTALIER (Nzeng Ayong)
- Proviseur: M. BOKOKO Edgard Bruno, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. OBAME Joël, en remplacement de YAKE Agnès.
- Censeur I Pédagogique : M. MASSAMBA MOUNGUENGUI Joël, Enseignant du secondaire, en remplacement de METOCKO BAMBA M. Chantal ép. LIKEKA.
- Censeur II Vie Scolaire : M. NDONGON Georges, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : Mme MATAMBO Isabelle, confirmée.
- Intendante : M. NDOUTOUME MEYE Angèle, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme IGNANGA Germaine, confirmée.
- Surveillant Général : M. MOKOKO YANZANGOYE Guillaume, confirmé.
LYCEE LUBIN MARTIAIL NTOUTOUME OBAME (Ntoum)
- Proviseur : Mme METOCKO BAMBA ép. LILEKA Chantal, Précédemment en poste au Lycée de Montalier, en remplacement d’EBE BEKALE Placide, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur II Pédagogique : M. OWONO ELLA Julien, précédemment en poste au Lycée de Mitzic, en remplacement d’IKOUAKAGOYE J.D, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur I Pédagogique : M. NZE EBELE Mathieu, Enseignant du secondaire, en remplacement de MEYE Cyriaque, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur II Vie Scolaire : Mme BISSALA Berthe. Enseignante du secondaire, en remplacement de NZIENGUI KASSA Paul, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur I Vie Scolaire : M. AFANE NGUEMA Maixent, Enseignant du secondaire, en remplacement de MABOKO Dieudonné, remis à la disposition de la D.A.P.
LYCEE NDONG BYE (Kango)
- Proviseur : Mme MADIBA Hortense, confirmée.
- Censeur II Pédagogique : M. LEBOUAMA Guy Germain, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. NKOGHO MBA Yvan René, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MVOUMBI OSSOUAMI Patrick. Enseignant du secondaire, en remplacement d’AUBAME ONDZAGHA Franck.
- Censeur I Vie Scolaire : M. HOMOABEWA Paterne Arnaud, professeur du secondaire.
- Intendante : Mme OYANE OBIANG Marguerite, confirmée.
- Surveillant Général : M. PAMBO Donatien, confirmé.
LYCEE D’APPLICATION NELSON MANDELA
- Proviseur : Mme NDIAYE Madeleine Christiane, confirmée.
- Censeur II Pédagogique : M. NGOYI Franklin, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : Mme TOUNG Blandine, confirmée.
- Censeur II Vie Scolaire : M. NZOGO MINTSA Bernard, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MOUKETOU Alphonse, confirmé.
- Intendant : M. ENGANDZA Cyrille Edgard, confirmé.
- Surveillante Générale : Mme KENGUE Alida, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme MENGUE EYI Véronique, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. CHOUKANG Paul, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. ONDO ABAGA Joël, confirmé.
LYCEE Paul INDJENDJET GONDJOUT (Libreville)
- Proviseur : M. MACKITA Pierre, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : Mme MINKOUE BEKA Edith Josiane ép. NZE OBIANG, confirmée.
- Censeur I Pédagogique : M. EDOU ABAGA Marcelin, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. NDOMBY Marcel Gabin, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : Mme TCHALOU Marthe Victorine, en remplacement d’IKAPITTE Solange.
- Intendante : Mme AKAYI Jeanne, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme AVOME EVOUNA Berthe, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme EYANG ONDO Eugénie, confirmée.
- Surveillant Général : M. MINKO MI MBA Pierre Simon, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. WANDJA Zéphirin, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : M. ANGUE ABESSOLO Valentine ép. NGUEMA, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme BAHISSI MOUITY Odile, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme BOUROBOU Emilienne, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme MBOUI MEYEH Angèle Viviane ép. SALLA NGADI, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NDJIMBOU Perrine ép. NZIGOU, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. NGOUA OBAME Nicaise, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NKENE OBIANG Louise, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. ZUE ESSANGUI Jean Raphaël.
LYCEE Paul EMANE EYEGHE (Oloumi)
- Proviseur : Mme LEMBE Marie Chantal, confirmée.
- Censeur II Pédagogique : Mme DOUBA Marie Madeleine, confirmée.
- Censeur I Pédagogique : M. OBIANG ESSONO Florentin, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : Mme NANG MAYOMBO Nadège, confirmée.
- Censeur I Vie Scolaire : Mme TSINGA Léa, confirmée.
- Intendante : Mme BADILA Claudine, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme ABE’E EYA’A Micheline, confirmée.
- Surveillant Général : M. KOMBILA NTZOUTSI Romain, confirmé.
- Surveillant Général : M. ZOGO NDONG Michel, confirmé.
LYCEE PUBLIC DE BIKELE
- Proviseur : Mme IKAPITTE Solange, Précédemment en poste au Lycée Indjendjet Ngondjout, en remplacement de M. NGUEMA EKOUAGHE Michel, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur II Pédagogique : M. DOMBA Paul, enseignante du secondaire, en remplacement de YAOUNGA Robert, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur I Pédagogique : M. ENGONE MBA Patrice, enseignant du secondaire, en remplacement d’ESSONO Mireille Mathieu, remise à la disposition de la D.A.P.
- Censeur II Vie Scolaire : M. LEMBIMBI Jean -Paul, enseignant du secondaire.
- Censeur I Vie Scolaire : Mme NZONDO –CHEYI Martine, enseignant du secondaire, en remplacement de NZIENGUI Patrick remis à la disposition de la D.A.P.
- Intendant : M. NZENGUI BOUCKAT Jean Richard, en remplacement de MBENG MEYE Lucie, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale : Mme ATOME Jeanne Marina Claude, en remplacement de M. ZAMBE Régis Noel Constant, remis à la disposition de la D.A.P.
C.E.S ANDRE GUSTAVE ANGUILE (Awoungou)
- Principal : M. MOUNOMBOU Olivier, en remplacement de MIZERO Alphonse, remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MOUELE Auguste, enseignant du secondaire, en remplacement de DITONGA Théophile, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme NSENG NSENG NGUEMA Roana, enseignante du secondaire en remplacement de BOULE Michel, remise à la disposition de la D.A.P.
- Intendant : M. MAKIMBA IBALA Clotaire, en remplacement de MBATA Clarisse remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : Mme AKELE OVONO Clémence, en remplacement de MOUSOUNDA Jean Noel, remis à la disposition de la D.A.P.C.E.S ANGE MBA (Libreville)
- Principal : M. TSINGA Marcel, précédemment en poste au Lycée Luc OKENKALI, en remplacement de NDONG MINKO Michel, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. PAMBOU Ghislaine ép. NZIENGUI, en remplacement de VENDANI YENOT Claude, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. ONDO Jean Gabin. Enseignant du secondaire, en remplacement de MBADINGA BOULINGUI, remis à la disposition de la D.A.P.
- Intendant : M. ITOUMBA Marcelin, en remplacement de NGOLALI Philomène, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. MOUELE MOUELE Simplice, en remplacement d’ALLOGHO ELLA Vincent, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. OVONO MEZUI Armand Lié, en remplacement d’EDZANG ABESSOLO Clément, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : M. OVONO EKIKI Daniel, en remplacement de NDOUMAYA WOUCH, remis à la disposition de la D.A.P.
C.E.S BA OUMAR (Bas de Gué-Gué)
- Principal : M. MOUKETOU Erick, en remplacement de MABO MABIA, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. BEKA Jean de DIEU, en remplacement de ZINGA Pierre Louis Bather, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. NDJILA BIBOUTOU Cornéllia, enseignant du secondaire, en remplacement de GNANGUE Ghislaine, remise à la disposition de la D.A.P.
- Intendant : Mme MADJINOU épouse BOUSSOUGOU Viviane.
- Surveillant Général : M. MOUSSAVOU NGOMA Armand, en remplacement de MOUNDZIEGOU Paulin, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : Mme ZANG MINTSA Marie Claire, en remplacement de NDOGO Jeanne Louise, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : Mme ANGUE ABESSOLO ép. NGUEMA Valentine, en remplacement d’ABOA Célestine, remise à la disposition de la D.A.P.
C.E.S AVORBAM (Angondjé)
- Principal : M. KASSA Jean Benoit, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MOMBO Christian, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. BE NDONG Albert, confirmé.
- Intendante : Mme MBATA MANDJEYI Nina Patricia, confirmée.
- Surveillant Général : M. NZAME MINKO Michel, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MABICKA NGUIMBI Jean Pierre, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : M. MPENGA RENDJOGO Marie Claire, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. ONDO MESSA Samuel, confirmé.
C.E.S ALENAKIRI (Owendo)
- Principal : M. MOUNANGA Athanase, en remplacement de GNENGOU Théophile, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MOUSSIALY Euloge, enseignant du secondaire, en remplacement de POUO Michel, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme ENDAMNE BENDOME Adeline, enseignante du secondaire, en remplacement de MISSOWA Jean Jacques, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale : Mme MBA MBO née MEDZA OVONO Françoise, en remplacement de NZANG NDONG Michel, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale Adjoint e: Mme KOUMBA Joséline, en remplacement de MIKALA Ernest, remis à la disposition de la D.A.P.
C.E.S Georges MABIGNATH (Akébé Ville)
- Principal : Mme MBATCHI Agathe, confirmée.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : Mme NKOLE ONDZANGA Carine ép. ELLA.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme MAGANGA Marianne, confirmée.
- Intendante : Mme DOULEGOU Clotilde, confirmée.
- Surveillant Général : M. DIBOUENZI NGUIMBI Guy, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NSENG MESSA Jeanne, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. ELLA MENDOU Jean Baptiste, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. ANGUEZOMO ESSIMENGANE, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. BIBANG BI NDONG Benjamin, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NKILI OLAGA Charles, confirmé.
C.E.S JEAN HILAIRE AUBAME EYEGHE (Nzeng Ayong)
- Principal : M. KOUMBA NZIENGUI Barthélemy, précédemment en poste au C.E.S d’Omboué, en remplacement de NGONGOUAYA Etienne, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : Mme KOMBA Angèle, en remplacement de MAKAKAYA Roger, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. BELENGUE Ludovic, enseignant du secondaire, en remplacement de BIYAMBOU PENDY, remis à la disposition de la D.A.P.
- Intendante : Mme DOUKAGA Patricia Clara, en remplacement de NGUEMA née DOLIF Monique, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale : Mme ADA ESSONO Flavienne ép. EYI, en remplacement de Mme AVAH née NSE KOU Claude, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale : Mme OBONE ONDO Lucie, en remplacement d’OSSAYE Cécile, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : Mme NTSAME NGUEMA Marceline, en remplacement de YOUNWE Pascal Kevin, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MBOUI MEYEH ép. SALLA NGADI Angèle Viviane, en remplacement d’ESSOMEYO Henriette, remise à la disposition de la D.A.P.
C.E.S LEON MBA (Libreville)
- Principal : M. ISSEMBE Aristide, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : Mme ONGANDAGA Olga ép. NZINZI, confirmée.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme AVORE Ursula Estelle, confirmée.
- Intendante : Mme BOUANGA BOUKIKA Marie Augustine, Attachée d’Administration Scolaire et Universitaire.
- Surveillant Général : M. BIBANG Alfred, confirmé.
- Surveillant Général : M. ESSONO NDONG Urbain, confirmé.
- Surveillant Général : M. MANFOUMBI DYOUMBI Jean Lucien, confirmé.
- Surveillant Général : M. MBACKY Marius, confirmé.
- Surveillant Général : M. MVORO MENGUE Esther ép. ALLOGHO, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme ADONGO Marie Louise, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme DOUBONDOU Scholastique, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe: Mme EDOU ESSONO Hortense, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme IBOUMBI MABIKA Agnès, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme MENGUE Paulette, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme MEZUI ME MBENG Suzie Rose, confirmée.
C.E.S Louis BIGMANN (Angondjé)
- Principal : Mme MANIGUI Valérie ép. AKENDENGUE, en remplacement de MOUGNEVI MBEMBO Odette ép. MBIRA, remise à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. AYO NDONG Franck, enseignant du secondaire, en remplacement d’ETOUGHE MBA Jean Pierre, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme NDZINGA MALOU Nadège, enseignant du secondaire, en remplacement de MOELLET NZAOU Georges, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale : Mme BAHISSI MOUITY Odile, en remplacement d’OKABA Marie Louise, remise à la disposition de la D.A.P.
C.E.S PUBLIC Olivier AMBAYE (Glass)
- Principale : Mme EMBABENE Eunice ép. MUNENE, précédemment en poste au C.E.S de Lambaréné, en remplacement de MBOUGOU ASSEKO Marcelle ép. NDONG MEMINI, remise à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : Mme DOUTSONA Irmine Marie Emilie, confirmée
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. ANGO ANGO Ernest, confirmé.
- Intendant : M. MIKIELA Basile Alfred.
- Surveillante Générale : Mme DIKINDJA MAVIKANA Virginie, confirmée.
- Surveillant Général : M. OBIANG ZOGO Guy Constant.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme ABEGHE EYI Félicité.
C.E.S MIKOLONGO (Okala)
- Principal : M. MATOLA Roger, Précédemment en poste au CES de Mpaga, en remplacement de TCHIBINDA Irène Marcelle ép. KOUMABILA, remise à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. BAMBA Ferdinand, enseignant du secondaire en remplacement d’ONDO NGUEMA Modeste, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme MBIDI MOUGHIROU Léa, enseignante du secondaire en remplacement de MOUSSELIKI Désiré, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. EYAMAM Vincent, en remplacement de NDOUTOUME NDONG, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : M. ELLA NDONG Patrice, en remplacement de NZE NGUEMA Roger, remis à la disposition de la D.A.P.
C.E.S Raymond BOUKAT (Mindoubé)
- Principal : M. OMBANGO Grégoire, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : Mme MINKWE MEBALEH Marlène ép. MOATEKOUBA, confirmée.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. TOMOINGOYE Steeve, confirmé.
- Intendante : Mme MAGUIAMA Martine, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme EYANG MBA Marie Claire, confirmée
C.E.S Pascal NZE (Cocobeach)
- Principal : Mme YAKE Agnès, précédemment en poste au Lycée de Montalier, en remplacement de MONDJO MABADI Georges, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. KOUMBA BIVIGOU Gislain, Enseignant du secondaire, en remplacement de MENZENE NDONG Carole, remise à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MINKO NDONG Guy Serge, Enseignant du secondaire, en remplacement de NKILI ELLA Paul, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. SIMA NDONG Fabien, en remplacement de NGUEMA Louis Mathias, remis à la disposition de la D.A.P.
C.E.S AKEBE - VILLE
- Principal : Mme MOUMBOULOU Nicole, précédemment en poste au Lycée de Nzeng - Ayong, en remplacement de BITEGHE BI NZET Rossy, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. TSOUAKELA Marcel, Enseignante du secondaire en remplacement de NZENGUE Gabriel, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MENGUE NOMBO Régis, enseignant du secondaire, en remplacement de ZANG Justine ép. NGOUGOME, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. MVONO EBANG, en remplacement de MAYOMBO Jean Claude, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale : Mme IGNANGA BIVIGOU.
- Surveillant Général Adjoint : Mme BILLOGHE BI MBELE Prudence, en remplacement de MBESSE Frédéric, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : M. OKOUE ASSOUMOU Rostand, en remplacement de Mme OKOMO NKOULOU Delphine, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MBANG NDONG Gisèle, en remplacement de NZOGH’EBANG Elisabeth, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : M. NZUE ESSANGUI Jean Raphaël, en remplacement de BIGNOUMBA Jean Bosco, remis à la disposition de la D.A.P.
PROVINCE DU HAUT-OGOOUE
LYCEE Eugène Marcel AMOGHO (Franceville)
- Proviseur : M. NDJOGHO COGNOT Christian, Confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. NENANGOYI Gilbert, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. NDINGA Jean Baptiste, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MBOUITY Guy Wilfried, en remplacement de M. MOUELE MOUELE.
- Censeur I Vie Scolaire : M. OKOUMA Albert, confirmé.
- Intendant : M. ALIMBI Antoine, confirmé.
- Surveillant Général : M. EWOUA OGNAPA Jean Alexis, confirmé.
- Surveillante Générale : Mme SERGENT ETOUGHEYEME Angèle.
- Surveillant Général : M. BANGA Michel.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme FOUDOU Flavienne, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme BILANGOUMA Joséphine.
LYCEE de l’EXCELLENCE (Franceville)
- Proviseur : M. ABISSAYE Jean Paul, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MOUGUIAMA Laurent, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : Mme ADOLO Suzanne, enseignante du secondaire.
- Intendante : Mme ODINA Solange, confirmée.
- Surveillant Général : M. NDOUMBA Hugues Edgard, confirmé.
- Surveillant Général : M. OMBANA Robert.
- Surveillante Générale Adjointe: Mme KIGHA Henriette.
- Surveillante Générale Adjointe: Mme MBISSAPELE Marie Flora, confirmée.
LYCEE Luc OKENKALI (Okondja)
- Proviseur : M. OKOUMA Hugues, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. LIYOUNGOU LIPOYE Armand. Enseignant du secondaire en remplacement d’ANTCHOUO Rigobert.
- Censeur I Pédagogique : M. EPOKOUA Rufin, enseignant du secondaire, en remplacement de TSINGA Marcel.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MVE BIBANG Jean Brunel, enseignant du secondaire, en remplacement d’IPENGOUANGOYE Félicien.
- Censeur I Vie Scolaire : M. SATSOKA Wilfried, confirmé.
- Intendant : M. MOUSSOUARI Joachin, confirmé.
- Surveillant Général : M. AKWANGOU Basile, confirmé.
- Surveillant Général : OKOGO NDUMS Helms, confirmé.
- Surveillant Général : M. OLANDA Serge Grégoire, confirmé.
- Surveillant Général : M. LESSOMBE Paul, confirmé.
LYCEE Henri SYLVOZ (Moanda)
- Proviseur : M. OBERMAYER Philippe, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MBADINGA Amédée René Alexandre, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. EBANG MVE Pierre, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. NTSINGA Constantin, enseignant du secondaire.
- Censeur II Vie Scolaire : M. IBALA Jean Claude, enseignant du secondaire, en remplacement de MOUBILA Jean-Adrien.
- Intendant : M. ELOUNDA Jean Bruno, confirmé.
- Surveillant Général : M. MOUNDJIKA Alain Honoré, confirmé.
- Surveillante Générale : Mme ROUBANGOYE Marie Céline, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. ANGUILA CHAUDE Juste Steph, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. BOUPANA Zéphirin, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme ANDERI Simone.
LYCEE Rigobert LANDJI (Moanda)
- Proviseur : M. LANDJI Laurent, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. NKOLI AGNAMA Rodrigue, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. BOUNGOU NKALA Dieudonné, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MABEDOU POUSSOU Saturnin, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : Mme NDZELIAPADA Evelyne ép. MBOUMBA.
- Intendante : Mme SEKE Sophie ép. EFFAGA, confirmée.
- Surveillant Général : M. NZALOUYA Vivien, précédemment en poste au Lycée Moukodoum Ittah de Pana.
- Surveillant Général : M. YAMBA Jean, confirmé.
- Surveillante Générale : Mme TSONO Pauline, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. KABILA Jean, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. OKAKA Placide, confirmé.
LYCEE Toussaint PITTY (Akiéni)
- Proviseur : M. MAKOTY Jean Pierre, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. NGODZA Firmin, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. ASSEKO Jean Marie Vianney, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. BEKABHOVE Christian, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. KOULAKOULOU Nazaire, confirmé.
- Intendant : M. BIDAYI BIADIBA Joseph, confirmé.
- Surveillant Général : M. OVAKALAGA Mathias, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. OLAGA Justin, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : M. BIAFALA Staellah, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. LEONDA ANGAVET Gervais Michel, confirmé.
C.E.S MAMADOU LEWO (Franceville)
- Principal : M. MOUGNIGUI Jean Bosco, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. ESSIMBA Hervé, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. ZENG BIAS, enseignant du secondaire, en remplacement d’EMANE ESSONE Jean Marie.
- Intendant : M. MVOURA Mathias, en remplacement de MOUGNANGUI Apollinaire.
- Surveillant Général : M. NDASSIA Jean Noel, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MASSOUNA Georges, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NGABIGA Joseph, confirmé.
C.E.S Zacharie MAÏKA(Bakoumba)
- Principal : M. MISSIE MPOUHO Marc, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. ILOUMA Gaspard, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. ETOUGHE Jean Michel, confirmé.
- Intendant : M. TONDA NGADY Yves, confirmé.
C.E.S Pierre OUTOU -BOUKOUYA (Boumango)
- Principal : M. SOUALA Herman, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. AFOUA David, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MABIKA MANFOUMBI, enseignant du secondaire.
- Intendant : M. OMBANA Denis, confirmé.
- Surveillant Général : M. LEHOMBOU Rubens, confirmé.
C.E.S LUCIEN KOUNA (Bongoville)
- Principal : M. NZIAMI Jacques, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MOUSSAVOU BOUSSAMBA, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. NDONG ABA’A Francelli, confirmé.
- Intendante : Mme OMBILIGA Jeannette, en remplacement de MVOURA Mathias.
- Surveillant Général : M. NGOBY Félix, confirmé
C.E.S KAKOGHO (Léconi)
- Principal : M. NZIENGUI Christian, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MABIKA MBOUMBA François, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. EYENE NTOUTOUME Gélase Edmond Ulrich, confirmé.
- Intendant : M. TSIGA Jean Claude, en remplacement d’OMBILIGA Jeannette.
- Surveillant Général : M. WARA Marcel, en remplacement de KALOULOU Rigobert, admis à faire valoir ses droits à la retraite.
- Surveillant Général Adjoint : M. ASSOUA Bernard, confirmé.
C.E.S Eugène MICKOTO (Ngouoni)
- Principal : M. MVOU Jean Luc, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. NGAÏLA Guy Roger, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. KAH Charles, confirmé.
- Intendant : M. IYEMBI ICKAMBA Jean Claude, confirmé.
- Surveillant Général : M. KANINGUI Jean Claude, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. LEKOUMBA Max Daniel, confirmé.
C.E.S OUELE de Sucaf
- Principal : M. ASSAM EKANG Bonjean, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. ETOUMBI Bertin, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme MBIL Christiane, confirmée.
- Intendant : M. DOUMOU DIBOUKA Jean Hilaire, confirmé.
- Surveillant Général : M. MPOGO Jean Martin, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. OGNAGA Clément, confirmé.
C.E.S Bruno BOKOKO (Mounana)
- Principal : M. LENDJIGA Aristide, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. NGUIMBI Darius, enseignant du secondaire.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. BADINGA Guy Constant, confirmé.
- Intendant : M. MOTOUMBOU KOPA Jean Benoit, confirmé.
- Surveillant Général : M. ILAMBI Gabriel, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOULILI Barnabé, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MBINDJOU Brice Abraham, confirmé.
PROVINCE DU MOYEN - OGOOUE
LYCEE Charles MEFANE(Lambaréné)
- Proviseur : M. MESSOLE ME MBA, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : Mme ELEGE Sophie Sylvie, enseignante du secondaire, en remplacement de Mme Eliane MOUTSINGA.
- Censeur I Pédagogique : M. NGONGA Jean Claude, enseignant du secondaire, en remplacement de MOUNANGA Athanase.
- Censeur II Vie Scolaire : M. ASSEKO BE Moïse, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. NDJENGUE Fidèle, confirmé.
- Intendant : M. LESSY YABA Ambroise, confirmé.
- Surveillant Général : M. MAMBOUNDOU Jean, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NGUEMA Christophe, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. PONGUI Guy Fernand, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOUSSAVOU Paulin, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. ABO EMANE Félicien, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOUNDJEGOU Auguste, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOULAKI Jean Bernard, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : M. PEMBA Scholastique, confirmée.
Lycée François MEYE (Ndjolé)
- Proviseur : M. MIMANDA Jean Hilaire, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MOUSSAVOU YEMBI Gabin Olivier, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : Mme ADZOMANE OBIANG Anne Marie, enseignante du secondaire.
- Censeur II Vie Scolaire : M. BIDZO MENGOUA Guy Blaise, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MINTSA MIYO Simon, confirmé.
- Intendant : M. MOUGNANGUI Apollinaire, précédemment en poste au C.E.S Mamadou LEWO, en remplacement d’EYANG ABOGO Ange Marie.
- Surveillant Général : M. ANGYE MEKANG Hyacinthe Billy, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. ONDZAGHE Jacques Pamphile, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MENZOUGHE Jean Emmanuel, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MBANANGOYE Mathurin, confirmé.
C.E.S Aubin Georges MODJECKOU (Lambaréné)
- Principal : M. TESSA Jean Claude, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. OGWERA IGOUWE Christophe, enseignant du secondaire, en remplacement de M. EMBABENE Eunice ép. MUNENE.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MOUSSOUNDA Charles, confirmé.
- Intendant : M. MAKITA François, confirmé.
- Surveillant Général : M. ALIRE Charles, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. OKOME ESSONO Marie Christine ép. NDONG, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. IBINGA MINGANDZA Franck, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NYINZE Elise, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MISSAMBOU Frédéric, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOUKOUMBI Jean Baptiste, confirmé.
C.E.S Léonard MBAMAKOUE (Makouké)
- Principal : M. NZAMBA NGADJI Fernand Joël, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. NSOME NGUEMA Victor Alain, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MOUNDOUNGA Raphaël, confirmé.
- Intendant : M. MOUKAGNI Jean François, confirmé.
- Surveillant Général : M. NZOUMBA Symphorien, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NGOUME Joseph, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. GUIOULA Joseph, confirmé.
PROVINCE de la NGOUNIE
LYCEE Paul Marie YEMBIT (Ndéndé)
- Proviseur : M. MBOUMBA, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. BIVEGHE BI ADZI, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. MBEMBE Jean Paul, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MOUNZEO Narcisse, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. OKOUE NDOUTOUME Firmin, Enseignant du secondaire. En remplacement de DJOUMA Jacob.
- Intendant : M. MOUITI Ambroise.
- Surveillant Général : M. TAMBESSA Gilbert, confirmé.
- Surveillant Général : M. MABICKA MABICKA Ernest, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. FANTA Diaby.
- Surveillant Général Adjoint: M. BIBALOU BAKITA Raphaël.
- Surveillant Général Adjoint: M. NDJILA Ignace.
- Surveillant Général Adjoint: M. MAGANGA MOUDOUMA.
- Surveillant Général Adjoint: M. KINGA MANFOUMBI Anicet, confirmé.
LYCEE Jean Jacques BOUCAVEL (Mouila)
- Proviseur : M. ALONE EVINA Omer, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. LENDOYE Jean Noël, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. EKOME WAGA Maurice, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : Mme NDONG OBIANG Lucienne ép. MOUANDA, confirmée.
- Censeur I Vie Scolaire : M. TSAMBA Nicaise Alain, confirmé.
- Intendant : M. MOUNDIEGOU MALAGA, confirmé.
- Surveillant Général : M. MBOUTSOU Alain Serge, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. MOUBEYI Aristide, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. MANGOMO Jean de Dieu, confirmé.
- Surveillante Générale Adjoint: Mme KOMBA Philomène, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint: Mme MATOUNDOU Scholastique, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint: M. PEFOUKA Aimé, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. MOUISSI DIMBA Henri, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. MAHOUMBOU Jean Jacques, confirmé.
LYCEE de l’EXCELLENCE MBOMBE A GNANGUE (Mouila)
- Proviseur : M. PAMBOU Ernest, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. NYAMA PAMBOU Vincent, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. OVONO ELLA Jean Louis, confirmé.
- Intendant : M. MBADINGA BOUKAS Jean Marie, confirmé.
- Surveillant Général : M. MASSANDE Jean Baptiste, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOUSSAVOU DIKOUNDOU Alphonse, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. MBADINGA Damien, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MAROUNDOU Jeanne, confirmée.
LYCEE Daniel Didier ROGUET(Lébamba)
- Proviseur : M. ILAGOU MBOUMBA, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. NDINGA MAYOMBO, en remplacement de M. LIEUTENANT G. ISSA, remis à la disposition de la D.A.P. de la Ngounié.
- Censeur I Pédagogique : M. MONDJO Télésphore, en remplacement de Mme MITCHOUNGOU Firmine, mutée.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MAVYOGA Francis Roger, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MOGOULA MOMBO, confirmé.
- Intendant : M. MANGUILA KOUMBA, confirmé.
- Surveillant Général : M. PAPE François, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. PONGUI MOMBO Jean François, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NDOUMA René, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. MBADJIA Jean Pierre, confirmé.
LYCEE Léon MBOUMBA (Fougamou)
- Proviseur : M. BILIMA Sévérin, précédemment en poste au lycée de Kango, en remplacement de KOMBI Jean Bernard.
- Censeur II Pédagogique : M. NGOMA NGOMA Alain, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. MAYEKI Alain Roger, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. IWANGOU Alain, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MBOMBE Simplice, confirmé.
- Intendant : M. MBOUROU Roger Christian, confirmé.
- Surveillant Général : M. MOUNGUENGUI MBADINGA Vincent, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. ESSONO Narcisse, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. PAMBOU SESSALA Guy Roger, confirmé.
C.E.S Albert Martin SAMBAT(Mouila)
- Principal : M. BOUBALA Raymond, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MAYER BIYOGHO Vincent de Paul, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MANFOUMBI Jean Aimé, confirmé.
- Intendant : M. LETEMBET BIKOTA Rigobert, confirmé.
- Surveillant Général : M. MOUNGUENGUI MOUSSOUNDA Blaise Clotaire.
- Surveillant Général : M. NZIENGUI IDIATHA Emile.
- Surveillant Général : M. NZAMBA MOUNGUENGUI.
- Surveillant Général Adjoint : Mme NKOGUE Céline, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOUKETOU MOUKAGA Olivier.
- Surveillant Général Adjoint : M. DIBETA Paul.
- Surveillant Général Adjoint : M. BIVIGOU BIVIGOU, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOUDIEKOU Raymond, confirmé.
C.E.S Général Théodore KWAOU(Mandji)
- Principal : M. KOUMBA MIRIVHU Eric, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : Mme MATSANGA Léa Sylvie, confirmée.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. BOUSSAMBA MANFOUMBI, confirmé.
- Intendant : M. MFOULE NZENG Paul Isidore, confirmé.
- Surveillant Général : M. MIONGO Casimir, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MAGASSI née MOUTSINGA Clarisse, confirmée.
C.E.S Alexandre MADOUNGOU MBARY (Mimongo)
- Principal : M. DIKONGO Daniel, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. LOUDY Frédéric, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. NGUIMBI Noël, confirmé.
- Intendant : M. CHACA MICKOLO, confirmé.
- Surveillant Général : M. ILOKO KOMBA Paul, confirmé.
C.E.S Amiar NGAHANG(Mbigou)
- Principal : M. MOMBO MIHINDOU Pierre, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : Mme MITCHOUNGOU Firmine, en remplacement de M. NDINGA MAYOMBO Maurice Ulrich, muté.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MASSOUKOU Benjamin, confirmé.
- Intendant : M. KOUMA Guy Fernand, confirmé.
- Surveillant Général : M. NGOYI Alain, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MBOYI Christophe, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. LEKOSSO Pierre, confirmé.
C.E.S DE MALINGA
- Principal : M. EMANE EDZOGO Luc, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. NGOYO Constant, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MOUKAGNI NZAMBA, confirmé.
- Intendant : M. BIKOTA Apollinaire, confirmé.
- Surveillant Général : M. BIVIGOU Jean Pierre, confirmé.
PROVINCE DE LA NYANGA
LYCEE Général Nazaire BOULINGUI(Tchibanga)
- Proviseur : M. EKALE NDONG Daniel, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MOUKETOU MOUKETOU Yves Landry, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. METOUGHE Yvon Clément, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MOUKAGNI Jean Christian, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MOULOUNGUI Michel Phranzie, confirmé.
- Intendant : M. BOUSSOUGOU BOUSSOUGOU Ousmane, confirmé.
- Surveillant Général : M. BOUTAMBA Emmanuel, confirmé.
- Surveillant Général : M. DEMOUSSA Jean Christophe, confirmé.
- Surveillant Général : Mme MABIKA Victorine, confirmée.
- Surveillant Général : Mme MATSANGA Rosine, confirmée.
- Surveillant Général : M. MBADINGA BOULAY Théophile, confirmé.
- Surveillant Général : M. MOUDODO Patricien, confirmé.
- Surveillant Général : M. MOUSSAVOU Balthazar, confirmé.
- Surveillant Général : M. NGOUANGUI Benoit, confirmé.
- Surveillant Général : M. MAMBOUNDOU MOUSSAVOU Alphonse Elie.
LYCEE Jean Baptiste MOANDAT (Mayumba)
- Proviseur : M. MACHENDE Jean Claude, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MAKANGA MAKOSSO Denis, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. BOUASSA Alain Rodrigue, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : Mme NGOMA Léonie, confirmée.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MBOUROUTOU Brice Pierre, confirmé.
- Intendant : M. MOUSSAVOU NGOMA Albin, en remplacement de MABIKA Placide.
- Surveillant Général : M. KOUMBA Gabin, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MBOUMBOU MOMBO Odette, confirmée.
LYCEE Edouard MOSSOT (Moabi)
- Proviseur : M. MAGOURA Patrice, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MBINAT Patrick Olivier, en remplacement de MOUENDOU Guy Serge.
- Censeur I Pédagogique : M. BOUTOTO MAGANGA Guy Thierry, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. AMADY OSSAROU Léopold Guy, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. EDZANG NGUEMA Symphorien, confirmé.
- Intendant : M. KOUMBA Jean Bernard, confirmé.
- Surveillant Général : M. IPANDI MIHINDOU Bédis.
- Surveillant Général Adjoint : M. KOMBILA BOUBALA Eddy Mesmin.
- Surveillant Général Adjoint : M. MAPAGA Jean Fernand, confirmé.
C.E.S Etienne KOUMBA –NZIENGUI (Tchibanga)
- Principal : M. MOUKENDOU Jean Paul, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. KASSA Ange Corneille, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme MBOUSSOU Mathilde Pulchérie, enseignante du secondaire.
- Intendant : M. MABIKA Placide, en replacement de MOUSSAVOU NGOMA Albin.
- Surveillant Général : M. MABIALA MOUNGUENGUI Xavier, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. KOMBILA NDINGA Emile, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NDONG EKOMO Thibaut, confirmé.
C.E.S DE MABANDA
- Principal : M. KOUMBA MOUNZEO, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MBADINGA Anicet, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. BOUKENGHET FOUECHI Sévérin, confirmé.
- Intendant : M. KOUMBA MOUKOUAMA Rufin, confirmé.
- Surveillant Général : M. KOUMBA Jean Claude, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MOUNZEO Ghislain, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MAGANGA Jean René, confirmé.
PROVINCE DE L’OGOOUE -IVINDO
LYCEE ALEXANDRE SAMBAT(Makokou)
- Proviseur : M. IPENGOUANGOYE Félicien, précédemment en poste au lycée Luc Okenkali, en remplacement de NZEONG MBAMI Paulin, remis à la disposition de la D.A. P.
- Censeur II Pédagogique : M. MPIGA Jonas, enseignant du secondaire, en remplacement de M. LEKONGO Jean Maurice, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur I Pédagogique : Mme MOTOBOBE MAZONDO Nadège, enseignante du secondaire, en remplacement de M. NGOUA MBA Nestor, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MIHINDOU Pamphile, enseignant du secondaire, en remplacement de M. OGOULA ADOLET Patrick, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MBINA DITENGOU Ghislain, enseignant du secondaire, en remplacement d’OUMARE BOUKAL Bako, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. BETSAKAM Bertrand, en remplacement de MOUTAMBIOW Jean Benoit, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale : Mme MBANE EBIAGHE Berthe, en remplacement de MAKOSSO Aloïse, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillante Générale Adjoint : Mme NYADZIMA ASSOUGHE Marie, en remplacement d’OKE MENIE Jean Claude, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : M. BOMBEBE GNAMBA, en remplacement de Mme EBOUTA Yvonne, remise à la disposition de la D.A.P.
LYCEE Daniel KOSSE (Booué)
- Proviseur : M. NIAMANDE KAMBE Jean, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. YEZE Serdano Aymar, enseignant du secondaire, en remplacement de Mme EFOUA ESSEMVOU Eve.
- Censeur I Pédagogique : M. MVOU ABALAH Marc Wisley, Enseignant du secondaire, en remplacement de NGAMA EYI Raymond.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MASSOUKOU Eric Germain, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. NGOYE Patrick Roland, confirmé.
- Surveillant Général : M. MBOUADOUMA René, en remplacement de MOUELE MOUELE Simplice, muté.
- Surveillant Général : M. MBAMI Philippe Thym, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe: M. TOUMI Léontine, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. EMANE François.
LYCEE Mohamed MOAPA BEOTSA (Mékambo)
- Proviseur : M. AUBAME ONDZAGHA Franck, en remplacement de M. NKALA Simon, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur II Pédagogique : M. LENDOYE Jean Claver, Enseignant du secondaire, en remplacement de M. BEKALE B’OVONO Jean Hilaire, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur I Pédagogique : M. YOMBI André Simplice.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MOUSSOUNDA Fidèle, en remplacement de NYAMAPIPI Christian, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MBINI BOUTITOU Joseph, en remplacement de MOMBO Jean Yves, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. IKOUTSE Franck Alex, en remplacement de MATHOUET Agathe, remise à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. ETSIBE Serge Roger, en remplacement de WASSAMONGO Edmond, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint: M. MIHOULA MOUKOKO Guillaume, en remplacement d’AMBONGO Isidore, remis à la disposition de la D.A.P
C.E.S PUBLIC DE MAKOKOU
- Principal : M. NDJOUMA Jacob, précédemment en poste au Lycée d’Etat de NDENDE, en remplacement de MALELA MBELOU, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MOULOUNGUI NGUIMBYT Franck Victor, enseignant du secondaire, en remplacement de M. AHOUNANDOMA Guy Serge, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. MOAHITOAME Saturnin, précédemment en poste au lycée de MEKAMBO, en remplacement de GUEYE Gilbert remis à la disposition de la D.A.P.
- Intendant : M. MASSALA Alfred Christian, précédemment en poste au lycée Jean Stanislas MIGOLET, en remplacement de SOLE MENDOME Modeste, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général : M. MALOU MAMBOMA Philippe, en remplacement MOUKAMBI IBALA Albert, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : M. BIKE Placide, en remplacement de MENDOUME ABOGHE Nasser, remis à la disposition de la D.A.P.
C.E.S Daniel Hubert N’NAH EKAM KAM (Ovan)
- Principal : M. ASSOGHO Charles, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. EMBEDJAKOUA Jean Félix, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. NKWET NZE Guy de Pierre, confirmé.
- Intendant : Mme EYUE EKIEMA Marie Flore, confirmée.
- Surveillant Général : M. ATEME Jean Noel, confirmé.
PROVINCE DE L’OGOOUE LOLO
LYCEE Jean Stanislas MIGOLET (Koula-Moutou)
- Proviseur : M. MOUBILA Jean Adrien, en remplacement de M. GUEHEDI Michel, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur II Pédagogique : M. BOUNDOUKOU BOUSSOUKA Jean Pamphile, enseignant du secondaire, en remplacement de MAYOSSA Jean Baptiste, admis à faire valoir ses droits à la retraite.
- Censeur I Pédagogique : M. LOBA Anicet. Enseignant du secondaire, en remplacement de MAMBIOGO Edmond remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MOUKOUNGOU MBO. Enseignant du secondaire, en remplacement de MOSSIA David, remis à la disposition de la D.A.P.
- Censeur I Vie Scolaire : M. PONGUI NZENGUE Anicet, enseignant du secondaire, en remplacement de TSAMBA Jean Philippe, admis à faire valoir ses droits à la retraite.
- Surveillant Général : M. NDOBA IGHEDI, en remplacement de LEDOUMOU Jonas remis à la disposition de la D.A.P pour résultats insuffisants.
- Surveillante Générale : Mme MADEBE Mathilde, en remplacement de M. DIOULY DEDA Joachin, remis à la disposition de la D.A.P.
- Surveillant Général Adjoint : M. BAMBA SANDZA Comendi Fabrice, en remplacement de M. MAMBISSA Rose remise à la disposition de la D.A.P.
LYCEE Jean Arsène BOUNGUENDZA (Lastoursville)
- Proviseur : M. BOUKALA Dieudonné, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. IKOUYOU Chrysanthème, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. MBIKA Hubert, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MANANZAMBI Franck Alain, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. NZE ATOUGHE Paul Hervé, confirmé.
- Intendant : M. BATABA Emile Jonas, confirmé.
- Surveillant Général : M. BOUTOUKOU Simon, confirmé.
- Surveillant Général : M. DOBA Martial.
- Surveillant Général : M. KOUELA Norbert, confirmé.
- Surveillant Général : M. LIBOUNGOU Jean Paul, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. BOUNGADI ZIMA Paul.
LYCEE Célestin MOUKODOUM ITTAH (Pana)
- Proviseur : M. DOUNGOU Florentin, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MAYOMBO Jean Pierre, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. LIWENDE Juste Valère, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. NYOUNDOU Joseph, enseignant du secondaire, en remplacement de M. BOUKWANGA Jean Gaëtan.
- Censeur I Vie Scolaire : M. IDOUDOU TSIENGAVAÏLE, enseignant du secondaire.
- Intendant : M. MOULANDZA Paul, confirmé.
- Surveillant Général : M. BIBENDA MOULANDA Alexis, confirmé.
- Surveillant Général : M. MOUKANDZA Victor, en remplacement de NZALOUYA Vivien, muté.
C.E.S PAUL MOUKAMBI(Iboundji)
- Principal : M. MONDJO NGACHEDI Sosthène, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. BOUSSENGUI MBEMBO, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. KASSA BOUKA Barthel. Enseignant du secondaire.
- Intendant : M. MOUKAMBI Zacharie, confirmé.
- Surveillant Général : M. BOUKA Hilarion, confirmé.
- Surveillant Général : M. NGONGA Daniel, confirmé.
PROVINCE DE L’OGOOUE MARITIME
LYCEE Joseph AMBOUROUET AVARO (Port Gentil)
- Proviseur : Mme OGOULA OZOUME Marie Claire, confirmée.
- Censeur II Pédagogique : M. MOUKAGA Maurice, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. ENGUENGH Darius Ruben, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. NYINGWA Emany, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. ESSOMEYE NKOGO Clarisse.
- Intendant : M. KOMBI Jean Bernard, confirmé.
- Surveillant Général : M. MEYE ME NZUE Anatole, confirmé.
- Surveillante Générale : Mme TEDJOMBO Pauline, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. DIBOUMBA Jean Marie, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. LEBEKA LEPANGUE, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme MOUSSAVOU Isabelle, confirmée.
- Surveillant : Mme ANDEME ABESSOLO Marceline, confirmée.
- Surveillant : M. DITONGA Gilbert, confirmé.
- Surveillant : M. MEZUI ALLOGO Henri Sylvose, confirmé.
- Surveillante : Mme MITSOUMA Marie Thérèse, confirmée.
- Surveillant : Mme MOUENZI MOUENZI Éloge, confirmée.
- Surveillant : Mme ONGONO Géneviève, confirmée.
LYCEE Thuriaf BANTSANTSA(Port Gentil)
- Proviseur : M. NEYER OLOURI Guillain, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : Mme MAKOTI Pauline ép. NZABOUGA, confirmée.
- Censeur I Pédagogique : Mme IBONDOU Yolande, confirmée.
- Censeur II Vie Scolaire : M. ODZO MOUSSAVOU Blaise, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MANGOUKA André Pierre, confirmé.
- Intendant : M. MESSI Arthur, confirmé.
- Surveillant Général : M. KOUMBA Benjamin, confirmé.
- Surveillant Général : M. MOUNGUENGUI Célestin, confirmé.
- Surveillant Général : M. AKENDENGUE OSSAVOU Edouard, confirmé.
- Surveillant Général : M. NGOMO OBIANG Jean, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme PEMBA Marie Brigitte, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. VINGA Théophile, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme MALANDOU IDIATHA Florence, confirmée.
LYCEE ROGER GOUTEYRON(Gamba)
- Proviseur : M. LANDA Jean Hilarion, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MOUAKA Judicaël, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. MAKITA NTSOUMOU Dimitri, enseignant du secondaire.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MOUANGO Ismaël Orphée, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. ENGO MVE Thomas Patrick, confirmé.
- Intendant : M. BOUNDZANGA Gervais, confirmé.
- Surveillant Général : M. MASSAMBA BOUNDA Christian, confirmé.
C.E.S BAC AVIATION (Port- Gentil)
- Principal : M. MIHINDOU MOUSSAVOU, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. OSSAVOU WEZET OLAGOT, confirmé.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : TONDA Guy Fernand, confirmé.
- Intendant : M. NGANDA Eric, confirmé.
- Surveillante Générale : M. MATSANGA MBADINGA Yolande, confirmée.
- Surveillant Général : M. MOUTOU DOUKAGA, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. ANGOUE MENDAME Dieudonné, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. EVOUNG Jean Claude, confirmé.
C.E.S Julien MBOUROU (Omboué)
- Principal : M. ANTCHOUO Rigobert, en remplacement de KOUMBA NZIENGUI Barthélemy.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. MAYISSA Jean Bernard, en remplacement d’OGOULA Paul, remis à la disposition de la D.A.P.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : M. GOMEZ RAPONTCHOMBO YOBEYENI Denis, confirmé.
- Intendant : M. ONDO MINTOGHO Gabriel,
- Surveillant Général : M. WORA Yves Blaise, confirmé.
C.E.S GEORGES OYEMBO (Mpaga)
- Principal : M. REKOUNGOUNA Charles, confirmé.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : M. LEBOUNDJI MITSIENGUE Arnaud, enseignant du secondaire en remplacement de MATOLA Roger.
- Surveillant Général : M. ANGO ANGO Jean de Dieu, confirmé.
PROVINCE DU WOLEU NTEM
LYCEE Richard NGUEMA BEKALE (Oyem)
- Proviseur : M. NDOUMOU MBA, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MBA MBA Marc, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : M. MOUITI Jean Claude, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. TCHICAYA Frédéric. Enseignant du secondaire.
- Censeur I Vie Scolaire : Mme OYANE NTOUOUME Marie France, confirmée.
- Intendant : Mme ZUE née NTSAME Delphine, confirmée.
- Surveillant Général : M. ABA BEKALE Pierre Loti, confirmé.
- Surveillante Générale : M. ABESSOLO MEZUI Solange, confirmée.
- Surveillante Générale : M. ADA EDZO Evelyne, confirmée.
- Surveillante Générale : M. ANGUE BA ASSOGHE Simone, confirmée.
- Surveillante Générale : M. ANGUE ONDO Rachel, confirmée.
- Surveillante Générale : M. AVOME NGUEMA Marie Claire, confirmée.
- Surveillante Générale : M. BIKORO BI OBAME Daniel, confirmée.
- Surveillante Générale : M. EFOUA NTOUTOUME Claudine, confirmée.
- Surveillante Générale : M. ESSOMEYO MBEGA Marie, confirmée.
- Surveillant Général: M. ESSONO ALLOU Philippe, confirmé.
- Surveillante Générale : M. MBOULOU ELLA Angèle, confirmée.
- Surveillante Générale : M. MENDOU M’OLLOMO Jean Marie, confirmée.
- Surveillante Générale : M. MENGUE Suzanne Claire, confirmée.
- Surveillant Général : M. NDONG Patrice, confirmé.
- Surveillant Général : M. NDONG BIVEGHE Grégoire, confirmé.
- Surveillant Général : M. NDOUTOUME Jean François, confirmé.
- Surveillant Général : M. NGOGO BIYOGO Zacharie, confirmé.
- Surveillante Générale : M. NGOMO Christine, confirmé.
- Surveillante Générale : M. NSA MBA OYE Marie Blanche, confirmé.
- Surveillant Général : M. NTOUTOUME MVE, confirmé.
- Surveillante Générale : M. NTSAME ALLOGO Louise, confirmé.
- Surveillante Générale : M. NTSAME OVONO Suzanne, confirmé.
- Surveillant Général : M. OBAME MBEGA Lambert, confirmé.
- Surveillant Général : M. OBIANG ANGOUE Basile, confirmé.
- Surveillant Général : M. OBIANG NTOUTOUME Jean Marie, confirmé.
- Surveillant Général : M. ONDO BEKALE Serge, confirmé
LYCEE Simon OYONO ABA’A (Bitam)
- Proviseur : M. ELLA BENGONO Fulbert, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. OBIANG NKOULOU Gaspard, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : Mme MIMBOUI MEYE Annick Flore, confirmée.
- Censeur II Vie Scolaire : M. GOMA Florentin, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. MEDJO ME NZE Serge Simplice, confirmé.
- Intendant : M. NDONG EDZANG Lilian, confirmé.
- Surveillant Général : Mme MAYENGUE Jeannette ép. ENGOUANG, confirmée.
- Surveillant Général : M. NGUEMA MBENG Toussaint, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme ADA ABAGA Loïse ép. ONA, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. ASSOUMOU Bruno Frédéric, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. ASSOUMOU ZUE, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. EDOU ESSONO Frédéric.
- Surveillant Général Adjoint : M. MBA MESSA Boniface, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MEKUI EBZOGO Claudine, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : Mme MENGUE M’OVONO Marie Louise, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. MEZUI ZUE, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NGUEMA EBANG Lambert, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NGUEMA MVE Maximin, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. OBIANG EBANG Gabriel Venant, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : Mme OLLO METOU Valentine ép. ONDO, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. ONDO EKORO Gilbert, confirmé.
LYCEE Moïse NKOGHE MVE (Mitzic)
- Proviseur : M. MBINA Jean de Dieu, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. NKOUELE NDONG Moïse, précédemment en poste au Lycée de Ntoum, en remplacement de M. OWONO ELLA Julien.
- Censeur I Pédagogique : M. MANFOUMBI Blaise, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MBOMEYO EMANE François, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. BANGOT PEDY Alexis, confirmé.
- Intendant : M. AKOUE ASSOUMOU David, confirmé.
- Surveillant Général : M. NGUEMA ESSONO André Claire, confirmé.
- Surveillant Général : M. BEKALE B’OSSIMA Lucien, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NZE NDOUTOUME Laurent, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NZE NDONG Gabriel, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. NGUEMA ANGO Pamphile, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe Mme : EYANG EVA Léonie, confirmée.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme OVANDANG BEZENG Elisabeth, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. MBA MVONE Jean Dubon, confirmé
LYCEE de L’EXCELLENCE (Oyem)
- Proviseur : M. ONDJILA ONGNELE Joachin, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : Mme NTSAME ETOUGHE Michelle Flore, confirmée.
- Censeur II Vie Scolaire : M. MOUNDOUNGA José Donatien, confirmé.
- Intendant : Mme MEDZA Jeanne, confirmée.
- Surveillante Générale : Mme ESSENG NSI Louise, confirmée.
- Surveillant Général : M. OVONO EYI Antoine, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. ESSONO OWONO Eugène, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NSA ABAGA Marie Madeleine, confirmée.
LYCEE François ASSOGHO EYEME (Minvoul)
- Proviseur : M. BOUKA Anaclet Clovis, précédemment Censeur, en remplacement de M. ABANE NKASSA Alain Paul, remis à la disposition de la Direction d’Académie Provinciale.
- Censeur II Pédagogique : M. NGOUA EYA’A Joël, enseignant du Secondaire, en remplacement de M. BOUKA Anaclet Clovis.
- Censeur I Pédagogique : M. OKOUROU MEZUI Parfait, confirmé.
- Censeur II Vie Scolaire : M. NKOGO MVE Daniel, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. NDAMA MINKO Emmanuel, enseignant du secondaire.
- Intendant : M. OBARE MVE Raymond, confirmé.
- Surveillant Général : M. EVOUNA OYONO Emmanuel, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme NTOUTOUME NANG Yvonne, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. OYANE NDONG Paul, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. EYOGUE MENGUE Emmanuel, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. MBA EKUIKUI Ferdinand, confirmé.
LYCEE Ambroise OBAME NDONG (Médouneu)
- Proviseur : M. SOUAMY Jean Félix Innocent, confirmé.
- Censeur II Pédagogique : M. MABENGHA Jean Jacques, confirmé.
- Censeur I Pédagogique : Mme ADA NKOGHE Evangeline, confirmée.
- Censeur II Vie Scolaire : M. NKOGHO NZUE Fulbert Zoff, confirmé.
- Censeur I Vie Scolaire : M. NGUEMA MBA Jonas Morvan, enseignant du secondaire.
- Intendante : Mme AKI BENGONE Marie Louise, confirmée.
- Surveillant Général : M. NDONG MBA Jean de Dieu, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint : M. LANDOUBE M’BOMBILA Lucien Patrick, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme OWONO ELLO Balbina, confirmée
C.E.S François EKOGHA MENGUE (Oyem)
- Principal : M. Pierre NKOGHO MVE, précédemment Directeur des Etudes, en remplacement de M. NGUI ALLOGHO, remis à la disposition de la Direction Générale de l’Enseignement Scolaire et Normal.
- Directeur des Etudes Pédagogiques : Mme Hortense MBINA, enseignante du secondaire, précédemment en poste au Lycée Richard NGUEMA BEKALE, en remplacement de M. Pierre NKOGHO MVE.
- Directeur des Etudes Vie Scolaire : Mme BIBEYI Annie Flore, confirmée.
- Intendant : M. MILODY Sedrique Marley, confirmé.
- Surveillant Général : M. NNANG NDONG Antoine, confirmé.
- Surveillant Général Adjoint: M. ESSONO MVE Jean Pierre, confirmé.
- Surveillante Générale Adjointe : Mme MELIGUE Jeanne c. ép. BILOUNGA, confirmée.
- Surveillant Général Adjoint : M. OTOGO ZOLO Jean Paulin, confirmé.
Surveillant Général Adjoint : M. ONDO NKOGHO Clément, confirmé.
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Gabon: Communiqué final du conseil des ministres du Jeudi 06 Septembre 2012
A l’entame des travaux, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, Président de la République, Chef de l’Etat a réitéré ses orientations relatives à la mise en œuvre des actes prioritaires contenus dans le Plan Stratégique Gabon Emergent (PSGE), notamment s’agissant des volets de la réforme de l’administration, du pouvoir d’achat des ménages, de l’assainissement de l’environnement ainsi que du système éducatif dans notre pays.
Le Président de la République a signalé l’urgence qui s’impose pour la matérialisation desdits projets.
S’agissant de la réforme de l’administration, le Conseil des Ministres a adopté le nouveau cadre organique du Ministère de l’Habitat qui s’inscrit dans le sens de la nouvelle organisation des Ministères en vue d’une optimisation du fonctionnement de notre administration, gage de bonne gouvernance. A cet effet, les activités de cadastre et d’urbanisme, interrompues lors du Conseil des Ministres délocalisé du 1er Juin 2011 à Koulamoutou, peuvent désormais reprendre conformément à cette nouvelle vision.
Quant au pouvoir d’achat des ménages, le Président de la République, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, toujours soucieux du bien-être des gabonaises et des gabonais, a décidé de la suspension, dans l’immédiat, des droits de douanes et de la TVA, pour la période allant de Septembre à Décembre 2012, sur les neuf groupes de produits ci-après identifiés :
- Poisson (frais et salé) ;
- Viande (bovine et porcine) ;
- Volaille (poule, poulet et dinde) ;
- Riz ; - Lait (poudre et concentré) ;
- Conserves de légumes (petits pois et tomates concentrées) ;
- Fruits et légumes ;
- Pates alimentaires (spaghettis et macaronis) ;
- Conserve de poisson (sardines et maquereaux).
La baisse mécanique des prix induite par cette mesure, vise comme le veut le Président de la République, Chef de l’Etat, à soulager le pouvoir d’achat des populations.
Un dispositif de contrôle des prix sera mis en place en vue de la maîtrise de l’inflation par le Gouvernement.
Enfin, en ce qui concerne le système éducatif, le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, conscient de ce que le « Capital humain » constitue le maillon fondamental pour arriver à un Gabon Emergent, a instruit le Gouvernement sur l’orientation des étudiants et l’attribution des bourses d’études qui doivent désormais tenir compte des nouveaux enjeux de développement, notamment les formations étroitement liées au Gabon Vert, Gabon Industriel et Gabon des Services. Aussi, le Président de la République, Chef de l’Etat a-t-il engagé le Gouvernement à prendre toutes les mesures nécessaires et utiles pour éradiquer le phénomène des grèves récurrentes en milieu scolaire et universitaire.
Sur un tout autre plan, le Conseil des Ministres constate, pour le déplorer, que certains compatriotes qui auraient pu être considérés comme des hauts dignitaires du pays, s’illustrent par une agitation frappée au coin de l’incivisme.
L’objectif inavoué de cette campagne est de porter atteinte au climat social, de stabilité, à la sécurité et à la paix légendaires que connaît notre pays, havre de paix et d’unité, héritage du Président Omar BONGO ONDIMBA et qui lui ont valu d’être maintes fois sollicité dans la résolution des crises qui affectent certains Etats de la sous-région et du continent.
Ces agissements destructeurs aux relents xénophobes et tribalistes, constituent visiblement le seul projet de société de leurs auteurs.
Sous le couvert d’un prétexte démocratique qui ne peut convaincre personne, ces personnalités qui, par le passé, se sont illustrées par des méthodes les plus rebutantes à la démocratie, entendent prendre une revanche impossible sur l’histoire.
Ces derniers, sous le prétexte d’une crise imaginaire, veulent imposer la convocation et la tenue d’une conférence nationale souveraine alors même que, ni les Institutions de la République, ni les intérêts supérieurs de la nation, ni l’intégrité du territoire ne sont menacés d’aucune manière que ce soit et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels n’est pas interrompu.
Face à un Gouvernement protecteur des droits humains, et particulièrement soucieux de maintenir au Gabon, une tradition séculaire de terre d’accueil et de terre tranquille, les prétextes agités en épouvantail ne peuvent l’emporter sur la vérité que nul n’ignore.
Le Conseil des Ministres condamne les déclarations bellicistes stériles faites par ces adversaires politiques. Le Conseil des Ministres ne prendra pas à rebours le chemin de l’unité nationale et de la cohésion sociale, valeurs cardinales pour la construction d’un édifice nouveau, le Gabon Emergent et indivisible.
Le Conseil des Ministres réaffirme son attachement à la démocratie et à la consolidation de l’Etat de droit, principes sans lesquels notre essor vers l’Emergence ne saurait devenir une réalité.
Il en veut pour preuve que depuis quelques années, aucune gabonaise, aucun gabonais n’est inquiété pour ses opinions politiques malgré les très nombreux dérapages de certains médias.
Le Conseil des Ministres rappelle que depuis la transition politique de 2009, saluée par la communauté internationale, les Institutions en place fonctionnent régulièrement, comme vient encore de l’attester les récentes rentrées solennelles de chaque Chambre du Parlement et du Conseil Economique et Social, conformément aux dispositions de la loi.
Le Gouvernement de la République, qui est engagé au principal à conduire le Plan Stratégique Gabon Emergent, reste à l’écoute de tous les citoyens, qui l’encouragent à réaliser jusqu’au bout, le Projet de Société du Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, « l’Avenir en confiance », dont ils apprécient déjà les premiers résultats.
Dans le cadre des réformes engagées, et en accord avec la classe politique, l’administration s’emploie à faire aboutir le projet de la biométrie qui devra assurer une meilleure transparence du système électoral à compter du scrutin des élections locales de 2013.
Soucieux de pérenniser son action, le Gouvernement, sous la Très Haute Impulsion de Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA, s’attèle à la matérialisation, à l’accélération et à l’aboutissement des chantiers et des projets inscrits dans le Plan Stratégique Gabon Emergent.
Ces actions répondent aux urgences sociales dans les domaines de l’éducation, de la protection sociale, de la densification du réseau électrique sur l’ensemble du territoire, ainsi que le processus de modernisation des infrastructures.
Poursuivant ses efforts, afin que le temps heureux rêvé par nos ancêtres arrive enfin chez nous, grâce à la politique de l’Emergence, le Gouvernement entend accélérer la réalisation des réformes et des projets, afin qu’aux yeux du monde et des nations amies, le Gabon immortel reste digne d’envie comme nous le prescrit notre hymne national « la Concorde ».
Le Conseil des Ministres réitère à la jeunesse gabonaise de construire sereinement et dignement son avenir sans se laisser distraire.
Le Conseil des Ministres salue la maturité du peuple gabonais qui aspire seulement à de meilleures conditions de vie dans l’unité et la paix.
Le Gouvernement utilisera, si nécessaire, ses prérogatives de puissance publique pour maintenir l’ordre et de la tranquillité.
AU TITRE DES PROJETS DE TEXTES LEGISLATIFS ET REGLEMENTAIRES
MINISTERE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION
Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret fixant l’organisation des élections partielles des membres du Conseil Municipal d’Omboué, dans la Province de l’Ogooué-Maritime et d’un député à l’Assemblée Nationale, dans le 2ème siège du Département du Komo-Mondah, dans la Province de l’Estuaire.
Ainsi, le calendrier électoral approuvé par le Conseil des Ministres est fixé ainsi qu’il suit :
· Date limite de dépôt de déclaration de candidature : le 14 Septembre 2012 à 18 h ;
· Campagne électorale : du 10 Octobre 2012 à zéro heure au 19 Octobre 2012 à 24 h ;
· Scrutin : le 20 Octobre 2012 de 7 h à 18 h.
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
Sur présentation du Ministre, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret déterminant les modalités pratiques du transfert des compétences de la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) à la Caisse Nationale d’Assurance Maladie et de Garantie Sociale (CNAMGS).
En application des dispositions de l’article 104 de l’Ordonnance n° 0022/PR/2007 du 21 Août 2007, le présent texte dispose que le transfert des compétences à la CNAMGS concerne la gestion des prestations de santé gérées par la CNSS en vertu des dispositions législatives et réglementaires en vigueur, à l’exclusion de celles se rapportant aux risques professionnels et aux autres prestations.
Le transfert de la gestion des prestations se traduit par la cession concomitante des ressources financières nécessaires à l’exercice des compétences et des charges ainsi dévolues, et ne sera effectif qu’après le désengagement de la CNSS de son volet hospitalier.
MINISTERE DU PETROLE, DE L’ENERGIE ET DES RESSOURCES HYDRAULIQUES
Le Ministre a présenté au Conseil des Ministres, qui l’a adopté, le projet de décret portant transformation de l’action ordinaire de l’Etat au Capital de la Société d’Energie et d’Eau du Gabon (SEEG) en action spécifique.
Pris en application des dispositions des articles 13 de la loi n° 1/96 du 13 Février 1993 et 10 de la Convention de la cession d’actions du 13 Juin 1997, le présent texte est destiné à renforcer le pouvoir de contrôle du Gouvernement sur certaines décisions des organes d’administration de la Société d’Energie et d’Eau du Gabon (SEEG).
EN MATIERE DE POLITIQUE GENERALE
MINISTERE L’INTERIEUR, DE LA SECURITE PUBLIQUE, DE L’IMMIGRATION ET DE LA DECENTRALISATION
Le Conseil des Ministres a approuvé l’organisation des Etats Généraux de la Protection Civile, à Libreville, du 19 au 21 Septembre 2012.
Ces Etats Généraux ont pour objectifs :
· de présenter une synthèse des connaissances actuelles sur la protection civile ;
· de proposer des éléments essentiels d’une stratégie nationale pour une refondation de la protection civile dans notre pays.
Le Conseil a autorisé un certain nombre de missions à l’étranger des membres du Gouvernement. La notification de chaque mission sera faite aux différents Ministres par le Secrétariat Général du Conseil des Ministres.
Enfin, le Conseil des Ministres a entériné les mesures individuelles suivantes :
MINISTERE DE LA JUSTICE,GARDE DES SCEAUX, DES DROITS HUMAINS ET DES RELATIONS AVEC LESINSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES
CABINET DU MINISTRE
- Conseiller chargé des projets et du suivi de l’exécution du budget : Mme EDZIMA Marie Gabrielle, épouse MAKANGA.
INSPECTION GENERALE DES SERVICES JUDICIAIRES
- Inspecteur des Greffes : M. MOUELE Claude Thierry, Conseiller des Greffes.
SECRETARIAT GENERAL
- Secrétaire Général Adjoint 1 : M. ONDOUNGA Célestin, confirmé ;
- Secrétaire Général Adjoint 2 : M. OGOULA Yves Patrice, en remplacement de M. KOUMBA PAMBO Victorien.
DIRECTION GENERALE DES RELATIONS AVEC LE PARLEMENT ET LES INSTITUTIONS CONSTITUTIONNELLES
- Directeur Général : M. Apollinaire IBAMBA, confirmé ;
- Directeur Général Adjoint : M. André ESSONE MBA, en remplacement de M. Joseph MIKALA.
DIRECTION GENERALE DES DROITS DE L’HOMME
- Directeur Général : M. Eric DODO BOUNGUENZA, confirmé ;
- Directeur Général Adjoint : M. Mathieu EKWA-NGUI, confirmé ;
- Secrétaire du Directeur Général : Mme NTSAME Chantal épouse NYARE, confirmée ;
- Secrétaire du Directeur Général Adjoint : Mme Véronique GOBER WORA, confirmée.
CONSEIL NATIONAL DE LA COMMUNICATION
- Conseiller Technique du Président : M. Thierry d’Argentdieu KOMBILA, en remplacement de M. Serge KARATHA-DIBA.
- Chef de service des personnels : M. Ali MBADINGA.
MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES DE LA COOPERATION INTERNATIONALE, DE LA FRANCOPHONIE, CHARGE DU NEPAD ET DE L’INTEGRATION REGIONALE
CABINET DU MINISTRE
- Directeur de Cabinet : M. Pamphile SANGOMA, Administrateur Civil.
- Chef de Cabinet : M. Jérémie PAZOCK MAYELE, Professeur certifié d’Histoire-Géographie.
- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Diane Sandra ATSIA épouse MALABA, Assistante de Direction.
- Secrétaire de Cabinet : Mme Florence Gertrude MBEZE OYONO épouse ENGO, Assistante de Direction.
- Aide de Camp : Brigadier Chef Marcelin ELOUMI ;
Agents de Sécurité :
• Brigadier Chef Donatien MANGOUALA ;
• Breveté Patrick Uriel ADANDE.
- Chauffeur Particulier : Brigadier chef Désiré BENGA.
- Conseillers politiques : MM.
• Billy Joachim MELI NDANGA, Professeur du second degré général ;
• Laurent MBA, Professeur de Communication sociale.
- Conseiller Afrique : Mme Marie Edith TASSYLA-YEDOUMBENENI, Conseiller des Affaires Etrangères.
- Conseiller en Communication : M. Arthur SABI DJABOUDI, Docteur en Science de l’Information et de la Communication.
- Conseiller Juridique : Mme Patricia Muriel DJELLA OGANDAGA épouse ONDIAS OKOUMA, DEA de droit International Public.
- Conseiller chargé de la Francophonie et de la Coopération Internationale : M. Valentin LOEMBA BAYONNE, Conseiller des Affaires Etrangères.
- Conseiller Economique, chargé de l’Intégration Régionale et du NEPAD : M. Joël NKEGNA, Administrateur Economique et Financier.
- Chargés d’Etudes : Mlles
• Edwige KOUMBI MISSAMBO, Master 2 en Sciences Politiques ;
• Sanna Fatma MAKANGA PAMBOU, Master 2 en Science Politique.
- Chef du Protocole : M. Davy ANDJOUA, Contractuelsous statut.
- Attaché de Presse : M. Bertrand LEKOBAT ILOMBO,
Journaliste.
- Chargés de Mission : MM.
• Jonas EMBOUABOYI ;
• Albert MINKO ;
• André YENDA ;
• Ouba GARBA.
SERVICE CENTRAL DU COURRRIER
Chef de service : M. Jean Arsène BAMIZOCH OSSELET, Attaché d’Administration.
DELEGATION PERMANENTE DE LA REPUBLIQUE GABONAISE AUPRES DE L’UNESCO
- Conseiller : M. MAMBOUNDOU MAMBOUNDOU DANA.
AMBASSADE DU GABON PRES LA REPUBLIQUE TOGOLAISE (AVEC JURIDICTION SUR LE BENIN ET LE GHANA)
- Ambassadeur Extraordinaire et Plénipotentiaire : Son Excellence MINKO-MI-NSEME Sylver Aboubacar, Enseignant Chercheur.
MINISTERE DE LA SANTE
CABINET DU MINISTRE DELEGUE
- Directeur de Cabinet : M. Anicet Armand NGOULOU BILEBA.
- Chef de Cabinet : M. Aubin LOBO.
Chargées d’Etudes :
Mmes
• Elvire Pierrette MENDOME épouse MOUTETE ;
• Mireille NTSAME OBAME épouse NKOA ;
• Vanessa Tiphanie MATSALA NEMBE.
MM.
• Bernard Samuel NKALBELNYA ;
• Fabrice MOUANDZOUDI.
- Secrétaire Particulière du Ministre : Mme Grâce Bilkis KELIET NGOUANGA.
- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mme Léa LOEMBA.
- Attaché de Presse : M. MANEMBE MOUKOUMBI.
- Aide de Camp : Mlle Epiphanie Zita BAKONOU.
- Agent de Sécurité : M. Serge-Rikandrey NIASSA.
- Responsable du Protocole : M. André ANDAMANE MBA.
- Chargés de Mission : MM.
• Alain Grégoire OKOUYI ;
• Jean TSOUNGA NDOUNGOU ;
• Aubin Janvier MABECKA ;
• Fernand MOUKETA.
- Chauffeur Particulier : M. Clyde Curran MAYISSA.
MINISTERE DE LA PROMOTION DES INVESTISSEMENTS, DES TRANSPORTS, DE L’HABITAT ET DU TOURISME, CHARGE DE L’AMENAGEMENT DU TERRITOIRE
AGENCE NATIONALE DE L’URBANISME, DES TRAVAUX TOPOGRAPHIQUES ET DU CADASTRE
- Président du Conseil d’Administration : M. Maurice Maxime NGOMO OBIANG.
- Directeur Général : M. Yannick MOKANDA, confirmé.
- Directeur Général Adjoint 1 : M. Jean Baptiste NGUIANDOUNGOU.
- Directeur Général Adjoint 2 : Mme Ida RachelMOUSSAVOU.
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE, DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE, CHARGE DE LA CULTURE, DE LA JEUNESSE ET DES SPORTS
CABINET DU MINISTRE
- Directeur de Cabinet : Prof. Samuel MBADINGA, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant chercheur à l’U.O.B, confirmé.
- Conseillers du Ministre :
• M. Jean Marc MINSO, cumulativement avec ses fonctions d’enseignant chercheur ;
• Mme Joseline AFOUARI OBOUONO ;
• Mme Ambroisine BOUBENGA ;
• M. NZIGOU IBOUANGA ;
• M. Anaclet Mathieu TATY ;
• M. Bernard BOUSSOUGOU MOUNGONGA, cumulativement avec ses fonctions de chercheur ;
• M. Raymond Paul KOHO WALA ;
• M. Guy Roger BOUASSA BIBALOU;
• Mme Christine BOURDETTE née MINKOUET-MIALLOH.
- Chef de Cabinet : M. Jean MBADINGA MBADINGA, confirmé.
- Secrétaire Particulière : Mlle Armelle BADJINA, confirmée.
- Secrétaires de Cabinet : Mmes
• Marie Hélène KENGUE MASSALA, confirmée ;
• Ernestine MOUSSAVOU MOUKAGA, confirmée.
- Chef du Protocole : Mme Clarisse Marie SOUGOU, confirmée.
- Attachée de Presse : Mme Yolande Octavie MVEY, confirmée.
- Chauffeur Particulier : M. Anicet MAKOSSO, confirmé.
- Aide de Camp : M. Jean Noël LEMABA, confirmé.
- Agents de Sécurité : MM.
• Eder Shilton NZAMBA, confirmé ;
• Arnaud MAVIOGA MOUSSAVOU, confirmé.
- Agent du Protocole : M. Michel MUDJABUNU, confirmé.
- Secrétaire Particulière du Directeur de Cabinet : Mlle
Huguette NZAMBA, confirmée.
- Chargés d’Etudes :
• Mme Clarisse AMVENEBE ;
• Mme Bernadette MBOUMBA épouse KOMBILA ;
• Mme Marlène NYINDONG ESSOUE ;
• M. Macaire BOUTAMBA MBOUMBA.
- Chargés de Mission : MM.
• MBEMBO NGOUNGA ;
• Joseph MOUKAGNI NGUEMBI;
• BOUKOUMOU BOULINGUI;
• MOUZEO MAGANGA.
CABINET DU MINISTRE DELEGUE CHARGE DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
- CHARGEE D’ETUDES : Mme Sidonie MIKILOUWIDAH ép.YOSSANGOYE.
ADMINISTRATION CENTRALE
SECRETARIAT GENERAL
- CHARGES D’ETUDES :
• Mme Marie Micheline MAROUNDOU, Conservateur ;
• M. Cyriaque MEYE NKWELE, précédemment Directeur de l’Animation et de la Formation, en remplacement de M. Jean Bernard MBINA IKAPI, appelé à d’autres fonctions.
DIRECTION DES AFFAIRES JURIDIQUES
- Directeur : M. Cyprien IBINGA, Inspecteur du Travail, en remplacement de Mr DOUMINGOU MOUTHY, appelé à d’autres fonctions.
- Directeur Adjoint : M. Arnaud Aymar NDINGA NDINGA, Poste vacant.
SERVICE DE LA REGLEMENTATION
- Chef de Service : M. Aristide MOUNDOUMOU, confirmé.
SERVICE DU CONTENTIEUX
- Chef de Service : M. Gérard MENIE ABESSOLO, confirmé.
SERVICE DES CONVENTIONS ET DES PARTENARIATS
- Chef de Service : M. Albert EKOMO OVONO, confirmé.
SERVICE DES COMMISSIONS MINISTERIELLES
- Chef de Service : Mme Eve Marie BILOGHE BI NGUEMA AMEDEKA, confirmée.
DIRECTION DES RELATIONS PUBLIQUES ET INTERNATIONALES
- Directeur : Mme Christine ESSONGUE KOULA, confirmée.
- Directeur Adjoint :M. Gabriel PANGOT, confirmé.
SERVICE DES RELATIONS PUBLIQUES ET DU PROTOCOLE
- Chef de Service : M. Laurent EYELE NDONG,Inspecteur Pédagogique, en remplacement de MmeMarcelline OBONO NGUEMA, appelée à d’autres fonctions.
DIRECTION DE LA COOPERATION CULTURELLE
- Directeur : M. MBOUMA François, précédemment Chargé d’études au Cabinet du Ministre Délégué, en remplacement de Monsieur Pierre MBONGO, remis à la disposition de son administration d’origine ;
SERVICE DES ORGANISMES INTERNATIONAUX
- Chef de service : Mme Béthina MITOLO YONDZA, Attaché culturel.
SERVICE DE LA COOPERATION INTER-ETATS
- Chef de service : Mme Brigitte OSSAKEDJOMBO, Assistante de Communication sociale, en remplacement de Mr Jean-Claude MBADJI MAGANGA, décédé.
SERVICE RELATIONS PUBLIQUES ET PRESSE
- Chef de service : M. Henri Charles Hank MOKAMBO, précédemment Attaché de presse au Cabinet du Ministre Délégué, en remplacement de M. Hubert NNANG OBIANG.
COMITE DE LUTTE CONTRE LES IST/VIH/SIDA (COLUSIMEN)
- Coordonnateur : M. Roger NZAMBA MAVIOGA, confirmé.
SECRETARIAT GENERAL DE LA COMMISSION NATIONALE POUR L’UNESCO
- Secrétaire Général : M. Juste Jorys TINDI POATY, confirmé.
- 1er Secrétaire Général Adjoint : M.Jean Hilaire OKOUMA, Confirmé, en remplacement de M. Maxime POUPI, appelé à d’autres fonctions.
- 2ème Secrétaire Général Adjoint : M. Jean Claude ENGO BEKUI, confirmé.
SERVICE CENTRAL DU COURRIER
- Chef de service : M. Jean TCHINGA, confirmé.
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT SCOLAIRE ET NORMAL
- Directeur Général : M. Henri MAPAGA KOUMBA, précédemment DAP de l’Estuaire, en remplacement de M. Abel MABIKA NZIGOU, appelé à d’autres fonctions.
- Directeur Général Adjoint : Mme Marie Elisabeth ZAMBIBONDA, précédemment Directeur de l’Enseignement Secondaire, en remplacement de M. Jean Paul DIKONGO, appelé à d’autres fonctions.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT PRE-PRIMAIRE
- Directeur : Mme Colette AZIZET, Inspecteur pédagogique, précédemment Chef d’Inspection du Pré-Primaire, en remplacement de Mme Béatrice MEZA, appeléeà d’autres fonctions.
- Directeur Adjoint : Mme Marcelline OBONO NGUEMA, Inspecteur pédagogique du Pré-primaire, précédemment Chef de Service des Relations Publiques et du Protocole à la Direction des Relations Publiques et Internationales.
SERVICES DES EQUIPEMENTS
- Chef de Service : M. Pierre BOUSSOUGOU MAMBINGA, Attaché d’Administration Scolaire et Universitaire, poste vacant.
SERVICE DES PROGRAMMES
- Chef de Service : Mme Aimée NTSAME EYAMAME, précédemment Chef de Service Provincial de l’Enseignement Pré-Primaire et Primaire à la DAP du Haut-Ogooué.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
- Directeur : M. Félicien KIMBIRIMA NTARI, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. Marcel MADOUTA
BIRANGOU, Inspecteur pédagogique, Précédemment Chef de Service Provincial de l’enseignement pré- primaire et primaire à la DAP de l’Estuaire, poste vacant.
DIRECTION D’ACADEMIE PROVINCIALESERVICE DE LA SCOLARITE
- Chef de Service : Mme Jeanne Marie N’NEGUE OKOUE ép. MINKO, Précédemment en service à la Direction de l’Enseignement Primaire.
SERVICE DES EQUIPEMENTS
- Chef de Service : M. Dieudonné VOUBOU VOUBOU, Inspecteur Pédagogique, en service à la Direction de l’Enseignement Primaire.
SERVICE DES PROGRAMMES
- Chef de Service : M. Gaston PENDI, Inspecteur Pédagogique, précédemment en service à l’Inspection Générale des Services.
SERVICE DES STATISTIQUES
- Chef de Service : M. Patrice NZAMBA, Précédemment Chargé d’Etudes à la Direction de l’Enseignement Primaire.
SERVICE DES ECOLES PUBLIQUES CONVENTIONNEES
- Chef de Service : M. Joseph NDANGOULA, Inspecteur Pédagogique, précédemment en service à l’Inspection Générale des Services.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE
- Directeur : M. Jean Paul MBA BIYOGHO,précédemment Chef de service de la Formation Initiale et Continue du Secondaire, en remplacement de Mme Elisabeth ZAMBIBONDA, appelée à d’autres fonctions.
- Directeur Adjoint : M. Jean Charles MADOUMA, Professeur du Second Degré Général, confirmé.
SERVICE DES EQUIPEMENTS
- Chef de Service : M. Marcelin MBELA KOMBILA, confirmé.
SERVICE DES PROGRAMMES
- Chef de Service : M. Arnold LIWACKA WADA, confirmé.
SERVICE DES STATISTIQUES
- Chef de Service : M. Camille PEINDI, confirmé.
SERVICE DE LA SCOLARITE
- Chef de Service : M. Aloïse MOUNDADY, confirmé.
SERVICE DE L’INFORMATION ET DE L’ORIENTATION
- Chef de Service : M. Jean Claude OSSOUAMY, confirmé.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT NORMAL
- Directeur : Mme Paul Hortense NZINGA ép. AUNOUVIET, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. Alexandre MOUANGUE, confirmé.
SERVICE DE LA FORMATION INITIALE ET CONTINUE DU PRE PRIMAIRE ET DU PRIMAIRE
- Chef de Service : Mme Sylvie NGOUMBO BOULET ép. MADOUTA, confirmée.
SERVICE DE LA FORMATION INITIALE ET CONTINUE DU SECONDAIRE
- Chef de Service : Mme Honorine MANOMBA, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de M. Jean Paul MBA BIYOGHO, appelé à d’autres fonctions.
SERVICE DE LA RECHERCHE PSYCHOPEDAGOGIQUE
- Chef de Service : Mme Bertille MAYOMBO, confirmée.
SERVICE DES EQUIPEMENTS
- Chef de Service : Mme Honorine DIPANGOYE, confirmée.
SERVICE DES STATISTIQUES
- Chef de Service : Mme Denise OGANDAGA MBOUNGOU, confirmée.
DIRECTION DE L’EDUCATION A LA CITOYENNETE
- Directeur : M. Paulin AUBAME ANDA, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. Augustin MVOUBOU, confirmé.
SERVICE DE L’ETHIQUE
- Chef de Service : M. Ibrahim KONDO, confirmé.
SERVICE DE L’ENVIRONNEMENT
- Chef de Service : Mme Marie Claire ONGUENE ép. EKOMIE, confirmée.
SERVICE DE LA VIE CIVIQUE
- Chef de Service : Mme Pauline NYOMBA ép. MOUDEBA, confirmée.
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
- Directeur Général : M. BIBANG NGOMO, cumulativement avec ses fonctions d’Enseignant, précédemment Directeur Général des Statistiques, de la Planification et de la Prospective, en remplacement de M. Jean Marc MINSO MI-EKOME, appelé à d’autres fonctions.
- Directeur Général Adjoint : M. Théophile NGOMO, Enseignant à l’UOB, en remplacement de M. Jean Marie Vianney BOUYOU.
DIRECTION DE L’ORIENTATION ET DES BOURSES
- Directeur : Mme Marie Léa SOUGOU ép. MANFOUMBI, Psychologue, en remplacement de M. Jean Alexis BOUROBOU, appelé à d’autres fonctions.
- Directeur Adjoint : M. Justin PENDI, Professeur du Second Degré Général, Poste vacant.
SERVICE DE L’ORIENTATION
- Chef de Service : M. Arys CHALLA BOULOCKO, confirmé.
SERVICE DES BOURSES
- Chef de Service : Mme Valérie NYANGONO NDONG ép. MENGUE EMANE, confirmée.
SERVICE DES STATISTIQUES
- Chef de Service : M. Jean Richard OBAME NDONG, confirmé.
DIRECTION DES UNIVERSITES, DES GRANDES ECOLES ET DES INSTITUTS
- Directeur : Mme Christiane ALANDJI, cumulativementavec ses fonctions d’Assistant à l’USTM, en remplacement de Mme Marcelle BISSO BIKAH.
- Directeur Adjoint : M. Lucien Blaise NDOYI, Précédemment Chef de Service à la Direction Générale de la Recherche Scientifique, Poste vacant.
SERVICE DES UNIVERSITES
- Chef de Service : Mme Evelyne NNEGUE MBA, confirmée.
SERVICE DES GRANDES ECOLES ET DES INSTITUTS
- Chef de Service : M. Olivier MPAGA, Docteur Assistant à l’UOB, en remplacement de Mr Valéry MBINA, appelé à d’autres fonctions.
SERVICE DES CENTRES DE RECHERCHE
- Chef de Service : M. Judicaël ETSILA, Docteur Attaché de Recherche à l’IRSH, en remplacement de M. Jean Emery ETOUGHE EFE, appelé à d’autres fonctions.
DIRECTION DES PARTENARIATS INSTITUTIONNELS
- Directeur : M. René Paul EVOUNG ONDO, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. Désiré BOUKALT, Confirmé.
- CHARGES D’ETUDES : Mmes• Mme Henriette OGNALIGUI, Administrateur Scolaire et Universitaire, régularisation
• Mme Léocadie NSTAME NDONG ép. EFFANGONE, régularisation.
SERVICE AFRIQUE ET CEMAC
- Chef de Service : Mme Clarisse BOUSSENGA, confirmée.
SERVICE AMERIQUE
- Chef de Service : Mme Laure Cécile Ingrid ALLOGO EKO ép. ONDO, confirmée.
SERVICE CHINE ET ASIE
- Chef de Service : M. Philippe Padoue NZIENGUI, confirmé.
SERVICE FRANCE ET UNION EUROPEENNE
- Chef de Service : Mme MENGUE MBOE, confirmée.
SERVICE DES PARTENAIRES AU DEVELOPPEMENT
- Chef de Service : M Antoine MOUANDZA, confirmé.
DIRECTION GENERALE DE LA RECHERCHE
SCIENTIFIQUE ET DE L’INNOVATION
- Directeur Général : Pr Paul Marie LOEMBET, confirmé.
- Directeur Général Adjoint : Dr Guy Martial NKIET, confirmé.
DIRECTION DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
- Directeur : Dr Joseph LANSOUD SOUKATE, confirmé.
SERVICE DE LA RECHERCHE EN SCIENCES EXPERIMENTALES
- Chef de Service : M. Daniel OBAME MINKO, confirmé.
SERVICE DE LA RECHERCHE EN SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES
- Chef de Service : Mme Pélagie MOMBO, Attachée de Recherche au CENAREST, en remplacement de M. Lucien Blaise NDOYI, appelé à d’autres fonctions.
SERVICE DE LA RECHERCHE EN SCIENCES DE LA SANTE
- Chef de Service : Mme Mireille BOUYOU AKOTE, confirmée.
DIRECTION DE L’INSTITUT PEDAGOGIQUE NATIONAL
- Directeur : Dr Théophile MAGANGA, confirmé.
- Directeur Adjoint : Mme Reine Blanche MEBALE née
MENGUE MINTSA, Inspecteur Pédagogique, poste vacant.
- CHARGES D’ETUDES :
• M. Jean Paulin MBA EYEGUE, confirmé ;
• Mme Pierrette Andrée ONGOUAMBA, confirmée ;
• M. Rosin Clauther MBANI, confirmé ;
• Mme Clarisse DIKIGOU, confirmée.
SERVICE DE LA RECHERCHE APPLIQUEE A L’ENSEIGNEMENT PRE PRIMAIRE
- Chef de Service : Mme Christine MBOUMBA ép. MENDOU NGUEMA, confirmée.
SERVICE DE LA RECHERCHE APPLIQUEE A L’ENSEIGNEMENT PRIMAIRE
- Chef de Service : M. Albert MANGUILA, confirmé.
SERVICE DE LA RECHERCHE APPLIQUEE A L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE
Chef de Service :M. Pierre NDOUMBA, confirmé.
SERVICE DE LA RECHERCHE APPLIQUEE A L’ENSEIGNEMENT NORMAL
- Chef de Service : M. Georges Edgar ANGOUE, confirmé.
SERVICE DE PSYCHOLOGIE ET DE L’ORIENTATION
- Chef de Service : M. Jean Blanchard EMVO METU, confirmé.
DIRECTION DE L’INNOVATION
- Directeur : M. Donatien Guillaume MAYILA, confirmé.
DIRECTION GENERALE DE L’APPUI PEDAGOGIQUE ET LOGISTIQUE
- Directeur Général : M. Fulbert Blaise LANDJI, Précédemment Directeur Général des Ressources Humaines, en remplacement de M. Eric Pamphile MIDEPANI MOUKOLOUMOU, appelé à d’autres fonctions.
- Directeur Général Adjoint : M. Jean Paul DIKONGO,
Précédemment Directeur Général Adjoint de l’Enseignement Scolaire et Normal.
DIRECTION DE L’IMPRIMERIE
- Directeur : M. François MBIGUIDI IDIATA, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. Gervais EKOUMESSIAMI, Inspecteur Pédagogique, en remplacement de Mme Monique MOUYABI.
SERVICE DE L’APPROVISIONNEMENT
- Chef de Service : M. Jean Richard NZIENGUI BOUKAT, confirmé.
DIRECTION DE L’APPUI LOGISTIQUE
- Directeur : M. Yves NDOUTOUME, Confirmé.
- Directeur Adjoint : Mme Lisette NDEMEZO’OBIANG, Administrateur Scolaire et Universitaire, poste vacant.
DIRECTION DES MEDIAS ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION (NTIC)
- Directeur : M. Dieudonné ZIHOU ZIHOU, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. Joseph OBOLO OMANDA, confirmé.
SERVICE DE LA RADIO EMERGENCE
- Chef de Service : M. Joseph Josh Alan ALANDJI YINDA, confirmé.
SERVICE DE LA RADIO CAMPUS
- Chef de Service : M. Franck Alain MVOURY, confirmé.
SERVICE DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION
- Chef de Service : M. Yvon ILOKO, confirmé.
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE ET PROFESSIONNEL
DIRECTION DE L’ORIENTATION ET DE LA VIE SCOLAIRE
SERVICE VIE SCOLAIRE
- Chef de Service : M. Louis Claude OBIANG, précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
SERVICE RELATIONS AVEC LES OPERATEURS ECONOMIQUES
- Chef de Service : M. Guy Serges IKOU MOUYOUMA, précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
SERVICE ORIENTATION
- Chef de Service : M. Wilfried BONGOATSI ECKATA, précédemment en service à l’Institut Pédagogique National.
SERVICE CARTE SCOLAIRE
- Chef de Service : M. Joseph NGOMA TCHIKAYA, précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT TECHNIQUE SERVICE ETABLISSEMENTS ENSEIGNEMENTS TECHNIQUES PRIVES
- Chef de Service : M. Alain TOLE, précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
SERVICE DES ETABLISSEMENTS ENSEIGNEMENTS TECHNIQUES PUBLICS
- Chef de Service : M. Georges MASSAVALA MOUSSAVOU, précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
SERVICE MATERIEL ET EQUIPEMENTS DE FORMATION
- Chef de Service : M. Michel NZENAMBEDA, précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
DIRECTION DES ETUDES, DE LA PROGRAMMATION ET DES STATISTIQUES SERVICE DES STATISTIQUES
- Chef de Service : M. Jean Baptiste ONDO OBIANG, précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
SERVICE DES ETUDES
- Chef de Service : M. Jacques KOUMBA, précédemmenten service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
SERVICE METHODES ET PROGRAMMES
- Chef de Service : M. Pierre Marie NKIYEME ONDO, précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
DIRECTION ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL SERVICE ETABLISSEMENTS ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL PRIVES
- Chef de Service : Mme Olga MAGANGA,précédemment en service à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel.
SERVICE ETABLISSEMENTS ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL PUBLICS
- Chef de Service : M. Bernard MAHOMBA,
précédemment en service à l’Agence pour la Formation Continue.
SERVICE FORMATION CONTINUE
- Chef de Service : M. Jocelyn MBINDZIBIGNOUMBA, précédemment en service à l’Agence pour la Formation Continue
DIRECTION GENERALE DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
- CHARGES D’ETUDES : MM.
• Robert MENIE, Enseignant, Poste vacant.
• Benjamin IYOMBIENGOY, Administration Générale,Poste vacant.
DIRECTION DE LA FORMATION INITIALE
- Directeur : Mme Delphine NDJAMBE, Enseignante,Confirmée.
- Directeur Adjoint : M. Pachelli NGAWIN MBOUNGOU, Administrateur Scolaire et Universitaire, précédemment Chargé d’Etudes au Secrétariat Général de l’Université des Sciences de la Santé.
SERVICE DE LA FORMATION INITIALE
- Chef de Service: M. Edouard OMPENE ONGUILA, Enseignant, Poste vacant.
SERVICE DE L’ORIENTATION
- Chef de Service: Mme Hortense KOGOU épouse NZIENGUI, Enseignant, Poste vacant.
SERVICE DE LA DOCUMENTATION ET DES ARCHIVES
- Chef de Service: M. Alexis Magloire ANGO, Enseignant, Poste vacant.
DIRECTION DE LA FORMATION CONTINUE
- Directeur : M. François BOUKANGOU, Enseignant, Confirmé.
- Directeur Adjoint : M. Jean-Pierre MAPANGOU.
SERVICE DE L’ORIENTATION
- Chef de Service : M. Alfred ANGOUE MBA, Enseignant, Poste vacant.
SERVICE DE LA COMMUNICATION
- Chef de Service: M. Emile BIBALOU, Enseignant, Poste vacant.
SERVICE VEILLE DES METIERS
- Chef de Service: Mme Flora SAMBA BOUSSAGA, Enseignant, Poste vacant
DIRECTION DES ETUDES, DE LA PROGRAMMATION ET DES STATISTIQUES
- Directeur : M. Gérald NENG MENIE, Enseignant,Confirmé.
SERVICE DES STATISTIQUES
- Chef de Service: M. Cyprien YENO-QUENUM, Enseignant, Poste vacant.
SERVICE DES METHODES ET PROGRAMMES
- Chef de Service: M. Régis Nazaire OBIANG NDOUTOUMOU, Enseignant, Poste vacant.
SERVICE DES ETUDES
- Chef de Service: M. Albin Edmond NDZENGUE,Enseignant, Poste vacant.
DIRECTION GENERALE DE L’ANFPP
- Directeur Général : M. Abel MABIKA NZIGOU, précédemment Directeur General de l’Enseignement Scolaire et Normal.
- Directeur Général Adjoint : M. Marcel FOUNGUI LIPUNDU, Inspecteur Pédagogique.
- CONSEILLERS DU DIRECTEUR GENERAL : MM.
• François MATATOU MOUELE, Enseignant ;
• Nicolas BABAGUELA, Ingénieur en Chef ;
• Jean Claude NZAMBA MOUKETOU, ProfesseurPrincipal ;
• Raphael MFOUBOU, Enseignant.
DIRECTION DU PROJET INTEGRE D’APPUI A LA FORMATION
- Directeur : M. François ENGONA, Enseignant, Confirmé.
DIRECTION DE LA FORMATION CHARGEE DES RELATIONS AVEC LES OPERATEURS ECONOMIQUES
- Directeur : Mme Marianne KOUMBA, Confirmé.
DIRECTION DE LA LOGISTIQUE ET DES EQUIPEMENTS
- Directeur : M. Benjamin MOIGNON, Inspecteur Pédagogique, Poste vacant.
DIRECTION ADMINISTRATIVE ET FINANCIERE
- Directeur : Mme Nathalie ETOUGHE MINKO, Confirmé
DIRECTION GENERALE DES EXAMENS ET CONCOURS
- Directeur Général : M. Jean EYENE BEKALE, confirmé.
- Directeur Général Adjoint : M. Roger LAYAUD, confirmé.
DIRECTION DU BACCALAUREAT
- Directeur : Mme Adèle SAMBO, confirmée.
SERVICE DE LA GESTION DU BACCALAUREAT
- Chef de Service : M. Franck Alain DOUKAGA, confirmé.
SERVICE DE LA GESTION DES SUJETS
- Chef de Service : Mme Bertille FOUTY, confirmée.
SERVICE DU REGISTRE DU BACCALAUREAT
- Chef de Service : Mme Nicole EDANE NKWELE, confirmée.
SERVICE DE LA LOGISTIQUE
- Chef de Service : M. Brice Bruno MAWANDJI, confirmé.
DIRECTION DES EXAMENS
- Directeur : M. Guillaume ADJANGOUE LAPPEL, confirmé.
SERVICE DES EXAMENS DE L’ENSEIGNEMENT DU PRIMAIRE
- Chef de Service : Mme Rose Marie MOUSSAVOU, confirmée.
SERVICE DES EXAMENS DE L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE
- Chef de Service : M. Alphonse MAGANGA MBADINGA, confirmé.
SERVICE DES EXAMENS DE L’ENSEIGNEMENT NORMAL
- Chef de Service : M. Jean Roger MOUGUENGUI, confirmé.
SERVICE DU REGISTRE DES EXAMENS
- Chef de Service : Mme Nicole NZAOU RECKATY, confirmée.
DIRECTION DES CONCOURS
- Directeur : M. Guy Robert BINGOUMA, confirmé.
- Directeur Adjoint : Mme Christine MENGA née AVILI, Conseiller Pédagogique.
SERVICE DES CONCOURS PROFESSIONNELS INTERNES
- Chef de Service : M. Charles MIDJAOU, confirméSERVICE DES CONCOURS PROFESSIONNELS EXTERNES
- Chef de Service : M. Henri Serge Thierry RENAMY VERY, confirmé.
SERVICE DES CONCOURS SCOLAIRES
- Chef de Service : M. Simplice Anicet MOUSSADJI, confirmé.
DIRECTION GENERALE DES RESSOURCES HUMAINES
- Directeur Général : M. Bruno SALET, Administrateur Civil en Chef, en remplacement de M. Fulbert Blaise LANDJI, appelé à d’autres fonctions.
- Directeur Général Adjoint : M. Martin IBINGA MOMBO, en remplacement de Mme Philomène TCHIENA MWANGA.
DIRECTION GENERALE DU PATRIMOINE ET DES EQUIPEMENTS
- Directeur Général Adjoint : M. Samuel ESSONO ALLOGO, précédemment Directeur des Equipements et de la Logistique, en remplacement de Mr Guy Faustin OKOLOGHO, remis à la disposition de son administration d’origine.
DIRECTION DE LA PROGRAMMATION DES INVESTISSEMENTS
- Directeur : Mme Josiane Mireille NDONGOUE,précédemment Chef de Service de la Programmation des Investissements en Equipements, en remplacement de Mr Parfait Simplice MBADINGA, appelé à d’autres fonctions.
SERVICE DE LA PROGRAMMATION DES INVESTISSEMENTS EN EQUIPEMENTS
- Chef de Service : M. Blaise DIANGA BENGA,précédemment Chargé d’Etudes.
DIRECTION DES EQUIPEMENTS ET DE LA LOGISTIQUE
- Directeur : M. Parfait Simplice MBADINGA, précédemment Directeur Adjoint de la Programmation des Investissements.
DIRECTION DU PATRIMOINE ET DES CONSTRUCTIONS
SERVICE DU PATRIMOINE IMMOBILIER
- Chef de Service : M. Jacques LEYINDA, précédemment Chef de Service du Patrimoine à la Direction Générale de l’Enseignement Technique et Professionnel, poste vacant.
DIRECTION GENERALE DE LA CULTURE
- Directeur Général : M. Thierry P. NZAMBA NZAMBA, Anthropologue, précédemment Chargé d’études au Cabinet du Ministre Délégué chargé de la Culture, de la Jeunesse et des Sports , en remplacement de Mr Adrien DJEMBI, appelé à d’autres fonctions.
- Directeur Général Adjoint de la Culture : M.Bernard METHOGO, précédemment Chargé d’études au Secrétariat Général, en remplacement de Mme Albertine EDZANG,appelée à d’autres fonctions.
- CHARGES D’ETUDES :
• M. Franck ASSEKO EYIME, Professeur de Communication sociale, confirmé ;
• Mme Prisca MAMBOUNDOU, Attaché des services économiques et financiers ;
• M. Gildas Arnaud KOUMBA, Attaché des services économiques et financiers ;
• Mme Lucie OTAMBO OWANTINONGO.M, Assistantede Communication sociale.
DIRECTION DE LA CONSERVATION DU PATRIMOINE CULTUREL
- Directeur : Mme NGOUNGA ONGUINIDZAMANGA, Anthropologue, en remplacement de Mme ZDRENGHEA OLYMPIA, ép. EDOU, mise à la disposition pour emploi à l’Ecole Nationale d’Arts et Manufacture (ENAM).
SERVICE DU RECENSEMENT
- Chef de service : M. Germain OWONO ESSONO, Documentaliste.
SERVICE DE LA CONSERVATION
- Chef de service : M. NDEMBI NGOYO, Conservateur, confirmé.
DIRECTION DE L’EDUCATION ARTISTIQUE
- Directeur : M. Raymond NKOLO RETENO, Conservateur, en remplacement de Mr Ferdinand ALLOGO OKE mis à la disposition pour emploi à l’ENAM.
SERVICE DES PROGRAMMES CULTURELS
- Chef de service : M. Edmond PENDI, Assistant de Communication sociale, en remplacement de M. Gabriel MEYA M’EKWAGHE, appelé à d’autres fonctions.
SERVICE DE LA RECHERCHE ET DE L’ORIENTATION
- Chef de service : M. André Georges AKENDENGUE, confirmé.
DIRECTION DU THEATRE NATIONAL
- Directeur : M. Georges PENDY, précédemment Directeur Adjoint de l’ENAM, en remplacement de M. Michel TCHALOU, appelé à d’autres fonctions.
SERVICE DE LA PRODUCTION THEATRALE
- Chef de service : M. Antoine PAMBO MOUANDA, Assistant de Communication sociale, cumulativement avecses fonctions d’Enseignant à l’ENAM.
SERVICE DES BALLETS NATIONAUX
- Chef de service : Mme Sophie MANOMBA MFOUMBI, Assistant de Communication sociale.
SERVICE DE LA REGIE ET DE LA MAINTENANCE
- Chef de service :M. Etienne NZIGOU, Attaché culturel.
DIRECTION DU MUSEE NATIONAL DES ARTS ET TRADITIONS
- Directeur : M. Aymé Sylvain IBOUILI, Professeur de Communication sociale, précédemment Chargé d’études au Secrétariat Général.
SERVICE DE LA VULGARISATION
- Chef de service : Mme Lucienne Elvire IMOUSSET, Assistante de Communication sociale.
SERVICE DE LA RESTAURATION
- Chef de Service : Mme Marthe BIVIGOU, Attachée culturelle, précédemment Enseignante à l’ENAM.
SERVICE DE LA MAINTENANCE ET DES ARCHIVES
- Chef de service : Mme Agnès NYANGONE ALLOGO, Archiviste.
DIRECTION DES SERVICES PROVINCIAUX
Directeur : M. Jean-Baptiste LOEMBE LOEMBE, confirmé
SERVICES PROVINCIAUX :
- Chef de Service provincial de l’Estuaire : Mme Marie Rose OBONE, Assistante de Communication sociale, en remplacement de Mme Marie-Françoise MAGANGA, appelée à d’autres fonctions ;
- Chef de Service provincial du Haut-Ogooué : M. Gilbert MOUKOUAMA, Assistant de communication sociale, en remplacement de Mr Pierre NGUEMA ABESSOLO ;
- Chef de Service provincial du Moyen-Ogooué : M. Alain NKOUME OKANE, Assistant de communication sociale, en remplacement de Mr KOUMBA MADIBILA mis à la disposition pour emploi à l’ENAM ;
- Chef de Service provincial de la Ngounié : M. Paul BOUCKA REMBO, confirmé ;
- Chef de Service provincial de la Nyanga : M. JeanFrançois MOMBO PAMBO, Conservateur, en remplacement de M. Michel Roger MATOUKOU, appelé à d’autres fonctions ;
- Chef de Service provincial de l’Ogooué-Ivindo : M. Daniel MEYE, Professeur de Communication sociale, en remplacement de Mme Delphine MIMBALE, décédée ;
- Chef de Service provincial de l’Ogooué-Lolo : M. JeanClaude VOUMA, confirmé ;
- Chef de Service provincial de l’Ogooué-Maritime : Mme Yvette RAIVIRE, en remplacement de Mme Rêve Béatrice ESSONGHE, appelée à d’autres fonctions ;
- Chef de Service provincial du Woleu-Ntem : M. Michel Roger MATOUKOU, précédemment Chef de Service provincial de la Nyanga, en remplacement de Mr Pierre NGOMO SIMA.
DIRECTION GENERALE DE L’EDUCATION POPULAIRE
- Directeur Général : M. Eric Pamphile MIDEPANI MOUKOLOUMOU, précédemment Directeur Général de l’Appui Pédagogique et Logistique, en remplacement de M. Olivier EMANE appelé à d’autres fonctions.
- CHARGES D’ETUDES :
• Mme Marie-Françoise MAGANGA, précédemment Chef de service provincial de l’Estuaire ;
• Mme Rêve Béatrice ESSONGUE, précédemment Chef de service provincial de l’Ogooué-Maritime ;
• M. Hubert MICHOCHO, Professeur de Communication sociale ;
• M. Philippe EKO BIYOGHE, Assistant de Communication sociale.
DIRECTION DE L’ANIMATION ET DE L’ALPHABETISATION
- Directeur : M. Dieudonné ABIAGA MEYE, en remplacement de M. Cyriaque NKWELE, appelé à d’autres fonctions.
SERVICE DE LA PROGRAMMATION
- Chef de Service : Mme Charlotte ARONDO, Professeur de Communication sociale, en remplacement de Mme Laure Edwige POSSO, appelée à d’autres fonctions.
SERVICE DE LA FORMATION
- Chef de service : Mme Laure Edwige POSSO, Professeur de Communication sociale, en remplacement de Mme Marianne ANDEME OBAME.
DIRECTION DE LA PRODUCTION ET DES TECHNIQUES SERVICE DE LA PRODUCTION
- Chef de service : Mme Rosalie AVOMO MENDENE, Assistant de Communication sociale.
DIRECTION NATIONALE DU PROGRAMME DES CENTRES DE LECTURE ET D’ANIMATION CULTURELLE (CLAC)
- Directeur National : Mme Claudine ONGOUROU NDONG, Professeur de Communication sociale.
DIRECTION GENERALE DE L’AGENCE NATIONALE DE PROMOTION ARTISTIQUE ET CULTURELLE (ANPAC) SERVICE DU DEVELOPPEMENT CULTUREL
- Chef de service : M. Mesmin KASSA NZAMBA, Assistant de Communication sociale, en remplacement de M. Raymond NKOLO RETENO, appelé à d’autres fonctions.
CONSEIL NATIONAL DE L’EDUCATION POPULAIRE SECRETARIAT GENERAL
- Secrétaire Général : M. Olivier EMANE, précédemment Directeur Général de l’Education Populaire.
- Secrétaire Général Adjoint : M. Jean Baptiste MONDJO, précédemment Secrétaire Général Adjoint des Affaires Culturelles, en remplacement de Mme Géneviève ASSENGONE OLLUI.
SECRETARIAT PERMANENT
- Secrétaire permanent : M. Jean-Bernard MBINA IKAPI, précédemment Chargé d’études au Secrétariat Général, en remplacement de M. Paul Célestin.
CONSEIL NATIONAL DES AFFAIRES CULTURELLES SECRETARIAT GENERAL
- Secrétaire Général : M. Marcellin MINKOE MINZE, confirmé.
- Secrétaire Général Adjoint : Mme Albertine EDZANG, précédemment Directeur Général Adjoint de la Culture, en remplacement de M.Jean-Baptiste MONDJO, appelé à d’autres fonctions.
SECRETARIAT PERMANENT
- Secrétaire permanent : M. Alain TCHALOU, Conservateur, précédemment Directeur du Théâtre national.
FESTIVAL CULTUREL NATIONAL SECRETARIAT GENERAL
- Secrétaire Général :M. DJEMBI Adrien, précédemment
Directeur Général de la Culture.
- Secrétaire Général Adjoint : M. BOUASSA MIHINDOU
Jean-Louis, précédemment Directeur du Musée national des Arts et Traditions.
SECRETARIAT PERMANENT
- Secrétaire Permanent : Mme Rosette Sylvie MOUSSAVOU, Assistant de Communication sociale, Enseignante à l’ENAM.
DIRECTION GENERALE DE L’ECOLE NATIONALE D’ARTS ET MANUFACTURE (ENAM)
- Directeur Général : M. Jean Baptiste OGALA, confirmé.
- Directeur Général Adjoint : M. Gabriel MEYA M’EKWAGHE, Professeur de Communication sociale, précédemment Chef des Programmes culturels à la Direction Générale de la Culture.
DIRECTION DES ETUDES
- Directeur : M. Jean Clément DOUKAGA, cumulativement avec ses fonctions d’Enseignant à l’ENS.
SERVICE DE LA DOCUMENTATION
- Chef de service : M. Lambert NDONG BEKALE, en remplacement de M. Jean Bosco NGUEMA ONDO NDOUTOUMOU.
REGIE
- Régisseur : M. Félix AUBIN, Attaché culturel, en remplacement de Mme Blanche EYUIMANE, appelée à d’autres fonctions.
SURVEILLANCE GENERALE
- Surveillant général 1:M. Serge Nicolas Marcellin NTUTUME, Attaché d’Administration générale ;
- Surveillant général 2 :Mme Blanche EYUIMANE, précédemment Régisseur.
INSTITUT NATIONAL DES SCIENCES DE GESTION :
- Gestionnaire comptable : Mme Gwladis MAGANGA MAGANGA, en remplacement de M. Justin MAGANGA MAMFOUMBI, élu député.
DIRECTION COUUSS
SERVICE DU PERSONNEL
- Chef de Service :Mme Rosalie BILOUNI, poste vacant.
- CHARGES D’ETUDES :
• M. Jacques MARAMBA, en remplacement de M. Sosthène NDOMBI, pour abandon de poste.
• Mme Natacha – Pamela KASSA, poste vacant.
DIRECTIONS D’ACADEMIES PROVINCIALES PROVINCES DE L’ESTUAIRE
- Directeur Adjoint : Mme MOUALOUANGO Brigitte, confirmée.
PROVINCE DU HAUT-OGOOUE
- Directeur : M. KANTOUBOU Gaston, confirmé.- Directeur Adjoint : Mme MENGUE MBOULOU Thérèse épouse LINDZONDZO, confirmée.
PROVINCE DU MOYEN-OGOOUE
- Directeur : M. EKAZAMA Guy Roger, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. BITEGHE BI NZE Vincent,confirmé.
PROVINCE DE LA NGOUNIE
- Directeur : Mme NDZENG Eugénie Estelle, confirmée.
- Directeur Adjoint : M. MABENDI NZATSIMBOU,confirmé.
PROVINCE DE LA NYANGA
- Directeur : Mme KOUYA MOUGHOLA Irène,confirmée.
- Directeur Adjoint : M. MOUKETOU KIGA Michel, confirmé.
PROVINCE DE L’OGOOUE-IVINDO
- Directeur : M. BIGOUMOU Guy Serge, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. MBENO DIEBA Jean de la Croix, confirmé.
PROVINCE DE L’OGOOUE-LOLO
- Directeur : Mme ELIWA Marie, confirmée.
- Directeur Adjoint : Mme MAMBOUAGHA Léopoldine, confirmée.
PROVINCE DE L’OGOOUE-MARITIME
- Directeur : Mme BIYI MINKO Manuela, confirmée.
- Directeur Adjoint : M. BOUNZANGA Henri Georges, confirmé.
PROVINCE DU WOLEU-NTEM
- Directeur : M. OBIANG NGUEMA Jean Daniel, confirmé.
- Directeur Adjoint : M. NDONG OBAME Emmanuel, confirmé.
MINISTERE DE LA FAMILLE ET DES AFFAIRES SOCIALES
CABINET DU MINISTRE
- Aide de Camp : Maréchal des Logis Chef NGUEMA NDONG Cédric.
- Agent de Sécurité : Maréchal des Logis ChefMOUKAMBI Camille.
OBSERVATOIRE NATIONAL DE PROTECTION DES DROITS DE LA FAMILLE (ONPDF)
- Président du Conseil d’Administration : Dr. François NDONG OBIANG.
- Directeur Général : Professeur Auguste MOUSSIROU MOUYAMA.
FONDS D’AIDE SOCIALE
- Président du Conseil d’Administration : M. Jean-Blaise IPENDISSY.
- Directeur Général : M. Yvon NDOJYE.
DIRECTION GENERALE DE LA PROMOTION DES ASSOCIATIONS DU SECTEUR DE L’ACTION SOCIALE ET DE LA FAMILLE
- Directeur Général : M. Jean-Félix MOUBOUYIMIDOKO.
MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DES MINES
CABINET DU MINISTRE
- Chef de Cabinet : M. MOUPOUNDZA Serge-Etienne,confirmé.
- Chef du Protocole : M. LIPINDZI James, confirmé.
- Agent du Protocole : M. KOUYI Blanchard, confirmé.
- Chef du Bureau Courrier : M. MBA NDONG Jérôme, confirmé.
- Chargés d’Etudes au Cabinet du Ministre :
• Mme Patricia OBIANG, épouse OUSSOU ;
• M. Rhy Paul Gauthier MOUCKEYTOU.
INSPECTION GENERALE DES SERVICES
- Inspecteur Général des Services : M. Valentin LOSSANGOYE, précédemment Directeur Général de l’Industrie et de la Compétitivité.
- Inspecteurs Généraux des Services Adjoints :
• M. Jean-Evaristes NGOUAS ;
• Mme Eléonore Léa BOUKANDOU, précédemment Inspecteur de Services.
DIRECTION GENERALE DU CENTRE DE PROPRIETE INDUSTRIELLE DU GABON (CEPIG)
- Directeur Général du CEPIG : M. Marius BONGJI CHAMBA, précédemment Directeur Général Adjoint, en remplacement de M. NTOUTOUME ESSONO Jean-Marie, élu Député ;
- Directeur Général Adjoint du CEPIG : M. NDONG ABOGHE Eric Blaise.
DIRECTION DES AFFAIRES ADMINISTRATIVES ET FINANCIERES
- Directeur : M. Gaël MANDZOUNGOU NIAYE.
DIRECTION GENERALE DE L’INDUSTRIE ET DE LA COMPETITIVITE
- Directeur Général de l’Industrie et de la Compétitivité :
M. Léandre Emmanuel BOULOUBOU.
MINISTERE DE L’ECONOMIE, DE L’EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE.
DIRECTION GENERALE DE LA CONCURRENCE ET DE LA CONSOMMATION
- Directeur Général : M. Modeste MFA OBIANG.
- Directeur Général Adjoint : Mme Pepissi MAVICKANA épouse OGOULINGUENDE
FIN
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Gabon: Vincent Hugeux , ce néo-nazi journaliste de caniveaux
Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement - Et les mots pour le dire arrivent aisément, d'après Nicolas Boileau. Certains malheureusement peinent encore à rentrer dans les rangs de cette illustre assertion.
C’est le cas de ce barbouilleur nommé Vincent Hugeux , débarqué au journal français l'Express par on ne sait quel parachute et dont la plume laisse transparaître un malaise existentiel lié au refus insoucieux de reconnaître que l'Afrique peut avoir des dirigeants capables de décider pour elle et de construire son avenir avec sérénité.
Animé par une inspiration colonialiste et nostalgique de l'époque où l'Africain était réduit à sa simple fonction de servitude, en l’occurrence sous l’épée du roi France, ce tartempion de la caste journalistique française n'a cessé de proférer des propos rébarbatifs en nourrissant une haine particulièrement exacerbée envers le Gabon et ses institutions politiques.
C'est donc sans aucune vergogne que le pitoyable journaleux au parcours aussi mystérieux que les raisons de sa présence au sein de l'équipe des rédacteurs de l'Express, s’est octroyé la prérogative de censeur du processus démocratique au Gabon, comme si les souvenirs des souffrances causées par les méfaits de la colonisation étaient insuffisants pour le commun des mortels gabonais, au point qu'il faille qu'un régent de cette époque traumatisante nous le rappelle par le simple effet de sa plume irrévérencieuse.
Pourtant, faits étonnants, les seuls souvenirs que les gabonais ont pu garder de ce gougnafier, remontent en effet à l’élection présidentielle gabonaise de 2005.
La scène se déroule à l'hôtel Atlantique à l'époque, jour du lancement de la campagne du défunt président Omar Bongo Ondimba,où l’intéressé fut surpris dans une posture assez étonnante, se disputant des petits fours et des bouchers de bédoumes avec les agents de sécurité postés juste à l'entrée du salon VIP , dont l’accès venait de lui être refusé. Econduit manu militari des lieux quelques minutes après son inconvenante conduite et indiscipline, Vincent Hugeux quittera les lieux non sans proférer en guise de menaces, devant une assistance médusée la phrase suivante: « Vous entendrez parler de moi bientôt »…
Une phrase qui sera non seulement suivie d'effet au regard de la fatwa médiatique, outrancière et ordurière que l'impétueux décidera de lancer contre le Gabon dans les médias français, et reprise quelques années plus tard par un homme politique contemporain… Suivez notre regard !
A la lumière de ce qui précède, tout porte à croire que certains néo-esclavagistes, réconfortés par les affres autrefois portés à l’égard de l’Afrique, témoignent d’une époque dont ils sont encore cruellement mélancoliques et n’arrivent donc pas à se consoler du fait d’avoir perdu les rênes bonapartistes sur le continent de Leopold Sedar Senghor, d'Amani Diori, d'Habib Bourguiba, de Woleu Soinka, de Nelson Mandéla, d'Amadou Kourouma, d'Omar Bongo Ondimba ... et bien d'autres.
Il est triste de constater à quel point l'homme est capable de se couvrir de ridicule par des positions injustifiées frôlant parfois l’hérésie. C’est d’ailleurs ce qui amena un helléniste à considérer autrefois qu'en toute chose il faut raison-garder.
Tout ceci pour dire qu'il n'est nullement nécessaire d'ouvrir la bouche lorsque rien d'intéressant, de constructif et de positif ne filtre de nos méninges.
Ces propos, martelés à l’aide d’une aigreur indélébile inhabituelle et d'une profonde frustration, naissent des nombreux articles pondus par la misérable plume nommée Vincent HUGEUX, ce gueux sans honneur qui déshonore la corporation des journalistes, en publiant des torchons dignes du dernier des australopithèques.
N'ayant aucune appréhension de cet énergumène terroriste de la plume, et après avoir parcouru de manière hâtive quelques articles déployés par ci et là, le constat est sans appel: Nous avons réellement affaire à un imposteur.
Il n'est non seulement pas doué, pire, il passe la plus grande partie de son temps à réchauffer et paraphraser ses confrères lorsqu’il ne plagie pas sur des revues de presse toute rédigées.
Vous l’aurez bien compris, Vincent Hugeux est un gratte-papier qui semble nourrir le regret de n’être pas né gabonais, donc habité et motivé par la haine qui, lors de nombreux colloques ou séminaires sur l'Afrique passe pour en être expert, mais en quelle matière en particulier ? Dieu seul sait !
Sans cette Afrique, notre Afrique, monsieur le Hideux n'existerait point, et pourtant il ne rate aucune occasion de là meurtrir. (D’ailleurs on se souviendra d’un incident fâcheux à l’I.R.I, où le bon monsieur a bien failli se faire lyncher en début d’année 2012 par des fonctionnaires africains visiblement décidés à lui refaire le portrait en raison de sa condescendante arrogance envers le continent noir).
Sommes toutes, la vérité est que Vincent Hugeux ne supporte pas de nous savoir indépendants, tant il aurait aimé tenir une cravache pour nous avoir à sa merci, malheureusement pour lui et heureusement pour nous Africains et Gabonais en particulier ! Il pleure de ne plus pouvoir exercer son talent de journaleux « journalesque » au Gabon depuis 2009 (élection présidentielle anticipée) et en 2012 à l’occasion du New York Forum Africa).
Comme quoi, « dis-moi qui tu hantes, et je te dirai qui tu es… » Aucune analyse, aucune critique dans tout ce que débite l’impétrant n'est fondée, son jugement est subversif et n'est le reflet d'aucune réalité.
Cette perception peu prosaïque que de tels individus déploient pour feindre de connaître l'Afrique alors qu'ils n’en savent rien, tout en continuant d'entretenir une vision coloniale d'une Afrique sous assistanat chronique, mérite que de temps en temps, les marabouts aux visages pâles d’une telle pensée, soient rappelés à l’ordre.
Aussi, doivent-ils savoir que plus rien ne sera comme avant, car l’Afrique s'est résolument tourné vers le progrès et ne reculera plus. Nous sommes obstinés et nous y arriverons.
D’ailleurs à ce titre, le Gabon montre la voie et la Vision du Président Ali BONGO ONDIMBA laisse très peu d’africains à ce jour, indifférents ou insensibles. Notre cher continent n'a pas besoin que de tels remparts viennent prédire son avenir alors que le devenir de leurs pays respectifs semble tumultueux et instable, croulant entre dettes explosives et crise monétaire.
Tout le monde s'accorde d’ailleurs à reconnaître que nous sommes le Futur de la planète et que c'est l'Afrique qui détient la solution aux différentes crises que connait aujourd’hui le monde sur de nombreux plans: Economique, Financier, Ecologique, et même culturel ou social !
Que Monsieur Hideux apprenne à ses dépens qu’à l'avenir, les pilotages à vue depuis les conforts des rédactions parisiennes sont à proscrire. Qu’il se fasse l’échos d’un journalisme d’initiative, d’investigation et d’équilibre dans l’information de l’opinion.
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Gabon: Eyeghé ndong se fait molester correctement par un mari cocu
Eyéghé Ndong, un « voleur de femme »
Selon nos sources, « En fait, le mari trompé soupçonnait son épouse d’adultère depuis quelques temps, vu la fréquentation assidue de celle-ci aussi bien au domicile de l’ancien Premier ministre que dans leur fief pol i t ique de Nkembo.» Comme dit un adage universel, le voleur a 99 jours, le centième étant celui du propriétaire.
Selon le Code de procédure pénal, il s’agit ni plus ni moins d’un flagrant délit d’adultère (entendu qu’on peut établir un lien de cause à effet. Dans le cas présent, on peut aller de la table au lit ou du lit à la table.)
C’est ainsi que fort des informations en sa possession, le 24 août 2012, le mari débarque au domicile conjugal du quartier Charbonnages. Etant chez lui, il ouvre la porte et se dirige à la salle de séjour. Là, i l tombe des nus : Jean Eyeghé Ndong est crânement installé à table, mangeant goulûment de la nourriture provenant du congélateur du mari cocufié.
Et comme il fallait s’y attendre, le ton monte entre les deux mâles. Puis, le moment tant redouté par l’ancien Premier ministre survient. Le cocufié sent monter la moutarde car l’enfant de Nkembo use et abuse de la « bouche ». Il se croyait en plein meeting à sa permanence politique de Nkembo-SOTEGA là où il lui est facile de jeter l’opprobre sur les autorités publiques.
Voulant se passer pour le coq de la bassecour, le « propriétaire » de la nana a sauté sur lui. En probon Bantu, vous devinez la suite…
Avec une férocité insoupçonnée le mari, blessé dans son amour (au propre et au f iguré) a pl ié les deux poings. Devenu un boxeur circonstanciel des JO, il a distribué une sér ie de gnons d’une précision professionnelle au « voleur de femme » (sic). Un voleur, par définition, n’a pas d’arguments dans le feu de l’action.
Alors, on a assisté à une scène incroyable : celui que les supporters de l’ex- UN appellent le « fam de Nkembo » , entendez « l’homme fort » du quartier, est resté groggy sous l’assaut. Ne vous étonnez pas, mesdames et messieurs ! L’ex-PM est un homme de « 60 ans passés » (dixi t Nzouba Ndama). Un péché insurmontable.
Au quartier Charbonnages, où la rumeur a vite fait le tour des maisons, des badauds se sont mis à ironiser sur ces gens qui prétendent changer le Gabon et lui permettre de se donner « un nouveau départ », mais qui brillent par une délinquance sexuelle... sénile.
Si les gnons n’ont pas endommagé son épiderme, ce week- end, Eyeghe Ndong, en « fam », va organiser un point de presse pour insulter les « menteurs qui lui collent une histoire imaginaire. » Mais ça va se savoir. Fatalement !
Ce scandale, à fortes effluves sexuelles, aurait certainement mérité de passer sous silence. Malheureusement, la colère maritale est telle que l’affaire a fini par transpirer.
Mettant désormais sous pression des notables comme Albert Yangari et Jules Mbah qui , dit-on, avaient pris une part importante dans la constitution du couple que vient définitivement de briser le dandy de Nkembo.
Mais qu’il se rassure : selon des indiscrétions, des parents du cocu auraient décidé de venger le pauvre selon le principe de la loi du talion. Danger, pour les filles, les nièces, les cousines, les autres bonamies de l’ancien PM !
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04/09/2012
Gabon: FORTE HAUSSE DES PME AU GABON , SIGNE DU DYNAMISME DE L'ECONOMIE .
Libreville, 1er Septembre 2012 – Le nombre de PME au Gabon a augmenté de 22,3 % entre 2010 et 2011, un signe supplémentaire des bonnes performances de l’économie du pays qui connaît un taux de croissance supérieur à 6% depuis 2010.
Le dynamisme économique du Gabon depuis 2009 s’explique en grande partie par des réformes administratives de fond associées à une stratégie de diversification économique à travers deux axes : l’industrialisation et l’ouverture sur le monde.
Une ambitieuse stratégie hors-pétrole a permis de développer des secteurs inédits, comme autant de pôles d’attraction pour de nouveaux investisseurs favorisant le développement d’un réseau de PME locales.
Plus de 12 300 nouvelles PME en 2011
L’étude réalisée par la Direction générale des Impôt souligne une « explosion » de 22,3 % du nombre de PME entre 2010 et 2011, quelque 12 300 entités soit 12 300 motifs de satisfaction. Cette nette progression est particulièrement importante dans les provinces de la Nyanga avec +37,9 %, de l’Ogooué Ivindo avec +36,5 % et de l’Ogooué Lolo avec +29 %.
L’informatique et le commerce sont les secteurs dans lesquels l’augmentation est la plus importante : hausse de 23,5 % du nombre de PME dans l’informatique, 21,3 % dans le commerce de détail spécialisé et le commerce de gros ainsi que l’import. (cf tableau de la Direction Générale des Impôts en fin de communiqué).
Une performance inégalée, fruit de la stratégie menée depuis 2009
Grâce aux réformes pertinentes et aux investissements menés depuis 2009, le ministère de l’Economie travaille sur une prévision de croissance de 7,4 % pour le PIB 2012. Une performance notable et exemplaire en regard de la croissance négative (-2,7%) de 2009. Il est clair que le modèle économique choisi pour le Gabon fonctionne et profite à tous.
Ainsi, l’interdiction d’exportation des grumes a permis la création de 33 entreprises de transformation du bois entre 2009 et 2011, la vente de bois débité est passée de 166 millions en 2009 à 340 millions de dollars US en 2011 et 3173 emplois directs ont été créés.
Tandis que la politique de gabonisation des sous-traitants pousse les entreprises étrangères à travailler avec des PME nationales, les démarches administratives pour la création d’entreprise ont été largement facilitées. La création du Centre de développement des entreprises (CDE) et de son guichet unique permet aujourd’hui de créer une entreprise au Gabon en 10 jours contre 58 jours* avant la création du CDE. (*Doing business Gabon – 2011).
Associés à ces réformes, ce sont aussi les investissements majeurs dans les infrastructures qui ont offert de nouvelles opportunités de développement pour les entreprises gabonaises, notamment durant la CAN.
Diversification et ouverture ont clairement créés un climat favorable aux affaires qui bénéficie directement au tissu économique gabonais. Des données encourageantes qui réclament des outils statistiques et analytiques.
Un fichier des PME en 2012
Le ministère des Petites et Moyennes entreprises, de l’Artisanat et du Commerce a réuni la Direction générale des Impôts, le Centre de développement des entreprises, la Chambre de commerce, d’agriculture, d’industrie, des mines et de l’artisanat du Gabon, le Greffe de commerce et Promo Gabon pour établir un mode opératoire productif.
L’enquête 2012 sera menée sur la part réelle de la PME gabonaise, la répartition des effectifs par secteurs d’activités, par chiffre d’affaire et par localité, la nationalité des chefs d’entreprises et le nombre de salariés. Des variables qui visent à améliorer la visibilité et la lisibilité du climat des affaires.
Les secteurs qui seront plus particulièrement observés sont la pêche, le bois, le pétrole, les assurances et les banques.
FIN
Pour découvrir le Gabon différemment : http://www.gabonexperiences.com
La politique du Gabon Emergent
Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en août 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie. La réforme de la gestion de l’environnement au Gabon permettra l’extraction et la transformation des matières premières de manière rationnelle, durable et respectueuses de l’environnement.
Ainsi le Gabon aspire à devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :
le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;
le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;
le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.
Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers depuis 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.
Pour plus d’information, merci de visiter www.legabon.org ou contacter www.cocom.rggov.org
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03/09/2012
Gabon - CLIP MBA OBAME ANDRÉ : JE CONNAIS TOUT ÇA ! SPECTACLE LIVE DU + GRAND CLOWN ET COMIQUE GABONAIS
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30/08/2012
Gabon: Déclaration du CASABO (Cercle d'Action et de Soutien à Ali Bongo Ondimba)
Depuis le 11 août 2012, date du retour au Gabon de Monsieur André Mba Obame, une frange d’opposants affiliés à l’ex parti Union nationale incite le peuple à la révolte et à l’insurrection au motif qu’ils souhaitent la tenue d’une conférence nationale souveraine dont l’épilogue serait l’organisation d’élections générales (présidentielle, législatives, locales et sénatoriales), mettant ainsi entre parenthèses les acquis de la politique d’Emergence impulsée par le président de la République, chef de l’Etat, Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA.
Pour nous, membres du Cercle d’Action et de Soutien Ali BONGO ONDIMBA (CASABO), la politique est et reste un débat d’idées, et non un affrontement entre individus, qui serait préjudiciable à la paix sociale et à l’unité nationale patiemment construites par feus présidents Léon MBA et Omar BONGO ONDIMBA.
Face à la montée du tribalisme et de la xénophobie entretenus par les partisans de Monsieur André Mba Obame et ses compagnons, et les appels à la violence lancés à l’endroit des personnalités proches du président de la république, dont son directeur de cabinet, Monsieur Maixent NKANI ACCROMBESSI, le CASABO appelle les plus hautes autorités de notre pays à prendre toutes leurs responsabilités afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national.
S’agissant de la conférence nationale souveraine réclamée par cette frange de l’opposition, le CASABO s’étonne qu’une telle idée soit lancée en 2012, au moment où le Gabon entame sa marche victorieuse vers plus de développement avec, à sa tête, le président Ali BONGO ONDIMBA, élu par le peuple gabonais le 30 août 2009.
Pour le CASABO, une telle idée ne peut prospérer, le souvenir de la conférence nationale de 1990 étant encore vivace dans nos mémoires. Nous nous souvenons en effet que cette rencontre nationale n’avait servi, au final, qu’à permettre aux différents acteurs de se partager des postes, au détriment du développement réel du Gabon.
Le CASABO, comme l’ensemble des organisations reconnues, soutient avec ferveur la politique d’Emergence conduite par Son Excellence Ali BONGO ONDIMBA et son gouvernement, et marque son opposition à l’idée de l’organisation d’une nouvelle conférence nationale dans notre pays.
Fait à Libreville, mercredi 29 août 2012
Pour le Bureau, Le Président Axel OKOUMBA
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29/08/2012
Gabon: DÉCLARATION DE LA COALITION SOCIÉTÉ CIVILE GABONAISE
Mesdames, messieurs ;
Après un temps d’observation et de profonde réflexion la société civile Gabonaise vient aujourd’hui livrer sa vision du contexte socio politique actuel né de la prétention observée chez un homme politique et la poignée d’anciens membres du gouvernement ex barons du PDG comme lui insatisfaits malgré leur longévité dans la gestion du pays.
En dépit de leur solidarité et responsabilité dans la situation quasi chaotique dont les populations gabonaises se font encore l’écho au quotidien, il est regrettable que le discours incendiaire et la volonté belliciste de ces derniers n’ont pour dessein que de transformer le Gabon en un champ de ruine et de désolation simplement selon eux pour justifier la tenue d’une conférence nationale souveraine. N’est-ce pas là la folie du génocide ou les germes de la guerre civile dont ils font le lit en faisant croire à ceux qui les écoutent que l’amélioration de leurs conditions de vie est au bout de ce sacrifice ?
Mesdames, Messieurs,
l’indignation de la société civile à l’instar des autres Gabonais qui partagent avec elle les mêmes valeurs et le même sentiment patriotique commence dès les premiers actes d’incivisme perpétrés à paris par une délégation de ces compatriotes qui n’ont éprouvés le moindre scrupule à souiller l’image de marque de notre pays en cherchant à bafouer l’un des symboles de notre pays en la personne de notre Président de la République à travers des démarches dénigrantes et collusions cupides visant à empêcher la rencontre de notre Chef de l’Etat avec son homologue Français.
La lettre de l’association Française SURVIE publiée dans la presse nationale en dit long. D’autres faits ont suivis parmi lesquels :
• les propos inconvenants tenus par monsieur André MBA OBAME l’ancien Ministre à l’égard d’un compatriote homme politique et ex membre du gouvernent comme lui et actuellement porte parole du Chef de l’Etat, avant de verser dans le dénigrement, la xénophobie et la préméditation, en appelant au lynchage du premier collaborateur du chef de l’Etat, son Directeur de cabinet monsieur Maixant ACCROMBESSI qu’il a présenté à ses militants comme cible, ce qui évidemment pour eux faisait de lui l’ennemis publique n°1 ; des propos qui ne sont pas sans rappeler les tragiques messages génocidaires de la sinistre radio Mille collines au Rwanda.
• la marche dramatique organisée illicitement par ces compatriotes qui n’ignoraient pourtant rien des risques de dérapages dont la responsabilité leur incombe.
• Les meeting qui ont servi de cadre aux discours d’incitation à la haine, à la désobéissance civile, à la xénophobie, à la traque d’une communauté étrangère au Gabon et à toutes choses immondes qui mettent en péril des vies humaines et la stabilité de notre pays rien que pour tenter d’imposer une « conférence nationale souveraine » mais cependant, se réservent à dessein de décliner leur projet d’ordre du jour qui permettraient aux populations d’apprécier si leurs intérêts auraient été cette fois pris en compte.
• Le discours haineux tenu paradoxalement dans leur chapelle politique par un pseudo défenseur de la démocratie qui a franchi le Rubicon en préparant subtilement la foule à l’attaque prochaine de la communauté Béninoise vivant au Gabon « à cause d’un seul homme » a-t‘il banalisé pour minimiser une vie humaine ou inciter sa communauté à le sacrifier, se permettant l’indécence de tutoyer un Président africain et d’évoquer dans une atmosphère si surchargée de consignes le recours à une métaphore évoquant l’usage d’arme à feu.
Mesdames messieurs il semble que ces compatriotes ont réussi à répandre la peur dans le pays pour exercer le monopole de la parole en dissuadant la liberté d’opinion dans les règles de l’art qui est un acquis au Gabon de surcroit lorsqu’il s’agit de défendre les intérêts de la population même contre une menace interne tel que perçue dans les propos tenus par monsieur André MBA OBAME notamment « je rendrait coup pour coup et je taperai plus fort ».
Comment autrement expliquer que les autorités morales de notre société(religieux, traditionnels et bien d’autres encore qui ont la charge de guider la pensée collective) se sont tu face à cette dérive que leur silence n’est qu’encouragement alors qu’ils ont le devoir de condamner ou de rallier pour ne pas laisser dubitatifs leurs disciples, fidèle, militants, sujets et supporters pendant que le bilan à déplorer n’est encore que de un mort et quelques blessés ce qui est déjà trop.
De même, les Gabonais s’impatientent de voir les représentations diplomatiques souvent citées comme soutiens dont entre autre la France et les USA se prononcer sur le prétendu soutien de la France au projet subversif des ténors de cette opposition spontanée visant le Gabon. Conférence Nationale à défaut l’insurrection ou cout d’état.
Il est indéniable que le combat de ces anciens barons du PDG contre leurs « frères d’hier est programmé aller jusqu’au sacrifice ultime tel qu’ils l’ont déclaré eux même dans les antennes de TV+ n’est pas celui de la société civile, ni de toute l’opposition Gabonaise qui y trouvent une diversion au moment où il convient d’aborder de manière objective et sérieuse les situations dont :
• la problématique « des biens mal acquis » ;
• l’introduction concrète de la biométrie dans le processus électoral,
• l’impact réel de la nouvelle mercuriale,
• la qualité des prestations de la SEEG qui laisse à désirer,
• les réticences auxquelles sont confrontées de nombreux détenteurs de cartes CNAMGS de la part de certains prestataires,
• les grèves politiques récurrentes,
• les multiples contrôles routiers érigés en péages mobiles exercés par de nombreuses brigades administratives, en concurrence avec les forces de l’ordre qui alourdissent les charges des transporteurs avec de fortes répercutions sur le portefeuille des ménages.
Mesdames, Messieurs, apprenons à ne plus confondre l’opposition spontanée à l’ensemble de l’opposition.
En effet, même si l’opposition traditionnelle qui s’est construite sans les va t-en guerre d’aujourd’hui auxquels le peuple gabonais reproche les troubles actuels, cette opposition qui a brillée de mille feux grâce à des grandes figures dont certains ténors ont tirés leur révérence subi actuellement les manigances des néo opposants actuellement en vedette qui composent cette opposition spontanée, dirigée par un groupe d’anciens tenants du pouvoir dont la fortune sert à bâillonner le reste de l’opposition.
Contrairement à l’attitude quasi apathique de l’opposition traditionnelle qui se laissent absorber face aux manigances des néo opposants qui pilotent cette oppositions spontanée, la société civile Gabonaise garde « la tête haute » pour avoir résistée vaillament face aux manigances de leur branche dénommée « ça suffit comme ça » cet instrument d’intoxication qui prétend incarner la société civile mais dont le seul but est d’attiser la haine entre les gabonais.
Il est de notoriété public que les organisations de la société civile n’ont aucun projet politique sauf le cas des girouettes qui font le choix de se dévoyer comme il en est de certains compatriotes qui s’affichent en bêtes de foires aux cotés de leurs mentors tapis au sein de l’opposition spontanée.
Constatant que l’imposture de leur association politique est démasquée la nouvelle stratégie est la formule de « la diaspora » constituée de quelques individus auxquels ils ont offert une colonie de vacances au Gabon en contre partie de quelques déclarations manipulatrices.
En définitive, il s’agit donc pour nous de réaffirmer solennellement ce jour à la face du monde notre indépendance, nous société civile gabonaise vis-à-vis des partis politiques et de certaines de leurs trouvailles plus ou moins fantaisistes dont le tort fréquent est d’en méconnaitre les limites faute d’avoir pu exactement définir leurs desseins. C’est le cas de la fameuse revendication de la tenue d’une Conférence nationale souveraine qui nous parait inopportune et inadaptée aux attentes réelles des populations ; comble de paradoxe cette demande est adressée aux autorités dont ils disent ne pas reconnaitre la légitimité.
Enfin, nous appuyons solennellement notre engagement à poursuivre le combat pour la bonne gouvernance et le bien être des populations. Aussi, en appoint aux initiatives en cours en matière de lutte contre la délinquance financière, nous avons engagé un plaidoyer et diverses autres actions au sujet des biens mal acquis qui touchent certains anciens et nouveaux dignitaires de la république , de même , nous sommes pleinement engagé à contribuer aux réformes visant la satisfaction des besoins sociaux de base, et la défense du pouvoir d’achat des ménages. Nous vous remercions .
Pour la Coalition , le porte parole Guy René MOMBO
Tél : 05 82 31 97 / 07 91 31 61 / 07 91 61 19
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28/08/2012
Les attentes, nombreuses, des Gabonaises et des Gabonais sont d’ordre social et non d’ordre politique.
En 2010, quelques trois mois après sa prestation de serment, les Gabonais dans leur majorité ont vu leur président se rapprocher d’eux. Pour commencer ce rapprochement, le chef de l’Etat va entreprendre une visite surprise en voiture de Libreville à Franceville, en passant par Ndjolé, La Lopé, Lastoursville, Mounana, Moanda.
Au cours de ce périple, on se souvient de l’avoir vu passer la nuit dans un village situé en pleine forêt équatoriale. Puis, on a vu ce président chaleureux sillonner des quartiers de Libreville, parmi lesquels le célèbre quartier Kinguélé, dans le 3ème arrondissement de la capitale. Tout un symbole.
Pour couronner le tout, il a entrepris une tournée républicaine à travers les neuf provinces du pays, avec le succès retentissant que l’ensemble des Gabonais avait reconnu. Pendant cette vaste tournée républicaine menée au pas de charge, les doléances présentées par les populations avaient pour noms : chômage, cherté de la vie, impunité, santé, éducation, infrastructures routières, etc.
C’est donc sur ces sujets précis que les Gabonais attendent de leur président des réponses concrètes. Mais plus nous avançons, plus les populations constatent que le président de la république s’éloigne petit-à-petit de son peuple. Peut-être que ce peuple ne fait pas une bonne lecture de ses mouvements. Toujours est-il que son voeu est de le voir sur le terrain comme avant la coupe d’Afrique des Nations.
Avant la CAN 2012, Ali Bongo Ondimba avait mis la pression sur les entreprises chargées de l’exécution des travaux de ce grand événement sportif de dimension mondiale depuis sa surmédiatisation. Au volant de sa voiture le matin, à midi et le soir, il sillonnait les différents chantiers et le résultat, nous le connaissons tous : la CAN 2012 a été un grand succès.
C’est dans cette optique que le président de la république devrait reprendre la main ainsi que son bâton de pèlerin et exercer la même pression sur les dossiers en souffrance qui risquent à terme de faire oublier les formidables succès engrangés depuis 2009.
De l’avis général, les sujets qui fâchent les Gabonais sont connus et exploités par les adversaires politiques du chef de l’Etat. Ce sont les mêmes préoccupations présentées par les populations lors de la tournée républicaine et que nous avons cités plus haut. Auxquels s’ajoute désormais la lancinante problématique des 5000 logements par an promis durant la campagne.
Mais c’est vrai que l’Agence nationale des grands travaux (ANGT) et le Cocom viennent de diffuser un document y relatif, par lequel on apprend qu’à l’horizon 2016, ce ne serait plus 35 000, mais 37 000 logements qui seront livrés pour le compte de ce vaste programme.
C’est vrai que nous devançant, Ali Bongo Ondimba vient de renouer le contact direct avec les populations de l’hinterland : lundi 20 août 2012 il était dans le Woleu-Ntem puis du côté de la province du Haut-Ogooué. Pour tout dire, c’est ce contact direct qui plait aux populations car c’est à ce moment qu’elles lui transmettent directement leurs préoccupations les plus urgentes.
C’est à raison qu’un notable d’Oyem déclare (20/8) : « Les Gabonais préfèrent des logements décents à la conférence nationale. Les Gabonais préfèrent des routes car ros sables en toutes saisons à la conférence nationale. Ils préfèrent la construction des écoles, des collèges, des lycées et universités à la conférence nationale. Les Gabonais préfèrent le travail que va appporter Olam dans le Woleu- Ntem aux querelles et aux intrigues politiciennes qui ne profitent qu’à leurs auteurs et acteurs. Les Gabonais préfèrent que les auteurs d’actes répréhensibles soient sévèrement punis par la loi plutôt que d’être absout au détour d’une conférence nationale ». Tout un programme.
Bref, les attentes, nombreuses, des Gabonaises et des Gabonais sont d’ordre social et non d’ordre politique. Pour ce faire, il faut prendre le taureau par les cornes même si le gouvernement doit faire ce que le peuple est en droit d’attendre de lui. Car en 2016, si Ali Bongo Ondimba souhaite solliciter à nouveau les suffrages de ses compatriotes, il sera seul comptable du bilan de son premier mandat.
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